Note(s) : Occurrence : Galloix (contrat de mariage de sa fille Guillemette)

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, et Michelle Maistre sa femme de lui autorisée, Guy Maistre, Denise Bérard sa femme, Jehan Maistre le jeune et Marguerite Vaillant sa femme, demeurant à Boissi Laillery, lesquels même lesdites femmes de leurs maris autorisées ont dit et confessé que « ce jourdhuy » ledit Gilles Vaillant et sa dite femme et autres, se sont obligés et auraient chacun pour le tout « sans division ne discution » promis payer aux marguilliers et receveurs de la fabrique St Maclou de Ponthoise, la somme de neuf cents livres tournois aux termes et pour les causes portés par le contrat et transaction fait entre eux et lesdits marguilliers et receveurs audit jour ; de laquelle somme ils reconnaissants sont tenus envers lesdits Vaillant et sa dite femme, de trois cents livres tournois, lesdits Guy et Jehan Maistre aussi chacun de trois cents livres tournois ; à cette cause ont lesdits reconnaissants promis et promettent l'un à l'autre d'acquitter l'un d'eux l'autre de la somme de neuf cents livres tournois, pour lesdites portions, envers lesdits marguilliers et receveurs St Maclou, et de toutes pertes, dépens, dommages et intérêts qu'ils pourraient l'un pour l'autre pouvoir souffrir et soutenir à faute de ce faire en temps et lieu, si comme & obligeant & renonçant & ; fait le XXIXe jour de mil Vc soixante deux & Guy a dit ne savoir écrire et lesdites femmes ont dit ne savoir signer

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Signe aux actes notariés.
En 1562, Jehan Maistre le jeune était laboureur demeurant à Boissy-l'Aillerie. Michelle Maistre était sa soeur comme l'atteste un acte notarié en ces termes : « et voulant par ledit Vaillant en satisfaire ledit Jehan Maistre frère d'icelle femme ».
Source 1 : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Contrat et transaction d'une part, puis accord et contrat d'autre part : furent présents en leurs personnes Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, en son nom et comme se faisant fort de Michelle Maistre sa femme par laquelle, Jehan Maistre le jeune laboureur demeurant à Boissi Laillery, lesquels disant que dès long temps les marguilliers et receveurs de ladite fabrique auraient mis en procès lesdites parties et Guy Maistre laboureur demeurant audit Boissi, et contre eux conclu - comme héritiers directement ou par moyens dudit bien venu - à ce qu'ils fussent condamnés leur passer titre seuls, l'un pour le tout de ladite rente, et à leur payer vingt six années de grain d'arrérages d'icelle rente, à raison de quoi ils auraient joins et mis en concept plusieurs personnes disparates, possesseurs et propriétaires de parties desdits héritages, et néanmoins auraient été tellement poursuivis par lesdits marguilliers et receveurs qu'ils auraient été condamnés - par sentence du prévôt en garde de Ponthoise, confirmée par le bailli de Senlis ou son lieutenant audit Ponthoise - a payer et continuer chacune pour le tout ladite rente de vingt et un setiers, et à payer lesdits arrérages ; par quoi se seraient retirés par « devers » lesdits marguilliers et receveurs, et avec eux auraient composé ; par laquelle composition ils leur auraient baillé vingt cinq arpents un quartier moins de terres, des terres dudit bail et (aus)si se seraient obligés de leur payer neuf cents livres tournois ainsi qu'il est porté par le contrat et transaction de ce fait ; desquels vingt cinq arpents un quartier moins, Jehan Maistre en aurait baillé desdits Gilles Vaillant et sa dite femme, quatre arpents qui lui appartiennent, pour bailler à ladite fabrique, dont bien que par ladite transaction il n'en soit fait mention // et voulant par ledit Vaillant en satisfaire ledit Jehan Maistre frère d'icelle femme, auraient lesdits Gilles Vaillant et Jehan Maistre fait entre eux accord et contrat tel qui ensuit, etc. ; et partant certain contrat de dédommagement, portant obligation, passé entre lesdits Gilles Vaillant et Jehan Maistre pour raison de ladite rente et arrérages, daté du XXIIIIe jour de janvier mil Vc soixante (et) un, est cassé, demeure cassé et annulé moyennant ces présentes et ledit contrat passé avec lesdits de St Maclou, et à ce faire était présente en sa personne Marguerite Vaillant femme dudit Jehan Maistre, laquelle de l'autorité dudit Maistre son mari, a eu pour agréable le contenu en ces présentes, et ce faisant a renoncé au droit de douaire qu'elle pourrait avoir, quereller et demander ores et pour l'avenir sur lesdits quatre arpents de terre par son mari délaissés aux dits Vaillant et sa dite femme comme dit est, si comme, obligeant biens & renonçant & et laquelle femme a dit ne savoir signer

Source 2 : AD 95, 2 E 11/41 - Acte du 08/04/1565, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise.

Héritier de son oncle Jehan Maistre, prêtre.
Source : AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Jehan Maistre, prêtre, fils de Nicolas Maistre et de Jehanne Le Danois)
Marguerin Maistre, cité dans l'acte ci-dessus, fut le parain d'Hélène Tavernier, née en 1572, fille de sa soeur Michelle et de Pierre (Le)Tavernier.

Profession(s) : Laboureur

 

Note(s) : La Maistre / Maistre
La filiation paternelle et maternelle de Barbe (Le) Maistre) est attestée par un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/41 - Acte du 08/04/1565, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Accord et transaction entre Katherine Chéron veuve de feu Jacques Chantepie + \ (en marge) + et (au)paravant de feu Anthoine Maistre /, « dame de soy » demeurant à Ponthoise, Guy Maistre, Jehan Maistre le jeune, laboureurs demeurant à Boissy, Charles Tuppin demeurant à Ennery et Jehanne Maistre sa femme, en leurs noms, Pierre Vaillant laboureur demeurant à Génicourt et Nicolas Maistre laboureur demeurant à Gérocourt, ès noms et comme tuteurs et curateurs des enfants de feu Gilles Vaillant et Michelle Maistre sa femme, et encore ledit Jehan Maistre le jeune comme tuteur des enfants de Claude Delamothe et de Barbe Maistre sa femme, les dessus-dits héritiers dudit défunt Anthoine Maistre d'une part, et Jacquelline Dularis veuve de feu Jehan Benoiste « laisné » en son vivant demeurant « es faulx bourgs » de Ponthoise d'autre part, disant lesdites parties que certain temps a + \ (en marge) + ledit feu Chantepie / et ladite Katherine Chéron sa femme auraient baillé, à titre de loyer et prix d'argent, aux dits feu Benoiste et Katherine Dularis sa femme lors preneurs, « une maison court granches estables », groue et lieux assis à Boissy sous et près l'église dudit lieu, que pendant le temps dudit bail le feu aurait brûlé par fortunes ladite maison, granges et étables, à raison de quoi ladite Chéron veuve, aurait mis en procès ledit défunt Jehan Benoiste en première instance par devant monsieur le prévôt maire de Ponthoise, où elle aurait conclu contre ledit Benoiste qui fut condamné à rétablir et réparer lesdits lieux brûlés, à ce qu'il le « mainetenoict » avoir été brûlés de la faute dudit Benoiste et à lui pour tous dépens, dommages et intérêts ainsi qu'il est porté par ledit procès, à quoi ledit feu Benoiste aurait insisté disant qu'il n'en était tenu par ce que lesdits lieux n'auraient été brûlés par sa faute, et pour autre raisons à lui a requis audit procès ; auquel procès aurait été fait et procédé que ledit Darset, vu à ce, aurait été donné connaissance de ce à ladite veuve Chéron de la requête faite ; incontinent ledit feu Benoiste aurait appelé par devant le prévôt ou lieutenant du bailli de Senlis, etc. ; lesdites parties « esdits noms » par l'avis et délibération de leur conseil, parents, voisins, etc., ont « esdits noms » si comme par eux renonçant, accordé et transigé en la forme et manière qui ensuit, c'est à savoir ladite Katherine Chéron, Guy Maistre, Jehan Maistre, Pierre Vaillant, Nicolas Maistre, Charles Tuppin et sa dite femme, ès noms que dessus, et pour les droits qu'ils ont respectivement « esdits noms » en ladite maison et lieu déclarés, ont volontairement quitté et déchargé de tout, et déchargent à toujours et promettent acquitter etc., la veuve Jehan Benoiste de tous les dépens, dommages et intérêts de quoi ladite veuve Benoiste est, peut et pourrait être tenue envers les dessus « esdits noms », etc., et à ce faire sont comparus en leurs personnes Jehan Benoiste le jeune demeurant ès faubourgs de Ponthoise, Anthoine Fauvel laboureur demeurant à Champagne, Jehan Serré laboureur demeurant à Espluches, Loys Benoiste demeurant à Courcelle sur Oize, lesquels ont volontairement et chacun pour le tout, « sans division ne discution », plaigé et cautionné ladite Dularis, veuve de Jehan Benoiste, de payer lesdites sommes aux termes susdits, si comme & obligeant « esdits noms » biens & renonceans

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur
Note(s) : En 1565, Nicolas Maistre était laboureur demeurant à Gérocourt ; lui et Pierre Vaillant étaient alors tuteurs et curateurs des enfants mineurs de feu Gilles Vaillant et de Michelle Maistre sa femme ; il signe avec paraphe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/41 - Acte du 08/04/1565, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise.

En 1581, il était laboureur demeurant à Chars.
Héritier de son oncle, Jehan Maistre, prêtre.
Source : AD 95, 2 E 11/59 - Acte du 13/04/1581, par devant Jehan Moreau l'aîné, notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Jehan Maistre, prêtre, fils de Nicolas Maistre et de Jehanne Le Danoisl).

Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, et Michelle Maistre sa femme de lui autorisée, Guy Maistre, Denise Bérard sa femme, Jehan Maistre le jeune et Marguerite Vaillant sa femme, demeurant à Boissi Laillery, lesquels même lesdites femmes de leurs maris autorisées ont dit et confessé que « ce jourdhuy » ledit Gilles Vaillant et sa dite femme et autres, se sont obligés et auraient chacun pour le tout « sans division ne discution » promis payer aux marguilliers et receveurs de la fabrique St Maclou de Ponthoise, la somme de neuf cents livres tournois aux termes et pour les causes portés par le contrat et transaction fait entre eux et lesdits marguilliers et receveurs audit jour ; de laquelle somme « ilz » reconnaissants sont tenus envers lesdits Vaillant et sa dite femme, de trois cents livres tournois, lesdits Guy et Jehan Maistre aussi chacun de trois cents livres tournois ; à cette cause ont lesdits reconnaissants promis et promettent l'un à l'autre d'acquitter l'un d'eux l'autre de la somme de neuf cents livres tournois, pour lesdites portions, envers lesdits marguilliers et receveurs (de) St Maclou, et de toutes pertes, dépens, dommages et intérêts qu'ils pourraient l'un pour l'autre pouvoir souffrir et soutenir à faute de ce faire en temps et lieu, si comme & obligeant & renonçant ; fait le XXIXe jour de mil Vc soixante deux & Guy a dit ne savoir écrire et lesdites femmes ont dit ne savoir signer

Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/34 - Acte du 29/05/1562, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Gilles Vaillant laboureur demeurant à Génicourt, et Michelle Maistre sa femme de lui autorisée, Guy Maistre, Denise Bérard sa femme, Jehan Maistre le jeune et Marguerite Vaillant sa femme, demeurant à Boissi Laillery, lesquels même lesdites femmes de leurs maris autorisées ont dit et confessé que « ce jourdhuy » ledit Gilles Vaillant et sa dite femme et autres, se sont obligés et auraient chacun pour le tout « sans division ne discution » promis payer aux marguilliers et receveurs de la fabrique St Maclou de Ponthoise, la somme de neuf cents livres tournois aux termes et pour les causes portés par le contrat et transaction fait entre eux et lesdits marguilliers et receveurs audit jour ; de laquelle somme ils reconnaissants sont tenus envers lesdits Vaillant et sa dite femme, de trois cents livres tournois, lesdits Guy et Jehan Maistre aussi chacun de trois cents livres tournois ; à cette cause ont lesdits reconnaissants promis et promettent l'un à l'autre d'acquitter l'un d'eux l'autre de la somme de neuf cents livres tournois, pour lesdites portions, envers lesdits marguilliers et receveurs St Maclou, et de toutes pertes, dépens, dommages et intérêts qu'ils pourraient l'un pour l'autre pouvoir souffrir et soutenir à faute de ce faire en temps et lieu, si comme & obligeant & renonçant & ; fait le XXIXe jour de mil Vc soixante deux & Guy a dit ne savoir écrire et lesdites femmes ont dit ne savoir signer

Note(s) : Vu l'anthologie des baux à ferme des terres à Génicourt appartenant à la Maladrerie Saint-Ladre / Saint-Lazare à L'Aumône, faits par leurs administrateurs, il est permis d'avancer que Drouet Vaillant et Jehanne Eustache étaient les parents de Pierre et Gilles Vaillant...

« Item neuf pièces enfilées ensemble la première, etc ; la seconde, etc. ; la tierce, etc. ;
La quatriesme est ung aultre bail a ferme faict par Me Jacques Cossart a Jehan Bachelier et Drouet Vaillant et Noel Cheron desd. terrouers de Genicourt passe a Chambly le douziesme jour de decembre mil Vc dix huict signe de Romme ;
La cinquiesme est ung aultre bail desd. terrouers faict par led. Cossart ausd. Bachelier, Vaillant et Cheron ce mesme jour susdict signe de Romme ;
La sixiesme est une promesse du mesme jour et an faicte par les susdits audict Cossart signe de Rome ;
La septiesme est est ung aultre bail a ferme desdicts terrouers de Genicourt faict par Me Henry Pelletot a Pierre Vaillant, Michault Bachelier et Jehanne Eustache veufve de Drouet Vaillant moyennant six muydz de grain et aultres charges datte du quatorziesme octobre mil Vc quarante sept signe P. Levasseur ;
La huictiesme est ung aultre bail a ferme faict par led. Pelletot a Pierre Vaillant, Michel Bachelier et Gilles Vaillant et Pierre Joly desd. terres moyennant sept muydz de grain datte du unziesme mars mil Vc cinqte cinq signé P. Moreau ;
Et la neufviesme est ung bail faict par Pierre le Loutre et Guillaume Dampcongnée admynystrateurs Sainct Ladre a Pierre Vaillant et Pierre Joly desd. terres moyennant sept muydz trois septiers de grain datte du trentiesme novembre mil Vc soixante quatre signé Duval commis au lieu de Guillaume Malfuzon ;
Item une declaration desdictes terres de Genicourt tenues a tiltre de ferme par Jehan Joly et Jehan Lefebvre dudict Sainct Lazare. » (sic)
Source : Ernest Mallet, " Registre des délibérations municipales de la ville de Pontoise (1655-1673) ". Pontoise : Bureaux de la Société historique, 1916, 3ème fascicule (Règne de Louis XIV), in Intitulé « Inventaire des tiltres et enseignements concernans les biens et revenuz apartenans au colege semynaire de la ville de ponthoise auquel est anexe le bien et revenu temporel de la maladerye Sainct Lazare dudict ponthoise comme le contiennent les letres patentes du roy nostre sire, desquelles la teneur ensuyt », p. 266.

 

Profession(s) : Maçon
Note(s) : Occurrence : Fromond
Signe à divers actes paroissiaux...

Note(s) : Occurrences : Cormiliol (acte de baptême de son fils Claude), Cormillolle,(acte de baptême de sa fille Marie-Françoise), Cormiolle (actes de baptêmes parmi ses enfants)
Déclare ne pas savoir signer à l'acte de mariage de son fils Jean...

 

Profession(s) : Maçon
Note(s) : Signe à l'acte de baptême de son neveu et filleul André Sèqueville.
b07/10/1754 Génicourt : André Sèqueville, fs André Sèqueville et Marguerite Fromond
p/m : Jean Fromond (S) fils de Jean, de Briançon (= Bréançon) son oncle, Catherine Elisabeth Pousset (S) fille de Pierre et Elisabeth Cailleux
Signe à l'acte de son mariage....

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024