Sosa : 57838, 57886, 28970, 58542, 58670, 58838, 59026, 59054, 59222, 29906, 29966, 60718, 60886, 30674

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Le décès de François Maistre est survenu avant le 16 février 1549, comme il appert d'une déclaration censière.
Sources : 1. AN, 3 AP/1 - Fonds Nicolay (famille de) : XIIIe-XIXe siècles. -- 2. Archives de la Société de la Société historique et archéologique de Pontoise et du Vexin (SHAPOV), série B.
Type de document : Terrier pour les années 1547 à 1549 que François Dubray, marchand et bourgeois de Paris, procureur des religieuses, abbesse et couvent Notre Dame de Chelles Sainte Bauteur à fait dressé pour elles, par acte passé par devant Gérard Ledru et Pierre Moreau clercs notaires du Roi à Pontoise ; il concerne trois fiefs dont l'un séant ès faubourgs et terroir de Pontoise, l'autre ès village et terroir de Livilliers et Génicourt, et l'autre au village et terroir d'Osny et environs (folios 85 à 1, ordre décroissant + chiffres romains, ordre croissant).
Cf. fol. 7, IIII XX [à propos de Maistre Jehan M(aistr)e p(re)b(st)re, pour 3 pièces de terre à Osny]
16 février 1549 (en marge)
Luy Cinq quartiers et demy de t(er)re ou environ
assis aud(ict) terrouer au lieud(ict) le buisson Ruelle tenant
dun Coste a Lucienne Sarazin v(ef)ve de feu
francoys m(aistr)e dun bout a pierre fo(u)rnier et da(ultr)e
bout a francois m(aistr)e d'osny a la Charge de trois
deniers t(ournoi)z de Cens led(ict) Jour [Sainct Remy] po(u)r ce III d p

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : La filiation paternelle de Pierre Maistre est attestée par sa déclaration censière du 11 août 1571.
Source : AD 78, D 1041 / Maison royale de Saint-Louis (Saint-Cyr-l'Ecole, Yvelines. Seigneurie de Boissy-l'Aillerie) - Terrier : 1560-1575, fol. 315 v°. _ « dudict Jour et an (unziesme Jour daoust mil Vc soixante et unze). -- Pierre maistre filz de francoys demourant a boissy Laillery pour une maison et terre contenant trois quartiers et demy ou environ assis audict boissy en la Rue poictevine tenant dun costé a collette fournier daultre costé a Jehan Rateau Laisné dun bout aux hoirs feu nicolas dupré et daultre bout a la Rue chargé envers Lesdictz sieurs de huit deniers parisis de cens Paiables chacun an le Jour des octaves sainct denis sur peyne de cinq solz parisis damende Pour ce Icy VIII d p(ari)sis »

Héritier de son oncle Jehan Maistre, prêtre.
Source : AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Jehan Maistre, prêtre, fils de Nicolas Maistre et de Jehanne Le Danois)

Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque aux actes notariés.
La filiation paternelle et maternelle de Perrette Benoiste est attestée par un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/180 - Acte du 05/02/1605, par devant Jehan Levasseur notaire à Pontoise. _ Titre nouvel de rente et bail d'héritage : Nicolas Jost tonnelier demeurant à Hérouville et Perrette Benoiste sa femme, à cause d'elle héritière pour portion de défunts Estienne Benoiste et Denise Caffin ses père et mère, tant pour eux que comme eux faisant et portant forts de Nicolas Benoiste frère de ladite Perrette Benoiste, aussi héritier desdits défunts Estienne Benoiste et Denise Caffin ses père et mère, par lequel ils ont promis faire ratifier et avoir pour agréable le contenu en ces présentes, et icelui faire obliger avec eux par insolidité, au paiement et fournissement du contenu ou pour titre nouvel ; lesquels Nicolas et Perrette sa femme confessent que sur tous et chacun les biens et héritages dénommés des successions des feus ses père et mère, ladite Perrette Benoiste en quelque parts qu'ils soient situés et assis, -- discrète personne maître Jehan Chéron prêtre curé de Livillier en son nom et honnête personne Charles De Camps comme tuteur des enfants mineurs de François Chéron et de Catherigne (sic) Hardy, à présent femme duit De Camps ont droit de prendre et percevoir par chacun an, le jour St Martin d'hiver, une mine de blé « fourment » de rente foncière et bail d'héritage, faisant partie et portion de plus grande quantité de blé et grain de rente ; laquelle rente de une mine de blé « fourment » susdite, lesdits reconnaissants ont promis fournir et faire valoir bien payable et percevable ledit jour St Martin d'hiver, tant sur les biens et héritages à eux venus et échus des mort et trépas desdits défunts père et mère de ladite Perrette Benoiste, avec par « especial » sur une pièce de terre contenant trois arpents, assis au terroir de Mézière lieu-dit " le reposuer (sic, pour le reposoir) ", tenant d'un côté Ysabeau [...]rse et héritiers Pailleau (?), d'autre côté et d'un bout la terre de la fabrique St Maclou de Ponthoise, et d'autre bout le seigneur d'Espiez ; Item sur une pièce de terre contenant demi arpent, assis audit terroir au lieu-dit " le hault du sandrier ", tenant d'un côté et d'autre côté ledit Charles De Camp comme del[...] que aujourd'hui faire desdits reconnaissants, d'un bout les terres de l'Hôtel Dieu, et d'autre bout les héritiers maître Jehan Deslions, etc.

Autre relation.
Source : AD 95, 2 E 11/140 - Acte du 08/04/1606, par devant André Prévost notaire à Pontoise. _ Echanges, contre-échanges et permutations faits entre Maître Nicolas Benoiste praticien demeurant à Beauvays, en son nom, et Nicolas Jost tonnelier demeurant à Hérouville et Perrette Benoiste sa femme, à cause d'elle, de lui autorisée pour faire et passer ce qui ensuit d'une part, -- et honnête personne André Chéron laboureur demeurant à Mézières d'autre part, etc. ; c'est à savoir que par le moyen dudit échange lesdits Benoiste, Jost et sa dite femme ont baillé et délaissé, cédé, quitté et transporté audit Chéron, premièrement trois quartiers de terre sis au terroir dudit Mézières en une pièce, la pièce comme elle se comporte, lieu-dit " reposouer ", tenant d'un côté et d'un bout les terres de la fabrique St Maclou de Ponthoise, d'autre côté les hoirs Jehan Poultreau, etc. ; Item une autre pièce de terre contenant un arpent dix neuf perches ou environ, la pièce ainsi qu'elle se comporte, sise au terroir d'Espiedz lieu-dit " la pierre hebert ", tenant d'un côté étant en hache, d'un côté et d'un bout les terres St Maclou et autres, d'autre côté maître Marteau, d'un bout les hoirs Jehan Deslyons, et d'autre bout aux hoirs Jehan Poultreau, etc. ; Item la moitié par indivis d'une pièce de terre contenant trois quartiers ou environ, à partir à l'encontre de Françoys Dubray d'Espiedz, sise audit terroir d'Espiedz au lieu-dit " soubz le buisson St diddier ", tenant toute ladite pièce d'un côté Mr « Ladmiral », d'autre côté le seigneur de Morilly, d'un bout les terres St Maclou, et d'autre bout ledit Chéron, etc. ; audit vendeur appartenant du propre dudit Benoiste et de ladite femme dudit Jost comme ils ont dit ; et pour contre-échange de ce ledit Chéron a baillé, cédé, quitté et transporté aux dits Benoiste, Jost et sa dite femme, leurs hoirs, la quantité de une mine de blé « fourment » et quatre quartiers d'avoine de rente annuelle et perpétuelle et foncière, que ledit André Chéron et Gervays Caffin à cause de Nicole Chéron sa femme, avaient auparavant lui droit de prendre et percevoir par chacun an - le jour St Martin d'hiver, comme héritiers de défunt Jehan Chéron leur père, vivant laboureur demeurant à Mézières # (voir en fin d'acte) - sur ledit Nicolas Jost, ladite Perrette Benoiste sa femme, par ledit maître Nicolas Benoiste, leurs biens et héritages au long déclaré et pour les causes en ès lettres et titres faisant mention d'icelle rente, et spécialement en certain titre nouvel de la reconnaissance d'icelle, passé par ledit Nicolas Jost et ledit maître Nicolas Benoiste, en date du XXVIIIe janvier mil Vc IIII XX XVII par devant Jacob Le Vasseur notaire royal à Ponthoise # \ (en marge) # lesquels titres sont demeurés ès mains dudit Chéron pour sécurité et garantie, etc. /; et outre moyennant et parmi la somme de soixante livres tournois que ledit André Chéron en a présentement baillé et payé aux dits Jost, sa dite femme, et ledit maître Nicolas Benoiste, pour la « resoulte et retour de la presente eschange », /\ \ (en marge ) /\ avec trente sols pour les épingles de la femme et quarante sols au vin du marché, par ledit Chéron /, etc. ; # vers lequel Gervays Caffin et sa dite femme, ledit Chéron a promis acquitter lesdits Jost et consorts ; présents Denis Munyer et maître Jehan Pellet

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître
Profession(s) : Praticien
Note(s) : b06/02/1595 Hérouvile : Martin Talbot filz de Jacques Talbot et Denise Laurens
p/m : Nicolas Benoiste filz de deffunct Estienne Benoiste et Jehan Talbot, Andrie Bertin fille de deffunct Guyon Bertin
La filiation paternelle et maternelle de Nicolas Benoiste est aussi attestée par un acte notarié.
Source :AD 95, 2 E 11/180 - Acte du 05/02/1605, par devant Jehan Levasseur notaire à Pontoise. _ Titre nouvel de rente et bail d'héritage (voir in Notice biographique de sa soeur Perrette Benoiste)..

Maître Nicolas Benoiste, praticien demeurant à Beauvais, signe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/140 - Acte du 08/04/1606, par devant André Prévost notaire à Pontoise. _ Echanges, contre-échanges et permutations (voir in Notice biographique de sa soeur Perrette Benoiste).

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : En 1556, Marguerin Maistre était laboureur à Boissy-l'Aillerie.
Source : AD 78, D 1042 / Maison royale de Saint-Louis (Saint-Cyr-l'Ecole, Yvelines. Seigneurie de Boissy-l'Aillerie) - Terrier : 1551-1598, Cote 102. _ « 12 Juin 1556. -- Cest la declaration que tient & advoue a tenir marguerin maistre demourant a boissy de messieurs les Religieulx abbé & couvent de st denis en france en leur terre & seigneurie dudict boissy portantz lotz ventes saisines & amendes quant le cas y eschect // Et premierement La quatriesme partye en six les six faisant le tout de une maison court granche Jardin estables & lieu comme il se comporte Contenant sept quartiers ou environ assis a boissy au lieudict la Rue du val tenant dun costé a Jehan dusaulx laisné dautre coté benoist lamy & aultres dun bout Jehan maistre & daultre au chemin partissant contre les hoirs anthoine maistre freres et seurs dudict Recongnoissant Doyt tout ledict lieu cinq grandz boisseaulx davoyne le Jour des Roys Pour ce III boiss~ IIII pich~ avoyne », etc.

En 1581, il était laboureur à Longuesse.
Héritier de son oncle Jehan Maistre, prêtre.
Source: AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Jehan Maistre, prêtre, fils de Nicolas Maistre et de Jehanne Le Danois)
Marguerin Maistre, cité dans l'acte ci-dessus, fut le parain d'Hélène Tavernier, née en 1572, fille de sa soeur Michelle et de Pierre (Le)Tavernier.

 

Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié prouvant sa filiation paternelle et maternelle, à savoir + Cler Caffin et + Marguerite Dubray.
Source : AD 78, 3 E 27/29 - Acte du 16/02/1601, par devant Pierre Gervais substitut juré commis en l'absence du tabellion royal de Meulan, à Condécourt. _ Echanges et permutations faits entre Jehan Filion maître tailleur du sieur « Lamyral », demeurant à Longuesse, et Marie Caffin sa femme de son mari autorisée, -- et Françoys Maistre laboureur audit lieu, et Marguerite Caffin sa femme de lui autorisée « quand ad ce » ; lesquels ensemblement, l'un avec l'autre, confessent avoir fait échanges et permutations, etc. ; [Notamment] pour et en contre échange ledit Françoys Maistre et ladite Marguerite Caffin sa femme, baillent audit Filion et ladite Marie Caffin sa femme, présents, ce acceptant pour eux, leurs hoirs ou ayants cause ; c'est à savoir une travée de maison en ménager, de fond en comble avec deux travées et demi de grange, étable, cour et jardin, tant d'une part que d'autre, ensemble tout tel droit part et portion qu'il lui peut compéter et appartenir en une maison qui fut et appartint à défunt Cler Caffin et défunte Marguerite Dubray, père et mère des femmes desdits Filion et Maistre, assis audit Longuesse, etc.

Ne sait pas signer, fait aussi sa marque à un autre acte notarié prouvant l'identité de ses grands-parents paternels, à savoir + Charles Caffin et + Perrette Lorget.
Source : AD 78, 3 E 27/29 - Acte du 17/02/1601, par devant Pierre Gervais substitut juré commis en l'absence du tabellion royal de Meulan, à Condécourt. _ Echange de biens immobiliers entre Jehan Filion, maître tailleur « dabiz » du sieur « Lamyral », demeurant à Longuesse, et Marie Caffin sa femme de lui autorisée, -- et Françoys Maistre demeurant audit lieu et Marguerite Caffin sa femme de lui autorisée « quand ad ce » ; lesdites parties confessent avoir fait échange « ensemblement » du contenu ci-après déclaré et promettent garantir l'un à l'autre, l'un d'eux seul pour le tout sans division « ny discution » etc. ; ledit Filion et sa dite femme baillent audit Françoys Maistre et ladite Marguerite Caffin sa femme, ce acceptant pour eux, leurs hoirs ou ayants cause ; c'est à savoir un arpent trois quartiers et demi de terre, situés et assis au village et terroir de Cormeille(s) et Briençon comme il appert par les lots de partage fait entre les cohéritiers de défunte Perrette Lorget, veuve de défunt Charles Caffin, elle vivante demeurant à Hérouville, et moitié de six perches de vignes assis au terroir de Cormeille(s) au lieu-dit " le duc ", avec quatre perches de vignes assis au terroir d'Auvers au lieu-dit " la vignes au chien ", avec moitié de une travée de maison, cour et jardin, le lieu comme il se comporte assis au village de Cormeille s), ce qu'il lui peut compéter et appartenir de la succession de ladite défunte Perrette Lorget leur mère grand à cause de leurs femmes, à la charge de par ledit Françoys Maistre de payer les droits seigneuriaux qu'ils peuvent devoir, etc. ; fait et passé à Longuesse au logis dudit Filion en présence de Jehan Mauvoysin demeurant à Longuesse, et Jehan Cahouet demeurant à La Villeneufve St Martin, témoins

 

Note(s) : b08/11/1603 Hérouville : Pierre Caffin, fs Françoys Caffin et Héliette Maistre
p/m : Pierre Caffin et Claude Benoiste, Marie Maistre

Source : AD 95, 2 E 11/180 - Acte du 17/08/1605, par devant Jehan Levasseur notaire à Pontoise. _ Vente par François Caffin laboureur demeurant à Hérouville, tant en son nom que comme se portant et faisant fort de Héliette Maistre sa femme, par laquelle il promet faire ratifier et avoir pour agréable le contenu en ces présentes et la faire obliger avec lui à par insolidité à la garantie de la présente « vendition » et la faire renoncer à tous les droits et lois faits pour les femmes et en leur faveur, etc., ledit Caffin a autorisé et autorise sa femme, etc., -- à André Le Sage boulanger demeurant à Boissy, présent, acheteur ; c'est à savoir six perches et un quart de perche de " maretz en fustez " de pré, assis au terroir et paroisse de Boissy lieu-dit " le pond de la bare ", tenant d'un côté Michel Petit, d'autre côté la rue, d'un bout les ruelles de la ville de Boissy, et d'autre bout Marye Maistre soeur de ladite Héliette, etc. ; et outre moyennant la somme de douze livres et huit sols pour le principal, argent franc audit vendeur, etc.

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Vénéarble et discrète personne; Maître; Prêtre, chanoine en 1587, et principal du Collège de Pontoise, puis le 18 juin 1590, curé en la seconde portion de l'église St Maclou de Pontoise
Note(s) : En 1587, Gervais Caffin était chanoine, cité comme Principal du Collège de Pontoise, succédant à Jérôme Dancognée en place depuis 1583.
Source : Marcel Lebrun, " Histoire du Collège de Pontoise : 1564-1922. Annexe I - Liste des principaux du Collège de 1564 à l'an II ". Lucien Paris : Pontoise, 1923, p. 76.

Autre relation.
[Seconde portion] « Gervais Caffin se trouve curé le 18 juin 1590 ; inhumé le 23 octobre 1592 en l'église St Maclou de Pontoise, étant mort curé. »
Source : Eugène Amédée Lefèvre Pontalis, " Monographie de l'église Saint-Maclou de Pontoise ". Pontoise : A. Paris, 1888, p. 162. [NB : Il y avait deux portions de cure en la paroisse Saint-Maclou de Pontoise, lesquelles furent réunies en une seule depuis le décret de l'archevêque de Rouen du 15 mai 1736, et confirmée par Arrêt du Parlement du 31 janvier 1738 : « pour avoir son effet au jour du décès du premier mourant » des deux curés en fonction. Les deux titres de cure ne furent effectivement réunies qu'en 1743, après la mort du curé Pierre Lefebvre]

Gare à l'erreur ! En 1592, le jour et le mois de son inhumation : le 23 octobre - {selon la liste des anciens curés de Saint-Maclou rédigée par l'abbé Cossart, chanoine de la collégiale de Saint-Mellon de Pontoise } - ne peuvent manifestement pas correspondre avec ce qui est mentionné dans un acte notarié : « le quatryesme jour de no(vem)bre qui est le jour du trespas dudict deffunct ».
Source : AD 95, 2 E 11/171 - Acte du 02/12/1593, par devant Jehan Levasseur notaire à Pontoise. _ Délivrance de legs : Comparurent personnellement honnêtes personnes, Jehan Caffin, Gérard Caffin et Michel Caffin, laboureurs demeurant à Hérouville, comme héritiers et bien-tenants de défunt vénérable et discrète personne maître Gervais Caffin prêtre curé de l'église Saint Maclou de Pontoise, et lesquels Jehan et Gérard Caffin exécuteurs du testament dudit défunt maître Gervais Caffin, avec Françoise Fournier veuve de de défunt Pierre Caffin, leur mère, et dudit défunt maître Gervais Caffin ; de laquelle ils se sont fait fort, promettant lui faitre ratifier et avoir pour agréable le contenu en ces présentes quand requis en sera ; lesquels pour accomplir le testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt, en date du (blanc) jour de (blanc) M Vc IIII XX et douze, et suivant la clause portée par icelui, ont en la présence des notaires soussignés, baillé et payé à honorable homme Jehan Le Boucher bourgeois de Pontoise, receveur de ladite église et fabrique, la somme de cinquante écus sol en testons, quarts d'écu, pistoles et autres monnaies comptant, moyennant laquelle somme noble homme Gabriel de Monthiers, écuyer, seigneur de St Martin, prévôt maire et voyer de la ville, commune, banlieue de Pontoise, et honorable homme Hiérosme Clopin bourgeois de Pontoise, marguilliers de l'église et fabrique « ad ce » présents ~ ont promis et se sont obligés « esdits noms » marguilliers, en la présence de vénérables et discrètes personnes maîtres Christofle Lair et Christofle Souvoye, curés de ladite église « ad ce » présents, leurs successeurs marguilliers et receveurs de ladite église, de faire dire, chanter et célébrer par chacun an « le quatryesme jour de no(vem)bre qui est le jour du trespas dudict deffunct », en l'église St Maclou, « vigilles et recommandaces avecq troys haultes messes selon et ainsy que lon a coustume de faire et ung obit par les Curez chapelains Clercz et enffans de Coeur de ladicte eglise avecq le libera sur la fosse et inhumation dudict deffunct avecq de profundis et asperger deaue beniste », etc.

En 1592, à Valmondois, le curé de léglise fait mention de son décès un jour et un mois encore différents, ce parmi les mortuaires du village pour les années 1590 à 1592 !
« Le XIIIIe novembre Vc IIII XX et douze est decede Me gervais caffin »
Source : 3 E 32 1 Bréançon - BMS : 1572-1677. Feuillet faisant figure d'intrus parmi les BMS de Bréançon ; vue 41/143.

 

Note(s) : Collette Caffin était une soeur de Pierre Caffin, tous deux issus de Robert Caffin l'aîné et de Jehanne Benoiste, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/167 - Acte du 07/07/1586, par devant Jehan Levasseur notaire à Pontoise. _ Accord entre tuteurs et curateurs : Pierre Caffin marchand laboureur demeurant à Hérouville d'une part, et Anthoine Boucher dudit état demeurant à Verville d'autre (part) ; disant que à cause du décès de défunte Collette Caffin jadis femme dudit Anthoine Boucher, ils ont été élus et créé tuteurs et curateurs aux enfants dudit Anthoine Boucher ; lesquels ils seront échus " dhuy " au décès, date susdite ; à savoir de ladite défunte leur mère et de défunte Jehanne Benoiste, en son vivant femme de Robert Caffin, leur aïeule ; de la succession de laquelle défunte Collette Caffin, ledit Pierre Caffin n'aurait aucune chose manié ni administré, etc. il aurait délaissé la totale charge, gouvernance et administration des biens, tant meubles que immeubles de ladite défunte Jehanne Benoiste ; ledit Pierre Caffin n'aurait aucune chose manié ni administré sinon quelques biens meubles de ladite succession, desquels il a promis et sera tenu rendre compte audit Anthoine Boucher, etc., il en a délaissé et par ces présentes il en délaisse la totale charge et administration des personnes et biens desdits mineurs audit Anthoine Boucher, sous et promesse que ledit Anthoine Boucher et Marye Bernot sa femme, de lui autorisée pour faire et passer ce qui s'ensuit, etc.

Profession(s) : Marchand laboureur
Note(s) : Signe avec paraphe à un acte notarié.

 
Sosa : 14139, 14363, 29515, 14955, 15339

Note(s) : Collette, diminutif de Nicolle
Ne sait pas signer, fait sa marque à deux actes notariés.
Pontoise. Source : AD 95, 2E11/64 - Acte du 13/01/1587, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Transaction pour obvier d'entrer en grande involution de procès, entre Jehan Caffin laboureur demeurant à Hérouville, à cause de Colette Rouget sa femme et (au)paravant lui de feu Adrian Lefebvre, et Guillaume Lefebvre laboureur demeurant à Labbeville, tuteur des enfants dudit défunt et femme d'une part, -- et honnête homme René Richardière huissier en la Chambre des comptes à Paris, demeurant à Pontoise d'autre part, lesquelles parties disant que ledit Richardière aurait par ci-devant poursuivi ledit Caffin et la femme audit nom, par devant messieurs de la cour de parlement de Paris, à ce que audit détenteur, propriétaire et possesseur des héritages ci après déclarés, à savoir :
_ cinq perches de terre assis au terroir de Labbeville [au lieu-dit] " renard ", tenant à la terre St Martin dudit Labbeville, d'autre côté Guillaume Pichoreau, d'un bout au chemin et d'autre bout au fendant rue patis et d'autre bout à Nicolas Desmaretz et autres,
_ Item de demi arpent de terre assis audit terroir au lieu-dit " la banne ", tenant d'un côté au seigneur de Maisons, d'autre côté audit Desmaretz, d'un bout la au (sic) Le Febvre et d'autre bout au chemin,
_ Item de un autre demi arpent de terre assis au terroir de Valangoujard au lieu-dit les hayettes, tenant d'un côté audit Desmaretz, d'autre côté à la veuve Pierre Honoré, d'un bout Marin Hazard et d'autre bout Phlippes Hadancourt,
_ Item de quatorze perches de terre assis au terroir au lieu-dit " Vyard ", tenant d'un côté à la terre dudit St Martin, d'autre côté Jehan Delamotte, d'un bout au " mairin " et d'autre bout à Martin Laisné,
Jehan Caffin et Lefebvre fussent condamner à payer et continuer par chacun an audit Richardière, la quantité de cinq setiers de blé de rente qu'il a droit de prendre et percevoir chacun an, tant sur lesdits héritages que sur plusieurs autres, et encore payer plusieurs années d'arrérages de ladite rente que ledit Richardière dit se monter à ving deux années, etc.
A la suite,
Acte du 11/07/1587 par devant le même notaire : Jehan Caffin et Guillaume Lefebvre reconnaissent avoir eu et reçu de maître René Richardière, la somme de 42 écus sol que ledit Richardière était tenu leur payer.
A la suite,
Acte du 17/07/1587 par devant le même notaire : ratification du contrat par Colette Rouget femme de Jehan Caffin, dénommée au contrat ci-dessus, laquelle après lecture à elle faite dudit contrat, à ratifier et appert avoir pour bien agréable ; « ladicte femme a dict ne scavoir escripre ny signer »

Le décès de Collette Rouget est survenu après le 19 mars 1592, comme il appert d'un autre acte notarié. Selon toute apparence, elle serait native d'Amblainville.
Source : AD 95, 2 E 11/252 - Acte du 19/03/1592, par devant Côme de Bouroul notaire à Pontoise. _ Vente par Nicolle Rouget veuve de défunt Jehan Caffin « laisné », demeurant à Aronville (sic), dame de soi, -- à honorable personne André De Machy demeurant de présent à Sandricourt, à ce présent, acheteur, pour lui, ses hoirs ; c'est à savoir un demi quartier de vignes assis au vignoble d'Amblainville au lieu-dit " fontenelle ", la pièce ainsi qu'elle se comporte, appartenant à ladite veuve à cause de la succession de défunt Me Nicolle Rouget, en son vivant curé d'Aronville, tenant d'un côté à la veuve Lucian Prévost, d'autre côté à (blanc), d'un bout à Eustace Le Febvre et d'autre bout à la veuve Eustace Fleury et Jehan et Noël Finet, mouvant du seigneur de Sandricourt à cause de sa terre et seigneurie d'Amblainville, à la charge de trois sols tournois et demie poule, et pour arpent de cens par chacun an le jour St Rémy, sans autres charges, pour en jouir par ledit acheteur, ses hoirs /) à toujours ; cette « vendition » faite outre et moyennant et parmi la somme de dix écus sol, argent franc à ladite « venderesse » que pour ce elle a confessé avoir eu et reçu dudit acheteur, dont & quittant & dessaisissant & si comme & promettant & obligeant biens & renonçant ; présences de Jehan Caullier et Simon Noël greffier demeurant à Amblainville

 

Note(s) : Le Maistre / Maistre, selon les actes : paroissiaux ou notariés...
Michelle Maistre était la soeur de Jehan Maistre le jeune, comme l'atteste un acte notarié en ces termes : « et voulant par ledit Vaillant en satisfaire ledit Jehan Maistre frère d'icelle femme ».
Source : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Contrat et transaction d'une part, puis accord et contrat d'autre part : furent présents en leurs personnes Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, en son nom et comme se faisant fort de Michelle Maistre sa femme par laquelle, Jehan Maistre le jeune laboureur demeurant à Boissi Laillery, lesquels disant que dès long temps les marguilliers et receveurs de ladite fabrique auraient mis en procès lesdites parties et Guy Maistre laboureur demeurant audit Boissi, et contre eux conclu - comme héritiers directement ou par moyens dudit bien venu - à ce qu'ils fussent condamnés leur passer titre seuls, l'un pour le tout de ladite rente, et à leur payer vingt six années de grain d'arrérages d'icelle rente, à raison de quoi ils auraient joins et mis en concept plusieurs personnes disparates, possesseurs et propriétaires de parties desdits héritages, et néanmoins auraient été tellement poursuivis par lesdits marguilliers et receveurs qu'ils auraient été condamnés - par sentence du prévôt en garde de Ponthoise, confirmée par le bailli de Senlis ou son lieutenant audit Ponthoise - a payer et continuer chacune pour le tout ladite rente de vingt et un setiers, et à payer lesdits arrérages ; par quoi se seraient retirés par « devers » lesdits marguilliers et receveurs, et avec eux auraient composé ; par laquelle composition ils leur auraient baillé vingt cinq arpents un quartier moins de terres, des terres dudit bail et (aus)si se seraient obligés de leur payer neuf cents livres tournois ainsi qu'il est porté par le contrat et transaction de ce fait ; desquels vingt cinq arpents un quartier moins, Jehan Maistre en aurait baillé desdits Gilles Vaillant et sa dite femme, quatre arpents qui lui appartiennent, pour bailler à ladite fabrique, dont bien que par ladite transaction il n'en soit fait mention // et voulant par ledit Vaillant en satisfaire ledit Jehan Maistre frère d'icelle femme, auraient lesdits Gilles Vaillant et Jehan Maistre fait entre eux accord et contrat tel qui ensuit, etc. ; et partant certain contrat de dédommagement, portant obligation, passé entre lesdits Gilles Vaillant et Jehan Maistre pour raison de ladite rente et arrérages, daté du XXIIIIe jour de janvier mil Vc soixante (et) un, est cassé, demeure cassé et annulé moyennant ces présentes et ledit contrat passé avec lesdits de St Macloun et à ce faire était présente en sa personne Marguerite Vaillant femme dudit Jehan Maistre, laquelle de l'autorité dudit Maistre son mari, a eu pour agréable le contenu en ces présentes, et ce faisant a renoncé au droit de douaire qu'elle pourrait avoir, quereller et demander ores et pour l'avenir sur lesdits quatre arpents de terre par son mari délaissés aux dits Vaillant et sa dite femme comme dit est, si comme, obligeant biens & renonçant & et laquelle femme a dit ne savoir signer

Source : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, et Michelle Maistre sa femme de lui autorisée, Guy Maistre, Denise Bérard sa femme, Jehan Maistre le jeune et Marguerite Vaillant sa femme, demeurant à Boissi Laillery, lesquels même lesdites femmes de leurs maris autorisées ont dit et confessé que « ce jourdhuy » ledit Gilles Vaillant et sa dite femme et autres, se sont obligés et auraient chacun pour le tout « sans division ne discution » promis payer aux marguilliers et receveurs de la fabrique St Maclou de Ponthoise, la somme de neuf cents livres tournois aux termes et pour les causes portés par le contrat et transaction fait entre eux et lesdits marguilliers et receveurs audit jour ; de laquelle somme ils reconnaissants sont tenus envers lesdits Vaillant et sa dite femme, de trois cents livres tournois, lesdits Guy et Jehan Maistre aussi chacun de trois cents livres tournois ; à cette cause ont lesdits reconnaissants promis et promettent l'un à l'autre d'acquitter l'un d'eux l'autre de la somme de neuf cents livres tournois, pour lesdites portions, envers lesdits marguilliers et receveurs St Maclou, et de toutes pertes, dépens, dommages et intérêts qu'ils pourraient l'un pour l'autre pouvoir souffrir et soutenir à faute de ce faire en temps et lieu, si comme & obligeant & renonçant & ; fait le XXIXe jour de mil Vc soixante deux & Guy a dit ne savoir écrire et lesdites femmes ont dit ne savoir signer

Héritière de son oncle Jehan Maistre, prêtre.
Source : AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise. _ Délivrance de legs : furent présents en leurs personnes honnêtes personnes Nicolas Maistre laboureur demeurant à Chars, Marguerin Maistre dudit état demeurant à Longuesse, Pierre Tavernier marchand demeurant à Pontoise à cause de Michelle Maistre sa femme, Charles Tuppin demeurant à Ennery à cause de Jehanne Maistre sa femme, Pierre Maistre et Denis Maistre, frères, et François et Pierre Maistre fils de Françoys, tous laboureurs demeurant à Boissy Laillery en leurs noms + \ (en marge) + André Dupré laboureur demeurant à Auvers à cause de Katherine Maistre sa femme, Jehan Maistre laisné laboureur demeurant audit Boissy /, et Noël Panuel laboureur demeurant audit Boissy comme tuteur et curateurs des enfants feu Jehan Maistre et de Nicolle Galloix sa femme, à présent femme dudit Panuel, aussi comme se faisant fort de Jehan Dubray laboureur demeurant à Livillier à cause de Geneviefve Maistre sa femme, et encore ledit Pierre Maistre fils de Françoys comme se faisant fort de Jehan Maistre laboureur demeurant à Cormeilles en Veulxin et Jehan Dameville laboureur demeurant à Puiseux à cause de Perrette Maistre sa femme, tous héritiers de feu vénérable et discrète personne maître Jehan Maistre en son vivant prêtre vicaire de l'église collégiale monsieur St Mellon de Pontoise, et voulant accomplir le testament dudit défunt, etc.

Marguerin Maistre, cité dans l'acte ci-dessus, fut le parrain de sa fille Hélène, née en 1572.
Pierre Maistre, l'un des deux cités aussi dans l'acte ci-dessus, fut le parrain de son fils Nicolas en 1586.

Devenue veuve de Pierre (Le) Tavernier, elle convole en troisièmes noces avec Antoine Dagneau.
Source : AN, MC/ET/VIII/566, fol. 55 - Acte du 13/01/1605, par devant Guillaume Nutrat notaire au Châtelet de Paris. _ Contrat de mariage entre Pierre Mercier, compagnon pelletier chez Antoine Mosle, -- et Hélayne Tavernier fille de défunt Pierre Tavernier, marchand tonnelier en la ville de Pontoise, et de Michelle Le Maistre à présent femme de Antoine Dagneau, marchand à L'Aumône près de Pontoise.

 

Note(s) : Phlippes, anc. graphie de Philippe
La filiation paternelle et maternelle de Philippe Benoiste est attestée par un acte notarié, auquel il signe " phlyppe Benoiste " avec paraphe.
Source : AD 95, 2 E 11/64 - Acte du 19/03/1587, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise : Transaction « pour eviter a plusieurs fraiz & despens » de justice, entre Denis Blossier Marchand et laboureur demeurant à Haraviller (sic, pour Haravilliers) d'une part, et Phlippes Benoiste laboureur demeurant à Cormeilles en Veulxin d'autre part ; lesquels parties reconnurent que par ci-devant ledit Benoiste avait mis en cause ledit Blossier par devant monsieur le prévôt en garde dudit Pontoise, tendant afin de lui rendre compte et reliquat des biens, meubles et administration, et les immeubles qui lui appartiennent comme héritier de feus Loys Benoiste et Bine Bonnet ses père et mère, comme étant pleige et caution de Nicolas Guillatz naguère tuteur dudit Benoiste, qui avait administré tous « iceulx » biens, et pour ce qu'il Blossier avait pleigé « icelluy » Guillatz, « icelluy » Benoiste comme son garant avait sommé « icelluy » Blossier ainsi que dit est, à cette fin et si comme « icelluy » Blossier avait sommé « icelluy » Guillatz et à présent sa veuve, tendant afin d'acquit, etc.

 

Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/33 - Acte du 16/04/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Jehan Dameville fils de feu Robert Dameville et de Jehanne Dauvergne sa veuve, dame de soi, demeurant au Mesnil, paroisse de Saigy d'une part, et Perrette Maistre fille de Pierre Chéron, laboureur demeurant à Boissi Laillery, et de Lucienne Sarrazin, auparavant lui - son mari et bail ledit Chéron - femme de feu Françoys Maistre d'autre part. [NB : Absence de témoins in acte].

Héritière de son oncle Jehan Maistre, prêtre.
Source: AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Jehan Maistre, prêtre, fils de Nicolas Maistre et de Jehanne Le Danois)

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024