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Note(s) : Occurrence Prénom : Hélaine (acte de baptême)
Source : AD 95, 2 E 10/644 - Actes des 02 et 03/12/1630, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Inventaire après décès de Denis Caffin, fait à la requête de Claude De Camp sa veuve ; dans les « tiltres et enseignemens » il est fait mention d'un contrat de vente, fait et
passé par devant Jacques François et Pierre Moreau notaires royaux en la ville et châtellenie de Pontoise, en date du 23/02/1619, par lequel « appert ledit Denis Caffin avoir acquis - de Raollin Hadancourt laboureur demeurant au Coudray paroisse de Berville, et Nicolle Chéron sa femme, Jehanne, Loyse et Héleine Caffin filles de Gervais Caffin & de ladite Chéron - une maison, court, jardin, granges, estable, chartrie, vollet, célier estant dessoubz ledict vollet, lieux et droicts compris tous par ledict contract », etc.
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à son testament.
Source : AD 95, G Sup. 72 Cormeilles-en-Vexin - Acte du 07/09/1614, par devant André Sergeant prêtre curé de Cormeilles-en-Vexin. _ Testament de Andrée Deschamps « veufve de deffunct » Thomas Chéron ; « Item ladicte testante veult et entend son decedz advenu que son corps soit inhumé dedans leglize de monsieur St Martin dudict Cormeilles proche deffunctz Pierre Mestre & Thomas Cheron ses feuz maris devant lautel de monsieur St Roch » ; « Item ladicte testante veult et entend que Catherine Gueriboust femme de Regnault Cheron prenne & leve ung lict traversin et couverture pour ses sallaires & vaccations de ladicte Gueriboust d'avoir peust, sollicité, et visité ladicte testante en sa maladie durant la saison d'aoust, et aussy pour prier dieu pour elle » ; « Item a recongneu debvoir a Jehan Cheron laisné laboureur demourant a Gerocourt la somme de quatre livres cinq solz tournois pour deux cents de fagotz pour laquelle ledict Regnault Cheron est obligé en son propre et privé nom » ; « Item ladicte testante a dict & declarée quelle avoit passé cy devant obligation de la somme de trente six livres tournois a telle somme contenue en icelle au proffict de André Mestre son filz, laquelle a dict icelle obligation estre quite & cassée, et ledict André Mestre present au testament cy dessus a aussy recongneu ne luy estre rien deub dicelle obligation et a promis icelle advenue cassée a ladicte testante ou a ses heritiers en luy ceddant une perche de vigne de laquelle il prinst des a present » ; « Item ladicte testante veult et entend pour ses executeurs du present son testament les personnes de André Mestre et Regnault Cheron ses enfants ausquelz elle donne pouvoir & puissance daugmenter et non diminuer le contenu cy dessus », etc. ; « le tout faict en presence desdictz executeurs, Martin Carron, & Philippes Gueriboust tous ses enfans et plus proches parens, et de Nicolas Vollant, Jacques Mandion, et Marin Bellhoste tesmoings demeurants audict Cormeilles ».
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Note(s) : L'acte de son mariage fait mention de sa filiation paternelle...
Ne sait pas signer, fait sa marque au testament de sa mère, laquelle nomme pour ses exécuteurs testamentaires : André Mestre et Regnault Chéron ses enfants...
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Note(s) : L'acte de son mariage fait mention de sa filiation paternelle...
Catherine Guériboust avait une grand-mère dénommée Anne Auberge, mais sans précision quant au côté, paternel ou maternel.
b17/02/1620 Cormeilles-en-Vexin : Anne Chéron, fa Regnault Chéron et Catherine Guériboust
p/m : Guillaume Maistre, Anne Auberge sa mère grand
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Note(s) : Occurrence : Mestre (testament de Andrée Deschamps, sa femme)
Le décès de Pierre Maistre est survenu avant le 26/01/1584, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/165 - Acte du 26/01/1584, par devant Jean Levasseur notaire à Pontoise.
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Note(s) : Occurrence : Mestre (testament de Andrée Deschamps, sa mère)
Signe " André Maitre " avec paraphe, au testament de sa mère...
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Note(s) : Signe à un acte notarié.
Source : 2 E 15/46 - Acte du 18/05/1600, par devant André Le Cousturier notaire à Pontoise. _ Ratification et approbation du partage de biens immobiliers, fait le 19 avril 1600 : furent présents Gabriel Lefebvre, Anthoinette Honoré sa femme, maître Gilles Cossart « advocat du roy en la ville et chastellenye de Ponthoise » et Anthoinette Honoré sa femme, maître Ananias de St Denis « controlleur au magazin et grenier a scel de Ponthoise », Jehanne Honoré sa femme, maître Guillaume Bredoulle « procureur du roy audict magazin et grenier », Perrette Honoré sa femme, et maître Nicolas Titollart « naguere greffier audict grenier » et Claude Honnoré (sic) sa femme, lesdites femmes autorisées de leur maris pour faire et passer ce qui ensuit, tous demeurant audit Ponthoise et dénommés de l'autre part, lesquels après lecture à eux faite du contenu « au partaige transcript » de l'autre part, et qu'ils ont dit avoir bien entendu, ont icelui comme gré, ratifier et approuvé, etc.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Procureur ès sièges royaux de Pontoise
Note(s) : Occurrences : Titollart, Titolat / Titollat (acte notarié), Titolar (acte de son décès)
Signe " Titollat " avec paraphe, à un acte notarié.
Source : 2 E 15/46 - Acte du 18/05/1600, par devant André Le Cousturier notaire à Pontoise. _ Ratification et approbation du partage de biens immobiliers, fait le 19 avril 1600 : furent présents Gabriel Lefebvre, Anthoinette Honoré sa femme, maître Gilles Cossart « advocat du roy en la ville et chastellenye de Ponthoise » et Anthoinette Honoré sa femme, maître Ananias de St Denis « controlleur au magazin et grenier a scel de Ponthoise », Jehanne Honoré sa femme, maître Guillaume Bredoulle « procureur du roy audict magazin et grenier », Perrette Honoré sa femme, et maître Nicolas Titollart « naguere greffier audict grenier » et Claude Honnoré (sic) sa femme, lesdites femmes autorisées de leur maris pour faire et passer ce qui ensuit, tous demeurant audit Ponthoise et dénommés de l'autre part, lesquels après lecture à eux faite du contenu « au partaige transcript » de l'autre part, et qu'ils ont dit avoir bien entendu, ont icelui comme gré, ratifier et approuvé, etc.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Vénérable et religieuse personne, frère... ministre du couvent de monsieur St Michel lès Pontoise, de la réforme de l'ordre de la Ste Trinité, en 1606 ; Frère... religieux profès, prêtre pauvre ministre du monastère des Mathurins Mr St Michel amour aux moines, lès Pontoise, en 1607 ; Révérend père, vicaire général de la congrégation réformée de l'ordre de la très sainte Trinité et rédemption des captifs en France (1626)
Profession(s) : Prêtre de l'Ordre de la Ste Trinité et rédemption des captifs; visiteur en 1616; vicaire général de la Congrégation des
Note(s) : L'Ordre de la Très Sainte Trinité pour la Rédemption des captifs, plus couramment appelé Ordre de la Sainte Trinité, a été fondé en 1194 par le Français Jean de Matha pour racheter les chrétiens prisonniers des infidèles. Les membres de cet ordre sont également appelés Trinitaires, ou Mathurins, du nom de leur église à Paris, Saint Mathurin, ou encore Frères aux ânes, díaprès leur monture. C'est la première institution officielle de l'Église catholique qui se consacre au service de la rédemption sans armes à la main, sans autre armure que la miséricorde et dans la seule intention de redonner l'espérance à des frères dans la foi qui souffrent sous le joug de la captivité.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_la_tr%C3%A8s_sainte_Trinit%C3%A9_pour_la_r%C3%A9demption_des_captifs
La chapelle Saint-Michel lez Pontoise, citée en 1246, réapparut à la fin du XVe siècle, quand Jean Dupin (å 1504) se consacra à Dieu dans la solitude du Val-le-Roi. Díaprès le Matheloge de la confrérie Notre-Dame de Gisors, deux ermites y vivaient en 1536. Trente ans plus tard, líermitage accueillit des frères du diocèse de Laon, dont líhabitation avait été brûlée par des soldats. En 1579, líétablissement fut incorporé aux Trinitaires ou Mathurins, dont la fonction première était de quêter pour le rachat des captifs enlevés en Méditerranée par les pirates barbaresques. Les bâtiments furent alors agrandis, les jardins et les vignes défrichés. Près du cloître, la chapelle était entaillée dans le rocher. Vendu à un bourgeois de Paris pendant la Révolution, le couvent (66, rue Maria-Desraimes) a appartenu à la féministe Maria Deraismes (1828-1894).
Source : http://www.valdoise.fr/content/heading7822/content706631.html
Louis Petit avait été élu général, le 7 juillet 1612, en remplacement de son oncle. Il jugea prudent de ne pas permettre aux Réformes de s'étendre indéfiniment. Il décida donc que les religieux anciens, profès du couvent d'Arles, y seraient retenus et dispensés des points de la Réforme qu'ils ne pourraient observer. Il défendit aux Réformés d'accepter l'offre de maisons, surtout dans les villes où il y avait déjà des couvents trinitaires, sans sa permission écrite. C'était là le plus sérieux sujet de conflit entre lui et la nouvelle congrégation. Il ordonna aux Réformés du Midi de dépendre de lui-même et de leur visiteur et non plus de celui de Pontoise. Cette décision, qui avait pour but d'empêcher les Réformés du Nord et du Midi de s'unir contre lui, causa aux religieux de Pontoise la plus vive irritation. En 1615, ils chargèrent Jérôme Hélie et Ambroise Caffin d'aller à Rome négocier l'union de leur Congrégation avec celle des Trinitaires Déchaussés. Le projet ne put aboutir, le cardinal-protecteur de l'ordre, Octave Bandini, ayant prévenu Louis Petit de cette démarche. Le général jugea donc prudent de se rendre à Rome, se fit confirmer par le pape et reçut le titre de délégué apostolique pour la visite de son ordre; celte condescendance facultative fut retenue par ses adversaires comme créant un précédent obligatoire. En 1616, Ambroise Caffin, visiteur, Jean Caron, ministre de Pontoise, Jérôme Hélie, ministre de Caillouet, Robert François, député de Pontoise, composèrent des statuts, où ils expliquèrent les points sur lesquels ils se séparaient de la règle mitigée.
Pendant quinze ans, Louis Petit se borna à vexer les religieux du Nord par de mesquines tracasseries, annulations de chapitres, excommunications jusqu'à ce que ceux-ci, se sentant grandir en audace, provoquent la réforme des Mathurins.
Divers privilèges ayant été accordés à Louis Petit, notamment pour la visite des couvents d'Espagne, !e 4 mai 1624, Urbain VIII, récemment élu pape, écrivit, le 30 septembre suivant, à Ambroise Caffin, vicaire général de la Congrégation Réformée, qu'il n'a pas entendu déroger aux privilèges de celle-ci par le bref du 4 mai. Garder les Réformés de tout préjudice, c'est tout ce qu'entend faire la cour de Rome. Quant à leur accorder un général particulier, elle eût pu y songer pour le cas où ils auraient embrassé la règle primiitive.
Source : Paul Deslandres, " L'Ordre des Trinitaires pour le rachat des captifs ". Toulouse & Paris, 1903 ; t. I, p. 232, 233, 239, 245 et 561 (Résumé).
Source : AD 95; 2 E 10/35 - Acte du 09/03/1626, fait et passé en la maison et couvent saint Michel lèz Pontoise, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Constitution de procureur général et spécial : « Ce Jourdhuy Lundy neufiesme Jour de mars mil six cens vingt six sur les cinq heures de Rellevée nous notaire pour le Roy a ponthoise soubz signé » sur la requête de Révérend père Anbroise Caffin, vicaire général de la congrégation réformée de l'ordre de la très sainte Trinité et rédemption des captifs en France, sommes transportés en la maison et couvent de saint Michel lèz Pontoise de ladite congrégation, où étant ledit Révérend père « auroit faict faire asembler des Religieux dudit lieu au son du thimbre en la maniere accoustumée » au chapitre dudit lieu où se sont trouvés père Anthoine Bruneau coadjuteur audit couvent, pères Françoise De Ver, Bazille Boucherot, Archange Compagnon et Jehan Cadeau comme prêtres, Ange Perroton clerc, frères Denis Noblet, Gabriel Chevallier, Martin Pichereau et Bernard Le Bray (signe De Bray) convers, tous religieux profès de ladite maison saint Michel lèz Pontoise, de ladite congrégation, représentant la plus grande et saine partie des religieux de ladite maison, auxquels en notre présence et des témoins ci-après dénommés, ledit père Caffin vicaire général « leur auroit fait entendre que proces est meu entre luy » - en ladite qualité de vicaire général et stipulant pour tous les religieux de ladite congrégation réformée « des aultres couventz dicelluy ordre » - en opposition contre le général de l'ordre de la très sainte trinite et rédemption des captifs dit Mathurins non réformés, pendant en la cour de parlement de Paris sur l'exécution des brefs de sa sainteté obtenues tant par ledit père vicaire général pour les religieux réformés que par ledit général desdits Mathurins dudit Paris, non réformés, sur l'homologation d'iceux, pour savoir d'iceux religieux si ils veulent payer, se joindre audit procès pour soutenir avec les autres religieux des autres couvents de ladite réformation, l'exécution et l'effet du bref par eux obtenu de sa dite sainteté, et pour vivre en leur voeux suivant les brefs obtenus à cette fin ; lesquels religieux dénommés ci-dessus ont tous dit, déclaré et fait réponse « ensemblement » et d'un commun accord qu'ils ont avoué et avouent par ces présentes, pour eux être reçus joint comme étant tous de ladite congrégation et réforme, et étant reçus joint employés audit procès tout ce qui a eté dit et allégué par lesdits religieux desdits autres couvents leurs confrères, et faire tout ce qu'il appartiendra et que besoin sera jusqu'en fin d'arrêt définitif, et pour ce faire ont lesdits religieux constitué et constituent par ces dites présentes leur procureur général et spécial ledit révérend père Ambroise Caffin leur vicaire général, auquel ils ont tous donné et donnent tout pouvoir et puissance de plaider, opposer, appeler, relever, renoncer, substituer et élire domicile, et généralement « jacquoit », etc. ; en présence de Michel Chérouise et François Taveau, carreyeurs trouvés audit lieu, témoins
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître
Profession(s) : Docteur en médecine
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître
Profession(s) : Prêtre vicaire, puis prêtre curé de l'église de Hérouville
Note(s) : En 1543, maître Gérard Caffin était étudiant à l'Université de Paris. Son père lui constitue une rente car il y avait un minimum de revenu exigé pour accéder à la prêtrise.
Source : AD 95, 2E11/236 - Acte du 07/02/1543, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Constitution de rente et pension viagère par Denis Caffin « laisné » marchand laboureur demeurant à Hérouville, -- à maître Gérard Caffin son fils, écolier étudiant en l'Université de Paris, à présent résidant en cette ville de Ponthoise, à ce présent et ce acceptant pour lui sa vie durant seulement, la somme de vingt cinq livres tournois de rente et pension viagère, à les avoir, prendre, cueillir, lever, recevoir et percevoir - et que ledit cédant, ses hoirs, en a promis, promet et sera tenu payer dorénavant par chacun an audit Gérard Caffin, ou au porteur, sa dite vie durant, le jour Notre Dame de la chandeleur ; premier terme de payer commençant audit jour prochain venant et ainsi - en et sur un moulin à blé, maison, jardin, prés et terre, le tout entretenant, séant au village de Valmondois sur la rivière de Saulseron, tenant d'un côté Nicolas Caffin, d'autre côté les hoirs feu Anthoine Fourmageot, d'un bout la rue, et d'autre bout le Maure ; Item sur pièce de terre contenant cinq quartiers dix perches et demie, tenant d'un côté Pierre Calpont, d'autre côté Pierre Barrier, d'un bout le chemin " de la frette ", et d'autre bout le chemin menant de " la nasse " à Ponthoise ; Item sur une autre pièce de terre contenant cinq quartiers et demi séant audit terroir, tenant d'un côté Guyot Fourmageot, d'autre côté le chemin tendant de " la nasse " à Ponthoise, d'un bout le chemin tendant dudit Valmondois à Labbeville, et d'autre bout ledit Calpont et Jehan Le Maistre de Montallet ; Item sur un arpent sept perches de terre séant audit terroir au lieu-dit " craisse ", tenant d'un côté les hoirs Nicolas Bartier, d'autre côté Guyot Fourmageot, d'un bout monseigneur le Connétable, et d'autre bout Estienne Le Maistre, que ledit cédant a dit et affirmé à lui appartenir de son conquêt, et généralement sur tous et chacun ses autres héritages et biens immeubles présents et à venir, qui en sont demeurés et demeurent chargés et hypothéqués l'une pièce et portion d'iceux répondant pour l'autre pour le tout et sans division ni ordre de « discution », pour en jouir par ledit Gérard Caffin sa dite vie durant seulement, et après son décès demeurera ladite rente confuse et éteinte au profit dudit cédant, ses hoirs ; cette présente donation, constitution, assise, cession et transport, faite pour « la bonne et vraye amour naturelle » qu'il a audit Gérard Caffin son fils, et à ce « quil aye mieulx de quoy vivre et soy entretenir cy apres en estat de prestrise auquel moyennant layde de dieu il a intencion de brief parvenir et estre promeu » ; + \ (en marge) + desquels héritages ledit constituant s'est dessaisi, démis et dévêtu au profit dudit acceptant, voulant et accordant qu'il en soit saisi et vêtu jusqu'à la valeur et concurrence de ladite rente par celui ou ceux qu'il appartiendra, et pour ce faire et consentir a fait et constitué son procureur le porteur de ces présentes auquel il a donné et donne pouvoir et puissance de ce faire, et tout ce qui au cas où sera pertinent et nécessaire /, si comme il dit, dont & promettant & obligeant biens & renonçant
Maistre Gérard Caffin était vicaire de Hérouville en 1560
« 25 juillet 1560 Maistre Gerard Caffin, vicaire d'Herouville. »
Source : Mémoires de la Société Historique et Archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin. Pontoise : A. Paris, 1886, t. X, p. 72.
En 1565, il était curé de Hérouville comme il appert par un acte concernant son neveu et successeur Jehan Caffin (cf. infra in testament dudit Jehan Caffin).
Source : AD 95, 9 H 54 (1) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville ; Intitulé : « Coppies des sentences & arrests pour Regler la qualité du bled deub par des communautés Religieuses pour les gros de curez et engrangement des dixmes ». Acte non daté. _ « ...vu le procès mu et pendant entre Me Jehan Caffin prêtre curé de l'église paroissiale d'Hérouville demandeur d'une part , et Henry Turpin défendeur et opposant d'autre..., etc. ; « Une commission de monsieur le lieutenant de Pontoise obtenüe par feu maistre Gerard Caffin , lors curé d'herouville en datte du vingt deuxiesme jour de novembre mil cinq cens soixante cinq, signé Demonthiers et Raulin... »
Autre relation.
Source : AN, Y//123, fol. 533 - Acte du 18/05/1582. _ Constitution d'une rente viagère de 16 écus deux tiers par Gérard Caffin, prêtre, curé de Hérouville (près Pontoise), -- à Pierre Piart.
Signe avec paraphe à un document manuscrit, lequel apparaît manifestement avoir été distrait du premier registre paroissial d'Hérouville, en fin des testaments (1592-1596) où l'on retrouve les deux premières lignes manquantes.
Source : AD 95, G Sup. 112 Hérouville - In fine liasse des testaments ; 1 feuillet manuscrit. _ Certifications des baptêmes : du pénultième février 1590 au 10 juin 1596, des mariages : du 7 janvier 1588 au 22 octobre 1595, et des testaments : du 7 janvier 1592 au 20 avril 1596 ; faits par Gérard Caffin prêtre curé de Hérouville, « baillez et mis ès mains de messire antoine godin prestre habitué en ladicte eglise huict ans sont ou environ et Ambroise Caffin marguilier de la fabricque de ladicte eglise de herouville pour les p(rese)nter au greffier (blanc) tesmoing mon seing manuel cy mis le vendredi XXIe jour de juin lan mil Vc quatre vingtz et seize ».
En 1596, assurément pour cause de maladie invalidante (arthrose), il résigne la cure d'Hérouville au profit de Jean Caffin son neveu. Sa sépulure inversée et de même celle de son neveu ont été mises à jour dans la croisée de l'église Saint-Clair d'Hérouville, en 2003, lors de la fouille partielle du monument. Son squelette présentait une colonne vertébrale atteinte d'arthrose ; cf. Roger Descamps, " Hérouville en Vexin français au temps jadis : compléments et correctifs à l'histoire de la seigneurie (village, terre, château) et de l'église ". Aix-en-Provence : DFS Plus, éd. ASE Hérouville, 2015, p. 85-86).
Le décès de Gérard Caffin est survenu le 13 mars 1604, comme il appert d'un acte notarié :
Source : AD 95, 2 E 11/77 - Acte du 07/06/1604, passé au village de Hérouville, par devant Jehan Moreau [le jeune] notaire à Pontoise. _ Constitution de rentes annuelles et perpétuelles pour fondations de services anniversaires : furent présents en leurs personnes vénérable et discrète personne maître Jehan Caffin, prêtre curé de Hérouville, Gérard Caffin et Jehan Caffin laboureurs demeurant à Hérouville ; lesquels de leurs bons grés, au nom et comme exécuteurs du testament et ordonnance de dernière volonté de défunt discrète personne maître Gérard Caffin, vivant prêtre curé dudit Hérouville, voulant icelui accompllir, reconnurent avoir constitué, assis et assigné du tout dès maintenant, perpétuellement à toujours, -- à la fabrique monsieur St Cler d"Hérouville, ce acceptant par Guillaume Caffin à présent son marguillier et receveur ; cíest à savoir la somme de vingt cinq sols tournois de rente, d'une part, à les avoir et prendre par ladite fabrique par chacun an le treizième jour de mars ; premier terme de payer commençant ledit jour prochain venant, en et sur une pièce de terre contenant soixante perches assise au terroir díHérouville lieu-dit « pres la maillere », etc. ; d'autre [part], pareille somme de vingt cinq sols tournois de rente aussi annuelle et perpétuelle, à les avoir droit de prendre par icelle fabrique chacun an le mois de septembre ; premier paiement échéant ledit jour prochainement venant, et ainsi continuer perpétuellement à toujours, en et sur une pièce de terre contenant demi arpent, assise audit terroir díHérouville lieu-dit « les boursaulx vers liviller (sic, pour Livilliers) » etc. ; « ceste constitution faicte a la charge que ladicte fabricque marguiller ou recepveur dicelle seront tenuz faire dire chanter et celebrer perpetuellement et a tousiours en ladicte fabricque par chacun an le jour du decedz dudict feu maistre gerard Caffin une haulte messe de requiem avec vigilles a neuf lecons et loraison funebre sur linnumation dudict deffunct et encores ung tel et pareil service le jour du decedz de deffuncte perrette barnay vivante femme de feu denis caffin mere dudict feu maistre gerard caffin le tout pour le salut et remedde des ames diceulx deffunctz », etc. ; fait ès présences de Philippes Caffin et David Dumoulin clerc, témoins.
Maître Gérard Caffin, prêtre curé d'Hérouville, oncle et prédécesseur de Jehan Caffin, aussi prêtre curé d'Hérouville.
Source : AD 95, 2 E 10/43, Acte du 19/09/1630, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Testament de Jehan Caffin, prêtre curé de l'église et fabrique de St Cler d'Hérouville, âgé de 67 ans ou environ, demeurant audit Hérouville ; « Item quant son ame sera partie de son corps veult que sondict corps soict inhumé et enterré dedans le cúur de ladicte eglise dherouville proche le lieu ou deffunt maistre gerard caffin vivant prebstre curé de ladicte eglise son oncle et predecesseur curé est inhumé ou au mesme lieu ou icelluy deffunt est inhumé sy faire se peult / » ; « Item il veult que apres son decedz il soict mis sur leglise ou il sera inhumé une thumbe et une epitaphe de pierre de taille qui sera atachée en un lieu et contre la paroy de ladicte eglise et proche ledict lieu ou il sera inhumé ou sera faict mention de luy et dudict deffunt maistre gerard caffin son oncle et du jour de leurs decedz / ».
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Note(s) : Occurrence : Barnay (acte notarié)
Source : AD 95, 2 E 11/77 - Acte du 07/06/1604, passé au village de Hérouville, par devant Jehan Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Constitutions de deux rentes annuelles et perpétuelles de 25 sols tournois, faites par vénérable et discrète personne maître Jehan Caffin, prêtre curé de Hérouville, Gérard Caffin et Jehan Caffin laboureurs demeurant à Hérouville, au nom et comme exécuteurs testamentaires de défunt maître Gérard Caffin, vivant prêtre curé dudit Hérouville, -- à la fabrique St Cler de Hérouville, ce acceptant par Guillaume Caffin à présent son marguillier et receveur ; c'est à savoir, la première rente de 25 sols tournois à prendre chaque année le treizième jour de mars, sur une pièce de terre contenant 60 perches assise au terroir d'Hérouville, lieu-dit " près la maillère " ; la seconde rente de 25 sols tournois à prendre chaque année au mois de septembre, sur une pièce de terre contenant ½ arpent assise audit terroir d'Hérouville, lieu-dit " les boursaulx vers liviller [= les boursaulx vers Livilliers] " ; cette constitution a été faite à la charge que ladite fabrique, son marguillier ou receveur « seront tenuz faire dire chanter et celebrer perpetuellement et a toujours en ladite fabricque par chacun an le jour du decedz dudit feu maistre gerard Caffin une haulte messe de requiem avec vigilles a neuf lecons et loraison funebre sur linnumation dudit deffunct et encores ung tel pareil service le jour du decedz de deffuncte perrette barnay vivante femme de feu denis caffin mere dudit feu maistre gerard caffin » ; le tout ès présences de Philippe Caffin et David Dumoulin, clerc, témoins
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Signe à 2 actes notariés.
Source : AD 95, 2 E 8/4 - Acte du 26/07/1621, par devant Jehan de Jouy notaire et tabellion à Auvers-sur-Oise. _ Aveu et dénombrement du fief des Pattes à Hérouville, par Jehanne Douaire veuve de Jacques Caffin, à Jean-François de Barbisey (Berbisy) seigneur de Hérouville ; en présence de Jacques Caffin fils de ladite reconnaissante, demeurant à Hérouville, et Gilles Chérouise demeurant à Auvers
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