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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer; Garde du corps du roi (1646, vent sa charge en 1648)
Note(s) : Les gardes du roi occupent le premier rang de la Maison militaire du roi, devant les chevau-légers et les gendarmes de la garde. De par leur place près du roi, l'accès aux compagnies de gardes du corps est un privilège envié. Jusqu'au règne de Louis XIV, les places de gardes du corps sont vendues par les capitaines des quatre compagnies. Le roi-soleil met fin à ce privilège en 1664. Source Internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Garde_du_corps_du_roi (dernière MAJ, 20/12/2013)
Les Gardes du corps du roi et de la reine, furent confirmés dans la qualité d'écuyer, par arrêt du conseil du 30 mai 1656. Mais ce titre ne donnait à ceux qui n'étaient pas gentilshommes que la noblesse personnelle, sans la rendre transmissible, ni héréditaire à leurs enfants. Source Internet : http://www.blason-armoiries.org/institutions/g/garde-du-corps.htm (dernière MAJ, 23/02/2013)
Autre relation.
« Il y avait certains emplois dans le service militaire et quelques charges qui donnaient le titre d'écuyer, sans attribuer à celui qui le portait, une noblesse héréditaire et transmissible ; la déclaration de 1631 et l'arrêt du grand conseil disaient que les gardes du corps du roi pouvaient se qualifier écuyers ».
Source : Pierre Larousse, " Grand dictionnaire universel du XIXe siècle ". Paris : Larousse, 1866, t. VII, p. 182.
En février 1646, François de La Morlière était encore Garde du corps du Roi.
b11/02/1646 Chauvry (95) : François Hervé, fs Jehan Hervé le jeune et Jehanne Didier
p/m : François de La Morlier (sic) garde du corps de nostre sire le Roy, Renée Le Compte
En 1647, François de La Morlière, demeurant à Lisieux, constitue son procureur un membre de sa famille, son cousin germain, Pierre Fourniquet procureur en Parlement.
Source : AN, MC/ET/II/184 - Acte du 29/08/1647, par devant Etienne Gerbault notaire au Châtelet de Paris. _ Procuration de François de La Morlière, écuyer, garde du Corps du Roi, demeurant à Lisieux, comme légataire de défunt Martin Anceaume, bourgeois de Paris, à Pierre Fourniquet procureur en Parlement.
En 1648, François de La Morlière vend son office de Garde du corps du Roi. [NB : Cet office lui conférait la qualité d'écuyer, mais seulement tant qu'il était revêtu de sa charge]
Source : AN, MC/ET/X/97 - Acte du 05/02/1648, par devant Gervais Manchon notaire au Châtelet de Paris. _ Déclaration par François de La Morlière, conseiller du roi, grenetier au grenier à sel de Lisieux, relative à la vente de l'office de garde du corps du roi par son fils, François de la Morlière.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Comtesse de Joigny
Note(s) : Source : MC, ET/CXXII/1600, fol. XIX - Acte du 06/06/1620, par devant Claude de Troyes notaire au Châtelet de Paris. _ Prorogation d'un compromis passé le 3 février 1620 entre Marie Séguier, Louise du Prat comtesse de Joigny, Chrétienne de Sève dame de Viteaux, d'une part, Henry, Jean-Charles, Christophe et Antoine de Chabannes, d'autre part.
Source : AN, Y//158, fol. 58 - Acte du 04/04/1617. _ Donation par Louise du Prat, veuve de René de Chandiot, chevalier, marquis de Nesle et comte de Joigny en partie, demeurant à Paris sur le quai des Augustins en l'hôtel de Nantouillet, paroisse Saint-André des Arts, d'une rente de 100 livres tournois au monastère de Saint-Etienne de la Congrégation de Notre-Dame des feuillants, en construction au Plessis-Raoul dit Picquet.
Source : AN, Y//164, fol. 219 v° - Acte du 06/04/1621. _ Donation par Louise du Prat, veuve en premières noces de René de Chandieu, Chevalier, seigneur et comte de Joigny, demeurant à Paris, en l'hôtel de Nantouillet sur le quai des Augustins, paroisse Saint-André des Arts, -- à Antoine du Prat, chevalier, sieur de Nantouillet, son neveu, de tous les meubles anciens à elle échus en partage et qui lui appartiendront lors de son décès.
Force est de constater que son décès survenu le 28 juin 1626, Louise du Prat a volontairement occulté le nom de son second mari, Charles de Berbisy, en se disant veuve de René de Chandio son premier mari dans son épitaphe funéraire. Sa tombe de pierre se trouvait jadis, avant la Révolution, dans l'église du Couvent des Feuillants du faubourg Saint-Jacques à Paris, parmi les tombes à droite de la nef et près de la chapelle de Saint-Jérôme.
« 1853. -- HONNORABLE ET TRES VERTUEUSE DAME LOUISE DU PRAT, VEUFVE
DE FEU MESSIRE RENÉ DE CHANDIO, JADIS COMTE DE JOIGNY ET MARQUIS DE NEELE,
S'EST FAICT ENTERRER ICY CEANS, PAR DEVOTION, LAQUELLE DECEDA L'AN DE NOSTRE
SEIGNEUR M DC XXVI, LE XXVIII JOUR DU MOIS DE JUING. »
Source : Emile Raunié, " Epitaphier du vieux Paris ". Paris : Impr. Nationale, MDCCCCXIV (1914), t. IV, p. 274.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chevalier; Marquis de Nesle; Comte de Joigny (en partie)
Note(s) : Occurrences : de Chandieu, de Chandio
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur de Villemain paroisse de Grisy; Conseiller du Roi; Maître des requêtes ordinaires de l'Hôtel du Roi
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Note(s) : Signe " M delafaye " à un acte notarié.
Source : AN, ET /XXXIV/90 - Acte du 06/06/1644, par devant Jean Dupuys notaire au Châtelet de Paris. _ Contrat d'apprentissage : fut présente en sa personne Marguerite Delafaye veuve de feu François Bignon, vivant procureur au Châtelet de Paris, en première noces, demeurant rue Pavée, paroisse St Laurent ; laquelle pour le profit faire, et dommage éviter, de Jean Bignon son petit-fils, âgé de treize ans ou environ, fils de défunts Jacques Bignon vivant sergent à verge au Châtelet de Paris, et de Catherine Arnoul jadis sa femme, ses père et mère, confesse et reconnaît avoir bailé et mis en apprentissage du « jourdhuy jusques a six ans apres ensuivans finys & accomplys », - à et avec Anthoine Thierry maître « gaignier » et doreur sur cuir à Paris, demeurant rue de « la Coustellerye », à ce présent et acceptant, qui a pris et retenu ledit Jean Bignon pour son apprenti, auquel pendant ledit temps il promet montrer et enseigner son dit métier, etc.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Valet de garde robe du Roi
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Note(s) : Source : AN, Y//177, fol. 135 v° - Acte du 10/01/1637. _ Vente et constitution d'une rente de 127 livres, 15 sols, 6 deniers tournois par Jean Langloix, avocat en Parlement, et Geneviève Gayot, sa femme, demeurant à Paris rue du Battoir, paroisse Saint-Cosme, -- à Marguerite de La Faye, femme de Jean Langloix, valet de garde robe du Roi, demeurant rue de la Pelleterie, paroisse Saint-Jacques de la Boucherie, et, donation d'une somme de 2300 livres tournois par ladite de La Faye, -- à Anne Bignon, fille d'elle et de François Bignon, procureur au Châtelet de Paris ; ladite Anne Bignon, femme de Nicolas Doulcet, procureur au Châtelet de Paris.
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