Note(s) : Ambroise Caffin son grand-père, et Pierre Chamot son père, ont été créés ses tuteurs et curateurs à la mort de sa mère.
Source : AD 95, 2 E 10/1 - Acte du 03/07/1539, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise.

 
Sosa : 50672, 109696, 58000, 116064, 117000, 117144, 235448, 118032, 118160, 236384, 236984, 118568, 237496, 59792, 120248, 243640, 61328

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Jehan Caffin né vers 1458, fut selon toutes apparences le père de Jehan Cafin dit le jeune, et de Denis Caffin dit frère et pleige dudit Jehan Caffin le jeune dans une pièce justificative de compte d'un argentier de Pontoise, datant de 1520 (voir in Notice biographique de Jehan Caffin le jeune).
Source : AD 95, 9 H 53 (2) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse III, Cote 26. Baux des menues dîmes des Granges d'Hérouville - Acte du 12/05/1484, expédition en parchemin. _ A tous ceulx qui ces presentes lectres verront Jehan cossart bourgeois de pontoise & garde de par le Roy nostre sire des sceaulx de la ville et chastellenie dudit lieu Et jehan muterne clerc tabellion juré commis et estably de par icelluy seigneur en ladite ville et chastellenie salut Savoir faisons que pardevant nous vint et fut present en sa personne jehan caffin laboureur demourant a herouville lequel de sa bonne voulenté sans aucune contraincte congnut et confessa avoir prins et Retenu a tiltre de ferme et moison de grain du jour et dacte de ces presentes jusques a neuf ans et neuf despeulles entresuyvans finys Revolus et acomplis des Religieux abbé et couvent de saint martin sur viosne lez pontoise bailleurs audit tiltre pour eulx leurs successeurs ou aians cause au temps advenu par messire jehan baze prebstre leur procureur Cest assavoir les dismes des granches des cousturez de Court pres de herouville appellé la petite disme de herouville et terrouer denviron tout ainsy et pour la somme et maniere que on a a cousteume prendre cueillir et lever lesdites dismes Ceste presente prinse faicte moiennant et parmy le pris et quantité de neuf septiers de grain les deux pars blé et le tiers advoine . bon grain loial et marchant . vallant disme et champart livré Rendu et conduit franchement es greniers de ladite abbaye de saint martin et a la mesure du lieu avec une poulle grasse par chacun an pour levesque des innocens que pour ce ledit preneur doit a promis et sera tenu lui et ses hoirs ou aians cause durant ledit temps en Rendre bailler et paier ausditz Religieux leur procureur ou Recepveur pour eulx ou au porteur de ces lectres par chacun an au jour et terme saint martin diver Premier terme de paiement commancant audit jour saint martin diver prochainement venant et ainsy en continuant doresnavant de la en avant dan en an audit terme ledit temps durant et ladite poulle aussi par chacun an audit jour des innocens Rendre et porter en ladite abbaye premier terme de paiement commancant audit jour des innocens prochain venant et ainsy en continuant de paiement prochain an durant ledit temps Si comme tout ce ledit preneur disoit et que ainsy le voult passa promist et accorda pardevant nous Promectant icellui preneur en nos mains paroles foy et serment de son corps et soubz lobligation de tous ses biens et ceulx de ses hoirs meubles et heritaiges presens et advenir quelzconques quil en submist a justice par toutes justices ou ilz seront trouves tenir entretenir acomplir . et avoir agreable ferme et estable a tousiours tout le contenu en ces lectres par la maniere dessusdite sans jamais aller au contraire par luy ne par aultres Sur peine de Rendre et paier a plain tous coustz et fraiz qui par deffault des choses dessusdites sen pourroient ensuivre dont il voult le porteur de ces lectres estre recu par son simple serment sans autre preuve faire et renoncera ledit preneur en ce faisant ajouter choses a ces lectres contraires En tesmoing de ce nous garde dessus nommé avons mis a ces presentes lesditz sceaulx Ce fut fait et passé audit pontoise le samedi vingt et deuziesme jour de may lan mil CCCC quatre vings et quatre . (Signé : Muterne, avec paraphe)

L'année d'après, en 1485, Jehan Caffin cède et transporte le bail à Thomas Le Maistre.
Source : AD 95, 9 H 53 (2) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse III, Cote 26. Baux des menues dîmes des Granges d'Hérouville - Acte du 28/07/1485, expédition en parchemin. _ A tous ceulx qui ces presentes lectres verront Jehan Cossart bourgeois de pontoise garde de par le Roy nostre sire du scel de la ville et chastellenie dudit lieu Et guillaume loysel clerc tabellion juré commis et estably de par icelluy seigneur en ladite ville et chastellenie salut Savoir faisons que pardevant nous vint et fut present en sa personne jehan caffin laboureur demourant a herouville lequel de sa bonne voulenté sans force ou contraincte aucune Recongnut et confessa avoir ceddé et transporté Et promis garandir delivrer et deffendre a ses coustz et despens de tous troubles et empeschemens quelzconques envers et contre tous en jugement et dehors durant ledit temps A thomas le maistre demourant audit herouville tout et tel droit part et porcion qui luy peult duire compecter et appartenir des petites dismes des granches dudit herouville par la prinse par luy faicte a neuf ans des Religieulx abbé et couvent de sainct martin lez ledit pontoise Ce present transport fait aux charges contenues esdites lectres de prinse et a quoy ledit caffin print lesdites dismes que pour ce ledit le maistre sera tenu paier et acquicter ledit caffin lesdits neuf ans durant Premier terme de paier lesdites charges par ledit le maistre commancant au jour sainct martin diver prouchainement venant Et ainsy en continuant de paier de la en avant dan en an audit terme durant ledit temps et tout selon et ainsy que contenu est esdites lectres de prinse . Si comme tout ce ledit caffin disoit et que ainsy le voult promist passa et accorda pardevant nous Promectant en noz mains icelluy caffin par les foy et serment de son corps Et soubz lobligation de tous ses biens et des biens de ses hoirs meubles et immeubles presens et advenir quelzconques quil ensubmist pour ce du tout A la juridiction et contraincte dudit scel de ladite ville et chastellenie dudit pontoise et de toutes autres justices et juridictions ou trouvez seront tenu et avoir pour agreable ferme et estable a tousiours toutes et chacunes les choses dessusdites sans jamais a nul jour aller au contraire Sur peine de Rendre paier et Restituer a pur et a plain et sans aucun plait ou proces tous coustz fraiz missions despens dommaiges et interestz qui faiz euz et soubztenuz seroient ou deffault des choses dessusdites ou daucunes dicelles non acompliez deuement Et Renonca en ce fait expressement icelluy caffin par sesditz foy et serment A toutes choses generallement quelzconques a ces lectres contenues Et mesmement au droit disant generallement Renonciation non valloir En tesmoing de ce nous garde dessus nommé Avons scellé ces presentes lectres dudit scel Ce fut fait et passé audit pontoise Le Jeudi vingt huitiesme Jour de Juillet Lan mil CCCC quatre vingtz et cinq . (signé : Loysel, avec paraphe)

 
Sosa : 50673, 109697, 58001, 116065, 117001, 117145, 235449, 118033, 118161, 236385, 236985, 118569, 237497, 59793, 120249, 243641, 61329

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Charles a épousé en premières noces Anthoinette Lamouche dont la date de décès est attestée par un acte notarié relatif à l'exécution de son testament.
Source : AD 95, 2 E 10/2 - Acte du 14/06/1541, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente, cession et transport : Charles Caffin demeurant à Hérouville, tuteur des enfants de lui et de feue Anthoinette Lamouche sa femme, « confesse que en eust le testament dicelle et en voullant icelluy accomplir il auroit baillé ceddé transporté et par ces presentes baille cedde transporte et delaisse et promect oudict nom », -- à la fabrique Saint Cler dudit Hérouville, ce acceptant par Jehan Bartin l'un des marguilliers d'icelle fabrique, demeurant audit lieu, demi arpent de terre séant au terroir dudit Hérouville au lieu-dit " le chemin de Brécourt ", tenant d'un côté la Bazannière de Paris, d'autre côté ledit Caffin, d'un bout ledit chemin et d'autre bout maître Jehan Dauvergne, en la censive du seigneur dudit Hérouville, à la charge de six deniers parisis et de droit de champart de cent onze gerbes, pour en jouir ; ce présent transport et délaissement faits aux dites charges, aussi à la charge que ladite fabrique et les marguilliers d'icelle seront tenus de faire dire, chanter et célébrer par chacun an, le quinzième jour du mois de janvier, à toujours et perpétuellement, vigiles avec une basse messe de requiem en l'église dudit Hérouville, et pour le salut et remède de l'âme d'icelle défunte, et pour faire quérir et livrer les lumières, calices et toutes autres choses nécessaires, premier terme échéant commençant audit XVe janvier prochain venant et ainsi & dont & promettant & obligeant & renonçant

Très probablement trois mois plus tard, après le décès de sa femme, le 11 janvier 1541, il convole en secondes noces avec Perrette Lorget.
« 27 sept. 1560. Jacqueline Gervais femme de noble homme Thomas La Colle archer de la Cie de Monsieur le roy de Navarre demeurant à Berchères d'une part et Louis Caffin laboureur demeurant à Frouville se faisant fort de Perrette Lerget (sic) , veuve de Charles Caffin. La dicte Jacqueline auctorisée de son mary par procuration du dixième d'apvril 1553, signé Denard tabellion en la prébende de Berchères transigeait dans un procès à condition de payer par moitié les despens et taxes. »
Source : Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin - Ephémérides Pontoisiens pour les années 1560 et 1561, tirées des Archives Nationales. L. Guignard et J. Depoin. 1886, t. X, p. 73.

Autre relation.
Source : AN, MC/ET/LIV/163-1 - Acte du 17/03/1561, par devant René Contesse notaire au Châtelet de Paris. _ Transport de rente par Alexandre Martin, orfèvre demeurant à Paris, place aux veaux, héritier de défunte Catherine Grate, sa mère, vivant femme de Robert Martin, père dudit Alexandre, à Louis Caffin, laboureur demeurant à Hérouville, châtellenie de Pontoise, et à Perette Lorget, veuve de Charles Caffin ; mention de défunt Jean (De) Laval, vivant boisselier à Paris, fils et héritier de défunt Claude, vivant premier mari de ladite Catherine Grate.
Via : http://www.famillesparisiennes.org/public/marydefert/orfevres16e.html
Travaux de Jean-Louis Mary-Defert

Le décès de Charles Caffin est survenu entre le 10/10/1556 et le 01/12/1558.
Source 1) : AD 95, 2 E 11/24 - Acte du 10/10/1556, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente par Charles Caffin laboureur demeurant à Hérouville, -- à Jehan Lucas dudit état demeurant à Espies, présent, acheteur, quarante perches de terre assises audit terroir dudit Espies au lieu-dit " le boys de gerocourt ", tenant d'un côté à Pierre Lucas, d'autre côté à Jehan Bachellier, d'un bout audit acheteur et d'autre bout à Françoys Galloix, mouvant de noble et discrète personne maître Robert Dallongnes, prêtre, seigneur de Louville et d'Espies en partie, à la charge de 15 deniers tournois de cens chacun an au jour Saint Lucien + (en fin) \ + pour arpent /, pour toutes charges, pour en jouir ; ce vendu moyennant la somme de seize livres tournois que pour ce & dont & quittant & dessaisissant & si comme & obligeant & renonçant, fait comme dessus ; présents Dimenche Fournier de Grisy et Claude Duplexis clerc, témoins
Source 2) : AD 95, 2 E 11/28 - Acte du 01/12/1558, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Reconnaissance d'héritages : fut présent en sa personne Loys Caffin laboureur demeurant à Hérouville, lequel reconnut qu'il est détenteur et propriétaire d'un arpent et demi de terre assis au terroir dudit Hérouville au lieu-dit " les deffaictz ", tenant d'un côté à la damoiselle Morelly, d'autre côté au seigneur de Hérouville, d'un bout aux héritiers Jehan Caffin et d'autre bout Denys Caffin ; Item de soixante perches de terre assises au terroir d'Ennery au lieu-dit " la pointe ", tenant d'un côté au seigneur de Roulleboize, d'autre côté au chemin tendant dudit Ennery audit Hérouville, et d'un bout au seigneur de Saint Maclou ; Item de la quatrième partie en quatre, les quatre faisant le tout d'une maison, grange, cour, jardin et lieu ainsi, assis audit Hérouville en " la rue de lormeteau ", tenant des deux côtés et d'un bout audit Denis Caffin et d'autre bout le chemin qui mène à Auvers ; Item un quartier et demi de jardin assis au terroir dudit Hérouville au lieu-dit " au bout de la rue de lormeteau ", tenant d'un côté aux héritiers feu Charles Caffin, d'autre côté au chemin d'Auvers, d'un bout aux héritiers Charles Caffin et d'autre bout audit constituant reconnaissant, etc.
NB : Le Loys Caffin dont il est question dans cet acte, ne serait pas le fils de Charles Caffin, mais celui de Claude Caffin et de Guillemette Benoiste.

Découvert après coup, un registre censier de 1556 confirme que le décès de Charles Caffin est survenu cette année-là, après le 10 octobre et au plus tard le 31 décembre ! En effet, sa veuve [Perrette Lorget] est citée à la fois comme « tenant et aboutissant » d'une pièce de terre sise à Cormeilles-en-Vexin.
Source : AD 95, 2 E Sup 146 - Registre contenant dans le désordre des déclarations censières de 1510, 1556 (selon toute apparence), 1552, 1554 et 1553. Ces déclarations interviennent notamment lors de fois et hommages avec aveux et dénombrements, faits aux seigneurs successifs du fief de Grisy à Cormeilles en Vexin, par plusieurs vassaux dont Jehan Chesnu en 1510, puis Louis de La Fontaine en 1556 selon toute apparence ; suivent des déclarations de terres cultivées, en jachères, du fief de Cormeilles par André de Dampont en 1552, 1553, et 1554 par le même seigneur (en 1552, le Connétable Anne de Montmorency échange le fief de Grisy autrement appelé fief Dardel, pour lors lui appartenant, contre des héritages à Livilliers possèdés par André de Dampont).
En 1556 (fol. 65), parmi les six déclarations censières de Pierre Lucas comme tuteur des enfants mineurs, Margueritte et Jehan, la deuxième déclaration fait mention de la veuve de Charles Caffin :
« Item trente cinq perches de terre assis audict terrouer ou lieudict les closeaulx Tenant dun coste et dun bout a la veufve charles caffin dautre coste a jacques belle a cause de sa femme dun bout (sic) daultre bout a p(ier)re pierre (sic) pohier charge ladicte piece de terre de vingt deniers tournois de cens par chacun an le Jour sainct Remy pour ce .... XX d tz ».

Note(s) : Le décès d'Anthoinette Lamouche est survenu le 15 janvier 1541, comme il appert d'un acte notarié relatif à l'exécution de son testament.
Source : AD 95, 2 E 10/2 - Acte du 14/06/1541, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente, cession et transport : Charles Caffin demeurant à Hérouville, tuteur des enfants de lui et de feue Anthoinette Lamouche sa femme, « confesse que en eust le testament dicelle deffuncte et en voullant icelluy accomplir il auroit baillé ceddé transporté et par ces presentes baille cedde transporte et delaisse et promect oudict nom », -- à la fabrique Saint Cler dudit Hérouville, ce acceptant par Jehan Bartin l'un des marguilliers d'icelle fabrique, demeurant audit lieu, demi arpent de terre séant au terroir dudit Hérouville au lieu-dit " le chemin de Brécourt ", tenant d'un côté la Bazannière de Paris, d'autre côté ledit Caffin, d'un bout ledit chemin et d'autre bout maître Jehan Dauvergne, en la censive du seigneur dudit Hérouville, à la charge de six deniers parisis et de droit de champart de cent onze gerbes, pour en jouir ; ce présent transport et délaissement faits aux dites charges, aussi à la charge que ladite fabrique et les marguilliers d'icelle seront tenus de faire dire, chanter et célébrer par chacun an, le quinzième jour du mois de janvier, à toujours et perpétuellement, vigiles avec une basse messe de requiem en l'église dudit Hérouville, et pour le salut et remède de l'âme d'icelle défunte, et pour faire quérir et livrer les lumières, calices et toutes autres choses nécessaires, premier terme échéant commençant audit XVe janvier prochain venant et ainsi & dont & promettant & obligeant & renonçant

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Loys Caffin est né vers 1523 ; estimation faite d'après l'année du contrat pour son premier mariage, passé en juin 1548.
Source : AD 95, 2 E 11/ 238 - Acte du 07/06/1548, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Loys Caffin et Jehanne Bouticourt : furent présents en leurs personnes Olivier Benoiste laboureur demeurant à Hérouville, +° \ (en marge) +° et Marion Bourache sa femme de lui autorisée, et (au)paravant lui femme de Pierre Bouticourt, d'une part, et Charles Caffin aussi laboureur demeurant audit lieu d'autre part ; lesquelles parties reconnurent avoir fait et par ces présentes font entre eux les traités, accords et convenances matrimoniales qui ensuivent ; c'est à savoir que ledit Caffin a promis faire prendre à femme et épouse Jehanne Bouticourt fille dudit feu Pierre Bouticourt et de ladite femme, par Loys Caffin + \ (en marge) + son fils, pour ce présent et qui ainsi l'a promis et accordé, et lesdits Benoiste et sa dite femme ont pareillement promis faire prendre à mari et époux ledit Loys par ladite Jehanne Bouticourt « si tost et incontinent que dieu et saincte eglise si accorderont en faveur et contemplation dudit mariage que autrement ne seroit faict si comme ilz disoient », etc.

En 1552, lors d'une prise de bail à ferme par Loys Caffin, son père Charles Caffin se constitue pleige et principal payeur, comme attesté en fin d'un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/240 - Acte du 18/03/1552, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Délivrance de bail à titre de ferme et moisson de grain : furent présents en leurs personnes Enoch Le Moyne et Henry De Laistre, laboureurs demeurant à Hérouville, ès noms et comme marguilliers de l'oeuvre et fabrique de l'église paroissiale Saint Cler dudit Hérouville, pour et au nom d'icelle fabrique d'une part, et Loys Caffin laboureur demeurant audit lieu, en son nom d'autre part ; lesquelles parties reconnurent et confessèrent - que suivant les publications et proclamations faites par deux divers dimanches, tant au prône que à l'issue de la messe paroissiale dudit Hérouville - que les terres à ladite fabrique appartenant seraient baillées à titre de ferme au plus offrant et dernier enchérisseur ainsi qu'il appert par le procès verbal ; de ce fait, devant le vicaire ou curé dudit lieu serait comparu ledit Caffin auquel suivant l'avis et consentement de la plus « grand » et saine partie des habitants dudit Hérouville « illec » assemblés, lesdites terres auraient été baillées et délivrées comme plus offrant et dernier enchérisseur, aux charges ci-après déclarées, et à cette cause lesdits marguilliers voulant entretenir ledit bail et délivrance, auraient - par et au nom de ladite fabrique - baillé et délaissé, baillent et délaissent audit titre de ferme et moisson de grain, du jour St Martin d'hiver prochain venant jusqu'à neuf ans et neuf dépouilles ensuivant l'un l'autre,, révolus et accomplis, et promettent - pour et au nom d'icelle fabrique - garantir de tous /) audit Loys Caffin preneur audit titre pour lui, ses hoirs et ayants cause, ledit temps durant ; c'est à savoir toutes et « chacunes » les terres labourables à icelle fabrique appartenant, séant au terroir dudit Hérouville et ès environs, que lesdits bailleurs lui seront tenus bailler par déclaration, mesure(s), tenants et aboutissants, selon laquelle et par mesures, déclaration de tenants et aboutissants, il sera tenu et à promis les rendre aux dits bailleurs en la fin dudit temps, pour en jouir ; ces présents bail et promesse faits à la charge que comme ledit preneur, ses dits hoirs et ayants cause - chacun d'eux pour le tout sans division - seront tenus, et a promis icelui preneur, labourer, fumer, cultiver, améliorer et amender bien et dûment lesdites terres, et en fin dudit temps les rendre à ladite fabrique en bon état de labour, et outre moyennant et parmi la quantité d'un setier blé « fourment » à douze deniers parisis, « pres du melieur du creu (sic, pour prix du meilleur du cru) » desdites terres, mesure de Pontoise et rendu au marché dudit lieu, que de ferme pour chacun arpent desdites terres ; ledit preneur ses dits hoirs, chacun d'eux pour le tout sans division comme dit est ; (aus)si a promis, promet et seront tenus payer par chacune desdites années aux dits bailleurs, leurs successeurs marguilliers pour et au nom de ladite fabrique ou au porteur, ledit jour St Martin d'hiver ; premier terme de paiement commençant dudit jour prochain venant en un an, et ainsi /) + \ (en marge) + et (aus)si sera tenu par chacune desdites années faire deux journées de deux chevaux pour les affaires de ladite fabrique pendant ledit temps / ; et avec ce confessent seulement ladite ferme, avoir eu et reçu dudit preneur la somme de douze écus d'or sol que ledit preneur, en faisant ledit bail, aurait promis et était tenu bailler pour subvenir à entretenir les calices et ornements de ladite église, si comme ils disent, dont & quittant # (plus après) promettant & obligeant biens & même ledit preneur ses biens et ceux de ses hoirs, chacun pour le tout sans division & renonçant & # et à ce faire étaient présents Charles Caffin laboureur demeurant audit Hérouville, père dudit preneur, lequel volontairement s'est constituer et constitue pleige et principal payeur de ladite ferme et choses susdites, et à ces fins s'est obligé et oblige avec ledit preneur, chacun d'eux pour le tout sans division, envers icelle fabrique, et ledit preneur leur a promis dédommager /) fait comme dessus

En 1560, Loys Caffin demeurait à Frouville.
« 27 sept. 1560. Jacqueline Gervais femme de noble homme Thomas La Colle archer de la Cie de Monsieur le roy de Navvarre demeurant à Berchères d'une part et Louis Caffin laboureur demeurant à Frouville se faisant fort de Perrette Lerget (sic) , veuve de Charles Caffin. La dicte Jacqueline auctorisée de son mary par procuration du dixième d'apvril 1553, signé Denard tabellion en la prébende de Berchères transigeait dans un procès à condition de payer par moitié les despens et taxes. »
Source : Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin - Ephémérides Pontoisiens pour les années 1560 et 1561, tirées des Archives Nationales. L. Guignard et J. Depoin. 1886, t. X, p. 73.

En 1561, il demeurait à Hérouville.
Source : AN, MC/ET/LIV/163-1 - Acte du 17/03/1561, par devant René Contesse notaire au Châtelet de Paris. _ Transport de rente par Alexandre Martin, orfèvre demeurant à Paris, place aux veaux, héritier de défunte Catherine Grate, sa mère, vivant femme de Robert Martin, père dudit Alexandre, à Louis Caffin, laboureur demeurant à Hérouville, châtellenie de Pontoise, et à Perette Lorget, veuve de Charles Caffin ; mention de défunt Jean (De) Laval, vivant boisselier à Paris, fils et héritier de défunt Claude, vivant premier mari de ladite Catherine Grate.
Via : http://www.famillesparisiennes.org/public/marydefert/orfevres16e.html
Travaux de Jean-Louis Mary-Defert

Signe avec paraphe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/35 - Acte du 19/12/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente par Jehan Berthin et Loys Caffin laboureurs demeurant à Hérouville, tant en leurs noms que comme eux faisant fort de Georges Berthin frère dudit Jehan par lequel, -- à Guillaume Hauvis laboureur demeurant audit lieu et Jehanne Le Moyne sa femme, & Jehan Garnyer demeurant à Auvers, ce acceptant par ledit Guillaume Hauvis présent, lesdits Garnyer, Hauvis & sa dite femme naguère tuteurs et curateurs desdits Jehan & Georges & Guillemette Berthin femme audit Caffin, de toute la recette du temps, mandement, gouvernement et administration que lesdits Garnyer, Hauvis & sa dite femme, auraient de ce faite ou dû faire des biens, meubles & revenu des héritages & biens immeubles appartenant aux dits Jehan & Georges Berthin & audit Caffin à cause de sa dite femme, à cause de la succession de feus Jacques Berthin leur père & de Pierre Berthin leur frère, et autrement ensemble de toutes autres choses généralement quelconques, dont ils reconnaissants esdits noms pourront à raison de ce qui est & qui en dépend et auraient fait action & demande aux dits Hauvis et sa dite femme & Garnyer même, ont lesdits reconnaissants esdits noms quitté et quittent lesdits Garnyer, Hauvis & sa dite femme du droit qu'ils avaient esdits noms en un demi arpent de jardin assis audit Hérouville au lieu-dit " le clotz pigeon ", pour raison duquel y aurait un procès fait entre eux « que mestier est », en ont fait cession et transport aux dits Hauvis et sa dite femme ; ce quittement fait exprès par lesdits reconnaissants, en confessent esdits noms, par Hauvis leur avoir tant pour lui que pour sa dite femme & Garnyer, rendu bon compte par le menu & par articles de leurs dits biens meubles & revenu de leurs dits héritages & biens immeubles, et faire bon paiement du reliquat d'icelui compte, même les deniers qu'ils Hauvis & sa dite femme pourraient avoir reçus desdits droits, qu'ils reconnaissants esdits noms pourraient, auraient audit demi arpent de jardin ; présents Nicolas Leschauguette dit chouquet de Hérouville et Laurens Bataille de Nesle, témoins

Note(s) : Occurrence : Lerget (acte tiré des archives nationales par L. Guignard et J. Depoin)
Selon toute apparence, Perrette Lorget est néé et a été mariée à Cormeilles-en-Vexin...

Perrette Lorget avait épousé Nicollas Benoiste en premières noces.
Source : AD 78, D 1109 1 / Maison royale de Saint-Louis (Saint-Cyr-l'Ecole, Yvelines. Seigneurie de Cormeilles-en-Vexin) - Terrier : 1543-1544, fol. VIIi XX XV v°. _ « Du Samedi VIIIe Jour de Juing audict an (1544). -- Fief des sanguins. -- Charles Caffin en son nom a cause de perrette lorget paravant Luy femme de nicollas benoiste demourant a herouville Et Jehan benoiste demourant a grisi ou nom et comme tuteurs & curateurs ordonnés par Justice des enffans myneurs dans desdictz feu nicollas benoiste & de ladicte perrette lorget comme usuffruictz Tiennent dudict seigneur Troys quartiers de terre assiz au terrouer dudict Livillier au Lieu nommé Le chemyn de brecourt Tenant dun costé Claude Bercheret daultre costé nicollas du four et consors dun bout Ledict seigneur daultre bout Jean Chestien (xpien) A droit de Champart du Cent de gerbes Les douze et au Jour de noel au prix de quatre deniers parisis Larpent Pour ce Champart III (sic) d p », etc.
NB : Le seigneur est alors André de Dampont, « chevallier seigneur de Cormeilles en Vulquexin Le francoys / de Livillier / de berval / et du bouleaume Capitaine de la ville et chasteau de ponthoize et de comper en bretagne demourant audict cormeilles ». La cote D 1109 1 donne pour dates extrêmes l'année 1597 alors qu'en réalité il s'agit des anéees 1543-1544.

 
Sosa : 101328, 101344, 102560, 205328, 102720, 102760, 102920, 53568, 215248, 219392, 112032, 112072, 113104, 114896, 116000, 232040, 232128, 234000, 234024, 234288, 470896, 236064, 236112, 236320, 472680, 472768, 473968, 237096, 237136, 237160, 474992, 119584, 119632, 240496, 487280, 122656, 122704

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Procureur de Robert des Essarts, écuyer (1489)
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Occurrence : Cafin (Cueilloir en forme de tierrier de 1500)
Cité en 1458, Guillaume Caffin fut fort probablement le père de Loys Caffin né vers 1460, lequel eut un fils prénommé Guillaume, qui épousa Colette Doutreleau.
Source : AD 60, G 176 (1 pièce papier, cahier in-8°) - Intitulé : « Cest la declaration des terres labourables estant ou dismage et parroisse de herouville les ponthoise » ; dont date du 05/05/1458 in acte : « ...et premier le joeudi Ve jour de may mil IIIIc LXVIII fut commencé ledit mesurage aux VII arpens jehan chamot dit barbier... », etc. Extrait plus avant in actum : « ...et comparut aussi ledit mahiet benoiste en son nom comme detenteur des heritages qui jadis appartiendrent a guillot de peronne et lesquelz il tient a Rente du Roy nostre sire auquel on dit appartenir par confiscation .// de jehan de secqueville procureur / et denisot le barrier fermier de madame de laval / dudit jehan benoiste fermier des Religieux de carrieres de jehan dieu fermier des heritiers jehan de louviers en son vivant bourgois de paris et des heritiers mahieu de villette / dudit denisot le barrier comme fermier de guillaume danery demourant a ponthoise / de blanchet loysel en son nom et comme negociateur pour sa mere demourant audict ponthoise / de guillaume caffin en son nom pour les heritages qui furent laurens le charpentier et autres /... », etc. [Autre transcription par l'abbé Lefèvre. Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-série 31 Z - Fonds Lefèvre, 31Z10].

Cité en 1489, Guillaume Caffin est procureur de Robert des Essars, écuyer.
« Come proces feust meu ou esperé à mouvoir entre les religieux abbé et couvent de St-Martin... les religieuses abbesse et couvent de Nre-Dame la Réalle dicte de Maubuisson, et noble home Robert des Essars escuyer, les tous dessus només d'une part ; et les chantre et chanoines de l'eglise St-Honoré a Paris, les religieux prieure et couvent de l'Ostel-Dieu de Pontoise et Pierre Cossart, escuyer, demourant a Han, chacun pour telle part et portion que a l'un touche et peult toucher ; pour raison et a cause des fins, limites et divisions des dismaiges des paroisses d'Annery et d'Hérouville ; __ finallement lesd. parties se sont soubzmises et rapportées a quatre personnes anciennes, c'est ass. a Pierre Le Camus aagé de LII ans ou environ, Noel de Boulticourt aagé de LVI ans ou environ, laboureurs demt aud. Annery, Pierre de Haznon aagé de L ans ou environ, et Jehan Le Camus aagé de XL ans ou environ, laboureurs demt audt Herouville. Lesquelz ont dit... et appoincté du consentement desd. parties... que le dismaige d'Annery et Herouville se despartiront en la maniere qui senssuit : En commençant en la vallée de Livillier entre le dismaige de Herouville et Livillier et dud. Annery, ou se mettra une bourne entre la terre de St-Aulbin et dud. Noel de Bouticourt. Et de lad. bourne sera mise une aultre bourne, au droit d'icelle, au chemin qui maine de Pontoise a Labbeville, entre la terre de Guy de Flavy sieur dud. Annery et de noble home Jaques Cossart. Et d'icelle bourne fauldra tirer le chemin de Pontoise vers led. Pontoise jusques au lieudit les Trois Buissons, auquel lieu y a deux bournes du costé devers Livillier et encore une autre bourne sur led. chemin desd. deux bournes du costé de devers Auvers. De laquelle bourne se tirera le dismaige a la Haulte Bourne assize sur le chemin de Chambly au lieudit Maulu. Et demourera au dismaige d'Annery la terre dud. Guy de Flavy sr d'Annery qui est joignant dud. chemin et bourne, en tirant tout droit a la cousture d'Estampes, appartenant a noble home maistre Charles d'Orgemont sr de Mery et de Fours en la paroisse d'Auvers. Et au regart d'une piece de terre appt a St-Anthoine du Val le Roy prez Pontoise, la disme d'icelle terre se departira depuis le coing de la terre dud. sr d'Annery du costé devers Auvers, en alant droit a une bourne assize, fesant l'autre coing de lad. couture. De laquelle bourne on devalera au long dud. chemin en tirant vers Pontoise jusques a une bourne qui est au bout d'icelle piece de terre nomée Beauchamp Aloue faisant le département dud. Champ Aloue et dud. St-Anthoine. Lequel Champ Aloue demeure au dismaige d'Annery jusques a la Vallée de Clery qui se geste droit au Val Hermer. Ce present traitié et accord fais es presences de reverend pere en Dieu monsr Pierre abbé de St-Martin, religieuse personne frere Christofle Cymay procureur des religieuses de Maubuisson, Guillaume Caffin procureur dud. Des Essars de la partie du dismaige dud. Herouville ; __ et maistre Gilles Vernuailler et Jehan de Cambron procureurs et chanoines de l'église St-Honoré a Paris, et Pierre Brusel procureur desdits de l'Ostel-Dieu a Pontoise. Presens ad ce reverend pere en Dieu monsr Jehan abbé de Joyenval, messire Robert Pelerin prestre chapellain dud. Herouville, Lyenart Regnier prestre, Michiel Arnoul procureur dud. Saint-Martin. » (Fol. 227.)
Source : J. Depoin, Le livre de raison de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise (XIVe et XVe siècles). Pontoise : Bureaux de la Société historique, 1900, p. 142.
NB : L'acte est sans date, mais il est permit de pouvoir le dater grâce à la terre, à Annery, de noble homme Jacques Cossart, comme il est dit in actum ; cf. Notice biographique de Noël Bouticourt, dans laquelle on constate que Jacques Cossart donna aveu de sa terre et seigneurie en juillet 1589, et que le présent traité des fins et limites de dîmages fut assurément fait avant l'Août / moisson de ladite année 1589, sujet d'intérêt majeur !

Le décès de Guillaume Caffin est survenu avant 1500.
Source : AD 95, 9 H 25 / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise ; Intitulé « Cueilloir en forme de terrier de 1500 ». Extrait : « herouville . 31 -- Maistre pierre benoiste pour une piece de terre en labour contenant trois arpens et ung quartier ou environ a cause de son propre seans ou terroir de herouville ou lieudit le chemin saint martin tenant dun coste audit benoiste dautre coste aux religieux de saint martin dun bout au grant chemin dudit herouville au port dauvers et dautre bout aux hoyrs guillaume cafin pour ce XIX d(eniers) ob(ole) p(arisis) ».

 
Sosa : 101329, 101345, 102561, 205329, 102721, 102761, 102921, 53569, 215249, 219393, 112033, 112073, 113105, 114897, 116001, 232041, 232129, 234001, 234025, 234289, 470897, 236065, 236113, 236321, 472681, 472769, 473969, 237097, 237137, 237161, 474993, 119585, 119633, 240497, 487281, 122657, 122705

 
Sosa : 53274, 112026, 230138, 115226, 29002, 116994, 117138, 234490, 235442, 59062, 59082, 236978, 118562, 237490, 29974, 120242, 243634

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Marguillier d'Epiais [-Rhus] en 1542
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Occurrence : Donaire, transcription fautive (Jules Chennevière, Dictionnaire des familles de Pontoise)
En 1548, Denis Douaire était laboureur demeurant à Espies (auj., Epiais-Rhus).
Source : AD 95, 2 E 11/238 - Acte du 21/04/1548, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Nicolas Caffin et Katherine Douaire : furent présents en leurs personnes Denis Douaire laboureur demeurant à Espies, en son nom d'une part, et Nicolas Caffin laboureur demeurant à Hérouville, fils de feu Claude Caffin et de Guillemette Benoiste jadis sa femme, aussi en son nom d'autre part, lesquelles parties, même ledit Nicolas en la présence, par l'avis et délibération de Olivier Benoiste laboureur demeurant audit Hérouville, son aïeul, et de ladite Guillemette Benoiste, sa mère, reconnurent et confessèrent avoir fait et par ces présentes font entre eux les traités, accords et convenance matrimoniales qui ensuivent ; c'est à savoir que ledit Nicolas Caffin, de l'autorité que dessus, a promis prendre à femme et épouse Katherine Douaire, fille dudit Denis, et ledit Denis a promis faire prendre à mari et époux par sa dite fille ledit Nicolas « si tost et incontinent que dieu et saincte eglise sy accorderont en faveur et contemplation duquel mariage qui autrement ne seroit faict si comme ilz disoient », etc.

Autre relation.
Denis Douaire à Epieds
13 avril 1542. Marguillier. Amène [à pontoise] pour sa paroisse, pour la réquisition militaire pour le siège de La Capele, un cheval (XVI 8411]
Oct 1556. Appelé en témoignage dans le procès à propos des tailles de François Deslions, qui possèdent beaucoup de terres sur Génicourt et Gérocourt. Demeurerait à (blanc) (XXIX 15485)
Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z48, Vol. 27, Ière Rallonge au Dictionnaire des familles de Pontoise, p. 14694).

 
Sosa : 53275, 112027, 230139, 115227, 29003, 116995, 117139, 234491, 235443, 59063, 59083, 236979, 118563, 237491, 29975, 120243, 243635

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : En 1535, Robert Caffin était laboureur demeurant à Verville, paroisse de Nesles[-la-Vallée]. Frère présumé de Loys Caffin, et sinon son cousin, Robert Caffin est aussi presenti avoir été la tige commune des Caffins de Verville / Nesles-la-Vallée.
Source : AD 95, 2 E 11/235 - Acte du 13/12/1535, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Vente par Robert Caffin Laboureur demeurant à Verville paroisse de Nesle, -- à honnête homme Jehan Aumont marchand demeurant a Pontoise, un arpent de terre assis au terroir dudit Nesle au lieu-dit " maulesart ", tenant d'un côté à Anthoine Le Camus, d'autre côté à Jehan De Milly, d'un bout au seigneur de L'Isle-Adam, et d'autre bout à Martin Phlippes, en la censive du seigneur dudit Nesle et chargé envers lui de douze deniers parisis de cens payables chacun an le jour Saint Rémy, pour toutes charges ; audit vendeur appartenant de son conquêt comme il dit, pour en jouir ; « ceste vente faicte ausdictes charges lesquelles », et outre moyennant la somme de dix huit livres tournois pour le principal et cinq sols tournois au vin du marché, que pour ce & dont & quittant & dessaisissant & obligeant & renonçant
(En marge) " faict par brief audict aumont ce requerant qui a declairé nen voulloir autres "

Son décès est survenu après le 13 décembre 1535 et avant le 26 novembre 1547, comme il appert d'un autre acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/8 - Acte du 26/11/1547, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Cession et transport sans aucune garantie ni restitution de deniers faire, par honnêtes personnes Denis Caffin le jeune, Pierre Benoiste à cause de Phlippotte Maistre sa femme, (au)paravant femme de feu Nicolas Caffin, demeurant à Hérouville, Guillaume Caffin laboureur demeurant à Fontenelles, et Guillemette Benoiste veuve de feu Claude Caffin, demeurant audit Hérouville, en son nom et comme tutrice légitime et naturelle, et se faisant fort des enfants dudit Claude Caffin et d'elle, et encore ledit Pierre Benoiste au nom et comme tuteur curateur des enfants dudit Nicolas Caffin et de ladite Phlippotte Maistre sa femme, par laquelle Phlippotte il promet faire ratifier, toutefois, -- à Charles Dumont, Collette Caffin sa femme, Mathurin Caffin, demeurant à Verville, Claude Jost et Jacquette Caffin sa femme demeurant à Nesle, et à Guillemette Caffin fille de feu Robert Caffin, ce acceptant par lesdits Dumont, Mathurin et Jost pour ce présents ; c'est à savoir la septième partie en sept, les sept faisant le tout de trois setiers de blé et trois setiers d'avoine, le tout mesure de Ponthoise, de rente que lesdits reconnaissants « esdits noms » comme ayant le droit de noble homme Anthoine de Cugnac, en son vivant seigneur de Hérouville avait droit de percevoir chacun an sur les héritages qui furent Loys Caffin, dénommés et déclarés par les lettres de ce faisant mention, desquelles ils consentent, acceptent qu'ils se puissent aider pour toutes autres garanties en cédant, subrogeant ; ce transport fait moyennant la somme de 20 écus d'or sol que pour ce & dont & quittant & si comme & obligeant & renonçant

 

Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/8 - Acte du 26/11/1547, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Cession et transport sans aucune garantie ni restitution de deniers faire, par honnêtes personnes Denis Caffin le jeune, Pierre Benoiste à cause de Phlippotte Maistre sa femme, (au)paravant femme de feu Nicolas Caffin, demeurant à Hérouville, Guillaume Caffin laboureur demeurant à Fontenelles, et Guillemette Benoiste veuve de feu Claude Caffin, demeurant audit Hérouville, en son nom et comme tutrice légitime et naturelle, et se faisant fort des enfants dudit Claude Caffin et d'elle, et encore ledit Pierre Benoiste au nom et comme tuteur curateur des enfants dudit Nicolas Caffin et de ladite Phlippotte Maistre sa femme, par laquelle Phlippotte il promet faire ratifier, toutefois, -- à Charles Dumont, Collette Caffin sa femme, Mathurin Caffin, demeurant à Verville, Claude Jost et Jacquette Caffin sa femme demeurant à Nesle, et à Guillemette Caffin fille de feu Robert Caffin, ce acceptant par lesdits Dumont, Mathurin et Jost pour ce présents ; c'est à savoir la septième partie en sept, les sept faisant le tout de trois setiers de blé et trois setiers d'avoine, le tout mesure de Ponthoise, de rente que lesdits reconnaissants « esdits noms » comme ayant le droit de noble homme Anthoine de Cugnac, en son vivant seigneur de Hérouville avait droit de percevoir chacun an sur les héritages qui furent Loys Caffin, dénommés et déclarés par les lettres de ce faisant mention, desquelles ils consentent, acceptent qu'ils se puissent aider pour toutes autres garanties en cédant, subrogeant ; ce transport fait moyennant la somme de 20 écus d'or sol que pour ce & dont & quittant & si comme & obligeant & renonçant

Source : AD 95, 2 E 11/11- Acte du 03/12/1549, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente par Charles Dumont, Mathurin Caffin, demeurant à Verville paroisse de Nesle, et Claude Jost demeurant audit Nesle, en leurs noms et comme eux faisant fort, à savoir ledit Dumont de Collette Caffin sa femme, et ledit Jost de Jacquette Caffin sa femme, par lesquelles ils promettent faire ratifier et avoir pour agréable le contenu en ces présentes, -- à honnête personne Guillaume Caffin laboureur demeurant à Fontenelles, présent, acheteur, pour lui, ses hoirs et ayants cause, c'est à savoir quatre espaces d'étables découvertes et en décadence, trois espaces de masure ou " soulloit " avoir un pressoir, cour et jardin, le lieu ainsi qu'il se comporte faisant portion de plus grand lieu, ensemble tous les autres droits qui aux dites vendeuses mêmes, aux dits Jost et Dumont à cause de leurs dites femmes appartenant en la totalité dudit lieu séant à Hérouville, en la rue des " fichetz ", tenant d'un côté à la rue menant à la " malière ", d'autre côté à Marguerite Fourdin veuve de feu Jehan Michault, d'un bout aux hoirs Jehan Caffin, et d'autre bout à Denis Caffin, et à la grange ci-après déclarée, mouvant du seigneur dudit Hérouville à la charge de IIII deniers parisis de cens pour ce dessus cédé, payables aux octaves Saint Denis, outre chargé de IIII deniers parisis de rente ou au-dessus, faisant portion de plus grande rente, chacun an ledit jour envers la fabrique d'Hérouville ; Item deux espaces de grange, cour, maison, jardin et lieu ainsi qu'il se comporte séant en ce même lieu nommé " la granche colin hue ", tenant d'un côté à ladite veuve Michault, d'autre côté à Denis Caffin, d'un bout ledit Caffin, et d'autre bout au lieu ci-dessus déclaré, mouvant des hoirs feu Claude Guybert à la charge de II sols VIII deniers parisis de cens payables chacun an au jour St Rémy, pour en jouir ; cette vente faite aux dites charges et outre moyennant la somme de 60 écus d'or sol qui est, pour ce qui est tenu dudit seigneur d'Hérouville 40 écus sol, et pour ce qui est tenu desdits héritiers Guybert le reste de ladite somme, montant 20 écus que pour ce & dont & quittant & dessaisissant & si comme & obligeant biens & l'un seul & et sans division « ne discution » & renonçant

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024