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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable femme
Note(s) : En 1575, Denise Grandin, maîtresse de maison, avait à son service Perrette Coutur.
AN, MC/ET/IX/227 - Acte du 04 deptembre 1575, par devant Claude de La Morlière notaire au Châtelet de Paris. _ Contrat de mariage entre Jean de Fontaine, menuisier, au service d'honorable homme Robert Lemaire, maître artillier et arbalétrier, d'une part, et Perrette Coutur usant et jouissant de ses droits, au service d'honorable femme Denise Grandin, femme de Adrian de La Morliere, sergent au Châtelet de Paris, maîtresse, fille de Jean Coutur, décédé, manouvrier, demeurant à Crépy-en-Valois, et de Catherine Dutemple, décédée, d'autre part.
Denise Grandin a fait son testament et ordonnance de dernière volonté le 5 août 1590, mais les noms des notaires ne sont pas précisés dans un mémoire écrit de la main de son fils, Claude de La Morlière, faisant mention de ce testament dans ses papiers.
Source : AN, MC/ET/XXXV/49 - Acte du 16/01/1614, dressé par Jean Chapelain (l'aîné) notaire au Châtelet de Paris. _ Inventaire après décès de Claude de La Morlière notaire au Châtelet de Paris. Papiers : Cote « vingt ung ». _ « memoire de ce que Jay baillé a ma fille de vallois depuis le trespas de sa mere Inventorié Sur Ladicte Cotte pour seconde fois vingt ung En Inventoriant lequel memoire Ladicte Claude de La Morliere assistée dudict de vallois son Mary comme dessus a protesté que Linventorié dudict memoire ne luy puisse nuyre ne prejudicier et a dict que Les Soixante livres y mentionnez ont esté Retournés par ledict de vallois au Lieu dune paire de brasseletz dor quy auroient esté donnés par legues a ladicte de la morliere par feue denise grandin vivant(e) femme de feu Adrian de la morliere ses ayeul et ayeule paternelz par son testament & ordonnance de derniere volonté du Cinquiesme Aoust mil cinq Cens quatre vingtz dix lesquelz brasseletz elle ny sondict mary nont jamais euz et pour le Regard du surplus au contenu dudict memoire est prest de Le Representer quand besoing sera Sousentendant que ces Coheritiers doibvent faire Le semblable de ce quilz ont touché ».
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Profession(s) : Sabotier
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Profession(s) : Couturière; Ménagère
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Profession(s) : Receveur de la ferme du Moulinet à Us
Note(s) : Occurrence : Gorré (acte de son mariage)
Signe à l'acte de son mariage...
François Goré (ou Goret), se maria en 1681 à Madeleine Caffin. François, âgé de 40 ans, était d'Ivry. L'épouse avait 26 ans. Jean-Baptiste de Pitart, seigneur d'Ivry, daigna figurer parmi les témoins du mariage, indice du niveau social déjà conséquent de François Goré. Peut-être était-il fermier de la Commanderie ?
Source : http://mairie.pagespro-orange.fr/60173ivry/Hist_village/Ivry_au_XVIIIe.html
NB : L'âge indiqué de 60 ans dans l'acte de son décès, le fait naître vers 1631, alors que si on considère l'âge indiqué dans l'acte de son mariage, il serait né vers 1641 !
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Note(s) : Occurrence : De Campt (plusieurs actes de baptêmes parmi ses enfants)
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Note(s) : Contrat de mariage. Source : AD 95, 2 E 10/338.
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Profession(s) : Receveur de la terre et seigneurie de Fresnes-Léguillon
Note(s) : La filiation paternelle de Claude De Machy est prouvée par un acte paroissial.
b02/07/1598 Amblainville : Jehan Masson filz de Claude Masson
p/m : Jehan Le febvre filz de Eustache Le Febvre et Claude Demachy filz de Anthoine Demachy, Marguerite Maumonnier veufve de Me André Demachy
Claude De Machy avait pour frère Estienne de Machy qui se maria le même mois et la même année que lui (août 1608 à Amblainville)
Son décès est survenu le 27 août 1634 à Fresnes-Léguillon ; il fut inhumé le lendemain, 28 août, en l'église St Martin d'Amblainville.
Source : RP de Fresnes-L'éguillon et d'Amblainville.
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Note(s) : Dénommée Magdalaine / Magdelaine Dubré dans les 2 actes pour le baptême de sa fille Magdalaine / Magdelaine
b05/12/1613 Amblainville : Magdalene de Machy fille de Estienne et de Marie Deslions sa femme
p/m : Anne de Machy, Magdaleine Dubray
NB : Les parents de l'enfant sont ses beau-frère et belle-soeur...
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Pierre De Camp, laboureur, demeurait à la ferme de Mézières (acte de son décès)
NB : L'acte de son mariage précise... le dimanche XXVe jour de janvier 1631... mais il y a manifestement une erreur quant au mois, car l'acte précédent et l'acte suivant sont du mois de juillet ; d'autant plus que le contrat pour son mariage est en date du 22/07/1631.
Signe " p de camps " avec paraphe à son contrat de mariage.
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Profession(s) : Fermière des Dames et religieux de l'Hôtel Dieu de Pontoise, à Mézières (Les)
Note(s) : Signe " marye cheron " à son contrat de mariage.
L'acte de son second mariage est en date du lundi XXIII/e jour de juillet 1640, mais le quantième n'est correct que si la dernière barre plongeante du chiffre romain est à transcrire comme étant liée à l'abréviation "ième", sinon le jour était un mardi !
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur; Fermier receveur de la terre et seigneurie d'Hédouville; Fermier receveur de la terre et seigneurie de Ruz
Note(s) : L'ascendance paternelle d'André Chéron est attestée par un acte notarié, auquel il signe avec paraphe.
Source : AD 95, 2 E 11/140 - Acte du 08/04/1606, par devant André Prévost notaire à Pontoise. _ Echanges, contre-échanges et permutations faits entre Maître Nicolas Benoiste praticien demeurant à Beauvays, en son nom, et Nicolas Jost tonnelier demeurant à Hérouville et Perrette Benoiste sa femme, à cause d'elle, de lui autorisée pour faire et passer ce qui ensuit d'une part, -- et honnête personne André Chéron laboureur demeurant à Mézières d'autre part, etc. ; c'est à savoir que par le moyen dudit échange lesdits Benoiste, Jost et sa dite femme ont baillé et délaissé, cédé, quitté et transporté audit Chéron, premièrement trois quartiers de terre sis au terroir dudit Mézières en une pièce, la pièce comme elle se comporte, lieu-dit " reposouer ", tenant d'un côté et d'un bout les terres de la fabrique St Maclou de Ponthoise, d'autre côté les héritiers Jehan Poultreau, etc. ; Item une autre pièce de terre contenant un arpent dix neuf perches ou environ, la pièce ainsi qu'elle se comporte, sise au terroir d'Espiedz lieu-dit " la pierre hebert ", tenant d'un côté étant en hache, d'un côté et d'un bout les terres St Maclou et autres, d'autre côté au sieur maître Marteau, d'un bout les héritiers Jehan Deslyons, et d'autre bout aux héritiers Jehan Poultreau, etc. ; Item la moitié par indivis d'une pièce de terre contenant trois quartiers ou environ, à partir à l'encontre de Françoys Dubray d'Espiedz, sise audit terroir d'espiedz au lieu-dit " soubz le buisson St diddier ", tenant toute ladite pièce d'un côté Maître Ladmour, d'autre côté le seigneur de Morilly, d'un bout les terres St Maclou, et d'autre bout ledit Chéron, etc. ; audit vendeur appartenant du propre dudit Benoiste et de ladite femme dudit Jost comme ils ont dit ; et pour contre-échange de ce ledit Chéron a baillé, cédé, quitté et transporté aux dits Benoiste, Jost et sa dite femme, leurs hoirs, la quantité de une mine de blé « fourment » et quatre quartiers d'avoine de rente annuelle et perpétuelle et foncière, que ledit André Chéron et Gervays Caffin à cause de Nicole Chéron sa femme, avaient auparavant lui droit de prendre et percevoir par chacun an - le jour St Martin d'hiver, comme héritiers de défunt Jehan Chéron leur père, vivant laboureur demeurant à Mézières # (voir en fin d'acte) - sur ledit Nicolas Jost, ladite Perrette Benoiste sa femme, par ledit maître Nicolas Benoiste, leurs biens et héritages au long déclaré et pour les causes en ès lettres et titres faisant mention d'icelle rente, et spécialement en certain titre nouvel de la reconnaissance d'icelle, passé par ledit Nicolas Jost et ledit maître Nicolas Benoiste, en date du XXVIIIe janvier mil Vc IIII XX XVII par devant Jacob Le Vasseur notaire royal à Ponthoise # \ (en marge) # lesquels titres sont demeurés ès mains dudit Chéron pour sécurité et garantie, etc. / ; et outre moyennant et parmi la somme de soixante livres tournois que ledit André Chéron en a présentement baillé et payé aux dits Jost, sa dite femme, et ledit maître Nicolas Benoiste, pour la « resoulte et retour de la presente eschange », /\ \ (en marge ) /\ avec trente sols pour les épingles de la femme et quarante sols au vin du marché, par ledit Chéron /, etc. ; # vers lequel Gervays Caffin et sa dite femme, ledit Chéron a promis acquitter lesdits Jost et consorts ; présents Denis Munyer et maître Jehan Pellet
Son ascendance maternelle est aussi attestée par un acte notarié, auquel il signe avec paraphe.
Source : AD 95, 2 E 10/1 - Acte du 21/12/1602, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Contrat de vente : furent présents en leurs personnes Héliette Jorel veuve de feu, en dernière noce, de feu (sic, bissé) Vallentin Chéron, « dame de soy demeurante a mezieres », et André Chéron laboureur demeurant audit lieu, son fils ; lesquels confessent avoir vendu, cédé, quitté, transporté, et promettent garantir de tous troubles, etc., -- à dame Perrette Cossard femme séparée quant aux biens d'avec noble homme André Dumont écuyer son mari, demeurant à Ponthoise, présente, " achepteresse et ce acceptante " pour elle, ses hoirs ou ayants cause ; c'est à savoir cinquante deux perches de pré assis au terroir de Neully au lieu-dit " Le cloz des Ruffaultz ", tenant d'un côté à ladite « achepteresse », d'autre côté à Jehan Ruffault, d'un bout le chemin qui conduit des glaises à Neully, et d'autre bout le chemin de Chavenson, etc. ; mouvant des seigneurs de Neully et chargé envers eux au prix de tels cens et droits seigneuriaux que peut devoir ce que dessus vendu, payable les jours « que deubz sont », pour toutes charges quelconques, quitte de tous arrérages « jusques a huy » ; appartenant à ladite veuve de son propre comme elle a dit pour en jouir ; cette « vendition » faite aux susdites charges et outre moyennant et parmi la somme de cent livres tournois pour le sort principal, argent franc que pour ce lesdits vendeurs en confessent avoir eu et reçu de ladite Cossard « en quars descus testons et aultres monnoye ayant a present cours en ce Royaulme », etc. ; fait ès présences de Henry Floquet et Me Denis More demeurant à Ponthoise, témoins
Signe de même au contrat de mariage de sa nièce Nicolle Caffin (fa Anthoine et Mathurine Chantepie).
Source : AD 95, 2 E 10/45 - Acte du 12/07/1631, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Quentin Lescuyer fils de Ferry Lescuyer marchand demeurant à Valmondois d'une part, et Nicolle Caffin fille de défunt Anthoine Caffin et de Mathurine Chantepie ses père et mère, dont le droit est stipulé par André Caffin laboureur demeurant à Hérouville, son frère, d'autre part ; en présence de Quentin Lescuyer laisné, Jean Lescuyer et André Lescuyer frères du futur époux, Hubert Bernay et Cler Aubert beaux frères, Gervais Caffin, Charles Chéron, André Chéron oncles de la future épouse, et de Séraphin Caffin son beau frère.
André Chéron a été fermier de l'Hôtel-Dieu de Pontoise à Mézières (Les), et fermier receveur de la terre et seigneurie d'Hédouville ; à son décès il était fermier receveur de la terre et seigneurie de Ruz paroisse d'Espiez (auj. Epiais-Rhus), et fut ensépulturé en l'église St Nicolas de Mézières (auj. dépendant de Vallangoujard).
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