Note(s) : b17/11/1590 Hérouville : Collette Caffin, fa Girard Caffin et Pasquette Gilocque
p/m : Collette Chéron femme de Michel Caffin et Loyse Caffin fa Jehan
b26/04/1591 Hérouville : Loyse Caffin, fa Michel Caffin et Collette Chéron
p/m : Loyse Caffin fa Jehan et Magdeleine Chéron fa Thomas
Ne sait pas signer, fait sa marque au contrat pour le second mariage de sa fille Marie...

Louise Caffin reprend la ferme de Mézières (Les) après le décès de son mari.
Source : partages de biens, 1670 (analyse de Claude Delage).

Profession(s) : Marchand de charbon

Profession(s) : Ménagère

Sosa : 28527, 59759, 61295

Note(s) : Occurrence : Ysabel Bayleux
Source : AN, MC/ET/XXXV/49 - Acte du 16/01/1614, dressé par Jean Chapelain (l'aîné) notaire au Châtelet de Paris. _ 2e Inventaire après décès de Claude De La Morlière, notaire au Châtelet de Paris. Papiers : Cote « dix huict ». _ « Item ung transport escript en pappier passé pardevant pourcel & filesac nottaires Le treizeiesme febvrier mil Cinq Cens quatre vingtz dix sept faict par Ledict Me jehan fourniquet & Me pierre fourniquet a Ladicte deffuncte elizabel fourniquet Leur soeur qui estoit femme auctorizee par justice au Reffuz dudict deffunct de la morliere des deux tiers qui apartenoyent ausdictz Me jehan & pierre fourniquet comme heritiers chacun pour un tiers avec ladicte deffuncte elizabel de feu Marie Le Conte leur mere qui fut heritiere de feue Ysabel bayleux sa mere de la somme de soixante neuf livres huict solz huict deniers parisis faisant moictye des six vingtz dix huict [6x20+18 = 138] livres dix neuf solz quatre deniers parisis contenu par certain executoyre de despens allencontre de guillaume pierre & sa femme & avoir ainsy inventorié sous la cotte dudict transport pour seconde foys ...... dix huict ».

Nom d'origine d'après l'étymologie de Baillet-en-France.
« Balioialum » est sans doute la forme primitive díun nom quíon trouve écrit Baliolum en 832 dans la charte díHilduin et duquel dérive le nom de lieu de Baillet.
En 1280, un titre signale la paroisse de Balluel, Bailleul et Baillet.
Source : Auguste Longnon, les Noms de lieu de la France, leur origine, leur signification, leurs transformations.
Preuve plus probante encore, puisque Baillet est écrit Bailleux en 1546.
Source : AD 95, EDT 50/1E1 BMT Chauvry 1535-1608. _ Acte du 28/01/1546. _ Testament de Catherine Denys femme de Nicolas Bonnemain : « Item donne a son eglise dudict chauvery pour une foys payer deux soulz parisis Item a bethemont bailleux chascun douze deniers parisis pour une foys payer », etc.

 

Note(s) : Signe aux actes notariés.
Source : AN, Y//3891, Acte du 12/11/1622, par devant Nicolas de Bailleul, sieur de Vattetot [-sur-Mer] et de Soisy [-sur-Seine], conseiller du roi en ses conseils d'Etat et privé, lieutenant civil de la ville et prévôté de Paris _ Avis de parents et amis : Vu la requête présentée par devant Nicolas de Bailleul, sieur de Vattetot [-sur-Mer] et de Soisy [-sur-Seine], conseiller du roi en ses conseils d'Etat et privé, lieutenant civil de la ville et prévôté de Paris, par damoiselle Margueritte Legrand, veuve de feu noble homme Adrien de La Morlière, vivant prévôt général de la Connétablie et Maréchaussée de France, camp et armée du roi, ladite Legrand mère et tutrice des enfants mineurs d'elle et dudit défunt ; requête narrative faite afin de pouvoir vendre et aliéner deux maisons appartenant aux enfants mineurs, se joignant et tenant l'une à l'autre, sises à Paris, rue St Martin, en l'une desquelles faisant le coin de la rue Grenier-Saint-Lazare, est à présent demeurant maître Claude Huard, notaire au Châtelet de Paris ; lesquelles deux maisons sont tenus à loyer par ledit Huard pour la somme de 500 livres par an, mais que de ces 500 livres, il n'en revient que 400 livres au profit des dits mineurs, d'autant que pareillement il faut les réparer, étant fort vieilles et en fort mauvais état, voire menaçant une entière ruine et chute dans peu d'années, etc. Deux jurés maçons, Charles David et Augustin Guillain, sont nommés d'office pour connaître la vérité quant au mauvais état, prix et valeur des deux maisons : la plus grande, faisant l'un des coins de la rue Grenier-Saint-Lazare, est estimée à 4.200 livres, et l'autre plus petite joignant, à la somme de 3.800 livres, soit 8.000 livres tournois pour les deux maisons, et le rapport des deux jurés maçons confirme qu'elles sont en mauvais état, et qu'il serait plus nécessaire de les rebâtir à neuf que de les réparer. Enfin, il sera dit par délibération du conseil qu'il est permis à ladite damoiselle Margueritte Legrand, mère et tutrice desdits mineurs, de vendre et aliéner à personnes solvables - soit a titre de vente, d'échange ou de rente - les deux maisons joignant et tenant l'une à l'autre ci-dessus déclarées, et sous les servilités requises pour le profit desdits mineurs, moyennant la somme de 12.000 livres tournois, à la charge de remployer ce qui pourra être reçu et touché en deniers comptant, en achat d'héritages ou rentes pour le profit desdits mineurs, le tout suivant l'avis des parents, qui est approuvé et homologué.
NB : Les deux maisons sont prisées et estimées ensemble par les jurés maçons à 8.000 livres tournois, mais apparemment suite à l'avis de parents, le droit de vendre et d'aliéner n'est permis finalement à Margueritte Legrand, queàmoyennant la somme de 12.000 livresà et à la charge de remploi des sommes reçues pour prix de la vente et aliénation des deux maisons, biens propres des enfants mineurs d'elle et de défunt Adrien de La Morlière.
Parents présents cités, assignés en date du 10 du présent mois (novembre), à se présenter le samedi suivant en l'hôtel du lieutenant civil, par exploit de Desbruyères, sergent à verge au Châtelet de Paris :
_ Maître Claude Dardet, greffier en la prévôté de Pontoise, oncle paternel à cause de Magdeleine de La Morlière sa femme.
_ Adam Rémy, sergent a verge au Châtelet de Paris, cousin paternel à cause de Claude Bignon sa femme.
_ Maître Jehan Millien, cousin paternel à cause de Anne Fournicquet sa femme.
_ Maître Charles Boiscourjon, procureur en parlement, oncle maternel à cause de Elisabeth Legrand sa femme
_ Maître Jehan Desmaretz, naguère commissaire et examinateur au Châtelet de Paris, grand-oncle maternel, comparant par maître Rolland Desmarestz, avocat en parlement, son fils, ledit Rolland Desmarestz cousin maternel.
_ Maître Claude Mandat, conseiller en Parlement, cousin maternel à cause de damoiselle Jehanne Lombart sa femme [fille de Jehan Lombard et de Claude Desmaretz, soeur de Marie Desmaretz qui était la mère de Marguerite Legrand. Claude et Marie avaient pour père Philippes Desmaretz, lequel était frère de Jehan Desmaretz, grand oncle comme il est dit].
_ Noble homme maître André Legrand conseiller du roi et receveur général de ses finances à Paris, cousin maternel.
_ Noble homme maître Noël Hureau, conseiller du roi en ses conseils d'Etat et privé et trésorier général de l'ordinaire des guerres, cousin maternel à cause de dame Elisabeth Legrand sa femme.
Autres parents cités, aussi assignés en date du 10 du présent mois (novembre), à se présenter le samedi suivant en l'hôtel du lieutenant civil, par exploit de Desbruyères, sergent à verge au Châtelet de Paris, et par vertu du défaut donné contre eux :
_ François de La Morlière, lieutenant de la Connétablie et Maréchaussée de France, oncle paternel et subrogé tuteur des enfants mineurs. Margueritte Legrand aurait requis le lieutenant civil lui permettre de le faire assigner pour voir, dire, en la présence dudit lieutenant civil et de Jehan Du Roy, de la cour de céans, conservateur des biens et droits des mineurs, lesdites deux maisons seraient vues et visitées, prisées et estimées par deux jurés massons qui seraient à cet effet nommés d'office ; assignation donnée en date dudit jour, 27 juillet, aux fins de ladite requête par devant le lieutenant civil, en la Chambre civile, par Firmin, sergent [à verge au Châtelet].
_ Maître Charles De Vallois, oncle paternel à cause de Claude de La Morlière sa femme.
_ Maîtres Anthoine et Francois Bignon, procureurs au Châtelet, cousins paternels.
_ François Lefebvre, cousin paternel à cause de Gillette Bignon sa femme.
_ Maître Estienne Legrand, oncle maternel.
_ Maître François Legrand, cousin maternel.

« BREVETS de retenue. La Veuve du Sieur de La Morlièee en obtint un de 45 000 liv. 18 Août 1623. »
« 18 Août 1623. BREVET de survivance accordé au Sieur Gardette de Montifaut Prévôt de la Connétablie, tant pour ses services que pour l'indemniser de 45000 liv. que le Roi avoit ordonné au Sieur Bois-Chatellier son devancier & beau-pere, de payer à la veuve du Sieur de La Morlière ci-devant prévôt. »
Source : Gabriel Henri de Bauclas, " Dictionnaire universel, historique, chronologique... des maréchaussées de France ". Paris : La veuve Ganeau, Prault, père, G. F. Quillau, père, et al., M. DCC. XLVIII (1748), t. I, p. 146 et 237-238.
NB : « RETENUE , Se dit auusi en parlant de la grace que le Roy fait , lorsque sur les Charges qui ne sont point hereditaires , il assure par un Brevet au titulaire ou à ses heritiers une certaine somme payable par celuy qui doit luy succeder à la Charge. Brevet de retenue. »
Source : Nouveau Dictionnaire De L'Academie Françoise: Dedié Au Roy. M - Z, Paris : jean-Baptiste Coignard, M. DCC. XVIII. (1718), t. II, p. 502.
Autre définition, plus tardive.
« BREVET... On appelle Brevet de retenue, Un brevet par lequel le Roi assure certaine somme sur le prix d'une Charge, d'un Gouvernement, à la femme, aux héritiers, ou aux créanciers du Titulaire. »
Source : Dictionnaire de l'Académie françoise. Cinquième édition. Paris : Bossange et Masson, Farnery, Henri Nicolle, 1814, t. I, p. 173.

Autre relation.
Source : AN, MC/ET/XXIV/314, fol. 132 - Acte du 17/02/1625, par devant Jean Chapellain notaire au Châtelet de Paris. _ Titre nouvel par Marguerite Le Grand, veuve de feu Adrian de La Morlière, grand prévôt de la connétablie et maréchaussée de France, en son nom et pour leurs enfants, et Claude de La Morlière, épouse de Charles de Vallois, bourgeois de Paris, comme héritiers de défunts Claude de La Morlière, notaire au Châtelet, et Elisabeth Fourniquet, sa femme, leurs père et mère.

 

Note(s) : Occurrences Prénom : Raoline (acte notarié, cf., infra)), Roline (AN, MC/ET/IX/289, no 161 bis - Inv. après décès d'Elisabeth Fourniquet, 20/10/1610. Papiers : Cote XLVI)
Signe " rolinne delamorliere " au contrat d'acquisition d'une maison à Paris, rue Tireboudin.
Source : AN, MC, ET/XCI/104, fol. 381 - Acte du 23/10/1594, par devant Claude Delamorlière et " Cléophas Péron " notaires au Châtelet de Paris. _ Contrat d'acquisition d'une maison sise rue Tireboudin à Paris et de ce qui est loué avec... passé entre Michel Sequeville, marchand apothicaire, bourgeois de Paris, demeurant rue St Martin, et Anne Henry veuve de Lois Guillot demeurant à La Cour Neufve, vendeurs, et Anthoine Bignon sergent à verge au Châtelet de Paris, et sa femme Raoline Delamorlière, acheteurs qui avaient déposé et consigné par avance entre les mains de Jacques Sobrillart, procureur en la Chambre des Comptes, la somme de 50 écus sol pour le prix. Les vendeurs déclarent avoir eu et reçu cette somme dudit Sobrillard en la présence des notaires.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable homme; huissier sergent à verge au Châtelet de Paris
Note(s) : Signe à un contrat d'acquisition d'une maison à Paris, rue Tireboudin...
Source : AN, MC, ET/XCI/104, fol. 381 - Acte du 23/10/1594, par devant Claude Delamorlière et " Cléophas Péron " notaires au Châtelet de Paris. _ Contrat d'acquisition d'une maison sise rue Tireboudin à Paris et de ce qui est loué avec... passé entre Michel Sequeville, marchand apothicaire, bourgeois de Paris, demeurant rue St Martin, et Anne Henry veuve de Lois Guillot demeurant à La Cour Neufve, vendeurs, -- et Anthoine Bignon sergent à verge au Châtelet de Paris, et sa femme Raoline Delamorlière, acheteurs qui avaient déposé et consigné par avance entre les mains de Jacques Sobrillart, procureur en la Chambre des Comptes, la somme de 50 écus sol pour le prix. Les vendeurs déclarent avoir eu et reçu cette somme dudit Sobrillard en la présence des notaires.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Procureur aux Auditeurs du Châtelet de Paris
Note(s) : Source : AN, Y//3896 - Acte du 07/051631. _ Avis de parents et amis : Vu par Nicollas Sachot conseiller du roi en son Châtelet de Paris, la requête présentée, baillée par écrit par Anthoine Guytart bourgeois de Paris et Marie Bocquet sa femme, narative qu'ils ont plusieurs actions à intenter contre la succession de défunte Marie Hémon veuve de feu maître Anthoine Bignon, procureur au Châtelet de Paris, qui avait vendu audits suppliants une maison sise à Paris rue des Anglois, et d'autre qu'ils ont appris que Anthoinette Bignon, sa fille et présomptive héritière, était mineure et en bas âge, et Anthoine Bignon son frère, absences il y a, disant il est besoin à pourvoir de tuteur et curateur et aviser s'ils appréhendront ou renonceront à la succession de ladite défunte, attendu que les parents et amis desdits mineurs n'ont tenu cy de faire faire lesdites élections, ils requièrent estre tenus de faire assigner les parents et amis desdits Anthoine et Anthoinette Bignon qui leur ont été indiqués par Charles Bignon leur frère, pour procéder à l'élection d'un curateur pour audit Anthoine Bignon et d'un tuteur à ladite Anthoinette Bignon, et contre lesquels lesdits suppliants puissent diriger leurs actions et outre pour donner leur avis si lesdits Anthoine et Anthoinette Bignon accepteraient ladite succession de ladite défunte Hémon leur mère, ou s'ils y renonceraient, etc. ; aux fins de laquelle requête et en vertu de l'ordonnance y apposée en date du douze avril dernier, assignation faite aux parents et amis ci-après nommés par exploit de Rebours sergent le quinze dudit mois d'avril, lesquels suppliants lesdites assignations, sont comparus : -- Charles Bignon sergent à verge au Châtelet de Paris, frère, -- François Lefebvre bourgeois de Paris à cause de Gillette Bignon sa femme, -- Adam Rémy sergent à verge audit Châtelet, oncle paternel à cause de Claude Bignon sa femme, -- Maître Adrien De Musinot procureur audit Châtelet, cousin germain paternel, -- Maître Philippes Marcou commis au greffe des requêtes du Palais, cousin paternel, -- Louis Hémon bourgeois de Paris, oncle maternel, -- Louis Merlot, cousin maternel, -- et François Lefebvre le jeune, cousin maternel.
NB : Philippes Marcou est dit par ailleurs : commis au Greffe de la Cour de céans (= du Palais) & Huissier sergent d'armes du Roi en la Connestablie & Mareschaussée de France.
Source : Étienne Girard, Jacques Joly, " Trois livres des offices de France ". Paris : Estienne Richer, 1638, p. 275.

Source : AN, Y//3898C - Acte du 07/09/1632. _ Avis de parents et amis : « Lan M VI c trente six le septiesme jour de septembre » vu par Nous Michel Moreau greffier, sentence rendue par délibération du premier jour de mars dernier, à la requête et poursuite de Anthoine Guitart marchand bourgeois de Paris et Marie Bocquet sa femme, par laquelle est ordonné que les parents et amis de Anthoine et Anthoinette Bignon, enfants mineurs de défunt Me Anthoine Bignon, vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, et de Marie Hémon leurs père et mère « seroient derechef assemblez » par devant Nous pour nous donner leur avis sur l'élection d'un tuteur et subrogé tuteur auxdits mineurs ; même pour savoir « silz renonceroient » à la succession de ladite défunte Hémon « ou accepteroient icelle », faute de quoi lesdits Guitart et sa femme « souffroient » de grands dommages et intérêts, et ne peuvent diriger les actions qu'ils ont à intenter contre la succession de ladite défunte Marie Hémon ; vu aussi (une) autre sentence du 19e jour d'août dernier, portant que ladite Bignon sera tenue prendre qualité d'accepter ou renoncer à la succession de ladite défunte Hémon, et ce par l'avis des parents et amis de ladite mineure ; suivant lesquelles deux sentences lesdits Guitart et sa femme auraient fait assigner par devant Nous, par exploit de Robinot sergent, des 3e août et VI du présent mois, les ci-après nommés pour donner leur avis, tant sur ladite appréhension de la succession de ladite défunte Hémon ou renonciation a icelle, qu'élection d'un curateur audit Anthoine Bignon, et encore sur le remboursement des frais ci-devant faits et que sont encore à faire par lesdits Guitart et sa femme ; « lesquels parans et amys seroient comparuz ainsy quil ensuict asscavoir » Charles Bignon sergent à verge au Châtelet de Paris, frère et curateur de ladite Anthoinette Bignon, -- Jehan Petit maître parcheminier à Paris, beau-frère à cause de Marie Bignon sa femme, -- Adam rémy sergent à verge audit Châtelet, oncle paternel à cause d'Anne Bignon sa femme, -- François Lefebvre maître tailleur d'habits à Paris, oncle paternel à cause de Gillette Bignon sa femme, Me Adrian de Musino procureur audit Châtelet, cousin germain paternel, -- François Lefebvre, le jeune, maître tailleur d'habits, cousin paternel, et Pierre Vincent aussi sergent à verge, ami, tous en persone auxquels nous avons fait faire le serment de bien fidèlement, et en leur conscience, donner avis sur le contenu desdites sentences, etc.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Sergent à verge au Châtelet de Paris; Procureur au Châtelet de Paris
Note(s) : Source : AN, Y//137, fol. 145 v° - Acte du 07/04/1598. _ Contrat de mariage entre François Bignon, sergent à verge au Châtelet de Paris, demeurant rue Tire-Boudin, paroisse Saint-Sauveur, -- et Marguerite de La Faye. Par ce contrat Guillaume de La Faye, sergent à verge au Chatelet de Paris, demeurant rue et paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, père de Marguerite de La Faye, promet de donner aux futurs époux, la veille des « espouzailles » une somme de 200 écus soleil, un lit garni et les habits « filliaux », linge, « demy-ceinct » d'argent et autres choses appartenant à sa fille, lesquels habits « filliaulx », linge et « demy-ceinct » d'argent sont évalués 25 écus soleil. Au bas de l'acte : Quittance du 18/05/1598, par François Bignon et par Marguerite de La Faye, de la somme de 200 écus soleil, dudit garni, et des habits « filliaulx », linge et « demy ceinct » d'argent le tout mentionné au contrat.

Source : AN, MC/ET/VI/170 - Acte du 03/03/1603, par devant Simon de La Barde notaire au Châtelet de Paris. _ Quittance de la somme de 135 livres pour le rachat et les arrérages de 8 livres 6 sols 8 deniers de rente... donnée par Sébastien Paty maître peintre, demeurant rue des Juifs, et par Michelle Pijart sa femme, veuve en premières noces de Jean Despien maître peintre, en son nom et au nom de Marie et Jean Despien, enfants mineurs de ladite Pijart, -- à Marie Delafaye veuve de Jean Corné, tapissier et valet de chambre du cardinal de Bourbon, -- à Nicolas Letailleur juré aulneur de draps, demeurant rue de la Halle-aux-toiles, -- et à François Bignon sergent à verge au Châtelet.

Le décès de François Bignon est survenu avant le 10 janvier 1637, date à laquelle sa femme est remariée, comme il appert par un acte des insinuations du Châtelet de Paris.
Source : AN, Y 177, fol. 135 v° - Acte du 10/01/1637. _ Vente et constitution d'une rente de 127 livres, 15 sols, 6 deniers tournois par Jean Langloix, avocat en Parlement, et Geneviève Gayot, sa femme, demeurant à Paris rue du Battoir, paroisse Saint-Cosme, -- à Marguerite de La Faye, femme de Jean Langloix, valet de garde robe du Roi, demeurant rue de la Pelleterie, paroisse Saint-Jacques de la Boucherie, et, donation d'une somme de 2300 livres tournois par ladite de La Faye, -- à Anne Bignon, fille d'elle et de François Bignon, procureur au Châtelet de Paris ; ladite Anne Bignon, femme de Nicolas Doulcet, procureur au Châtelet de Paris.

 
Sosa : 28526, 59758, 61294

Note(s) : Le décès de Pierre Le Conte est survenu avant le 20 septembre 1570, comme il appert d'un acate notarié.
Source : AN, MC/ET/XXXV/49 - Acte du 16/01/1614, par devant Jean Chapelain (l'aîné) notaire au Châtelet de Paris. _ 2e Inventaire après décès de Claude de La Morlière, notaire au Châtelet de Paris. Papiers : Cote CX. _ « Item deux pieces en parchemin attachees ensemble La premiere est une sentence du chastellet de paris dattee du XXe Septembre M Vc LXX Signe Barbedor donnee entre ysabeau bailleux veufve de feu pierre Le Conte & Marie Le Conte Leur fille femme auctorizee par justice au Reffus de Me pierre fourniquet demanderesse dune part et anthoine lignier laisne + \ (en marge) Me guillaume lignier jehan lignier & aultres deffenseurs daultre part... », etc.

En 1550, Pierre Le Conte est tenant et aboutissant d'une pièce de terre sise à Chauvry au lieu-dit " Le champ des connins ", citée dans un testament.
Source : AD 95, EDT 50/1E1 BMT Chauvry 1535-1608. _ Acte du 02/01/1550. _ Testament de Jehan Dubray dit marguillier : « Item Ledict donne a Leglise et fabrique de sainct martin de chauvery a perpetuité ung arpent de terre de son propre aquest et a La censive dung denier tournoiz deu aulx heritiers de feu monsieur Le president baudry situé au terrouer de chauvery au Lieudict Le champ des connins tenant dung coste aux terres de Ladicte eglise daultre coste a pierre Le conte dung bout a maistre pierre hochet », etc.

 

Note(s) : Na sait pas signer, fait sa marque à son contrat de mariage...
Cet acte précise qu'il n'y a que 5 maisons au village de Fontenelles et environ 100 maisons au village d'Hérouville d'une part, et 70 ou 80 feux d'autre part...

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Son père stipulant son droit et intérêts, il ne signe pas à son contrat de mariage.
Source : AD 95, 2 E 11/82 - Acte du 07/07/1610, par devant Jehan Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Françoys Caffin fils de Guilliaume Caffin, laboureur demeurant à Fontenelle, et de Magdalaine Dubray, ledit Guilliaume Caffin stipulant de droit et intérêts de son fils d'une part, et Françoise Caffin fille de Denis Caffin « laisné », aussi laboureur demeurant à Hérouville, et de défunte Françoise Dubray, ledit Denis Caffin stipulant pour sa fille d'autre part ; fait ès présence de vénérables et discrètes personnes maître Jehan Caffin, prêtre curé dudit Hérouville, Anne Dubray aussi prêtre, l'un des régents du Collège de Pontoise et y demeurant.

François Caffin, laboureur à Fontenelle, signe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 10/285 - Acte du 12/12/1631, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Vente par François Caffin laboureur demeurant à Fontenelle et Robert Pouchet laboureur demeurant à Grisy, lequel tant en son nom que comme se faisant et portant fort de Marie (sic, erreur pour Magdeleine) Caffin sa femme, -- à Ambroise Caffin laboureur demeurant à Hérouville ; c'est à savoir 8 perches & 1/3 de perches de vigne faisant la troisième partie d'un quartier, assis au terroir de Pontoise lieu-dit " derrière le bois " ; aux dits vendeurs appartenant au moyen du partage fait avec leurs cohéritiers en la succession de Guillaume Caffin leur père ; moyennant la somme de 34 livres tournois pour le sort principal, argent franc ; en présence de Guillaume Caffin (S) laboureur demeurant à Fontenelle, de Jehan Choucquet (S) laboureur demeurant à Menouville, de Jehan Galloys (S) laboureur demeurant à Rus (= Rhus, hameau d'Epiais).

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Prêtre curé à Précy [-sur-Oise]

Profession(s) : Intendant des affaires de Mr le marquis d'Arquisan
Note(s) : décès

 

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024