Profession(s) : Receveur de la seigneurie de La Villetertre

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat; Ecrivain critique; Philologue; Ecuyer, seigneur d'Orcé; Conseiller et historiographe du roi Louis XIV
Note(s) : « (Henricus Valesius)
Philologue, né à Paris, le 10 septembre 1603 ; décédé à Paris, le 7 mai 1676. Il appartenait à une famille de gentilshommes Normands installés près de Bayeux et Lisieux ; son grand-père, le benjamin de la famille, est devenu riche dans le commerce de Paris. »
Source : De vita Henrici Valesii in the 2nd ed. of EUSEBIUS (Paris, 1677), also in the Cambridge edition (1720); SCHWARTZ, Eusebius Werke, Die Kirchengesch., III (Leipzig, 1909) ; cf., http://www.newadvent.org/cathen/15263a.htm

Sa filiation est rapportée par M. l'Abbé Lambert, dans la biographie le concernant.
« Henri de Valois, ecuyer, seigneur d'Orcé, conseiller & historiographe du roi, issu d'une noble & ancienne famille de basse-Normandie, naquit à Paris le 10 Septembre 1703, de Charles de Valois, & de Claudine de la Morliere, etc... La mort de cet illustre sçavant arriva le 7 Mars 1676. Il étoit âgé de soixante & douze ans ; il fut enterré à Saint Nicolas des Champs où est la sépulture de ses ancêtres. »
Source : Claude-François Lambert (M. L'Abbé), " Histoire littéraire du règne de Louis XIV : dédiée au roi ". Paris : Prault, Guillyn & Quillau, M DCC LI, t. I, p. 496.

Domiciles connus à Paris :
1. Rue Tireboudin, à l'enseigne de Saint-Sauveur.
Le no 24 de la rue Tire-Boudin à Paris (rebaptisée rue Marie-Stuart en 1809), à l'enseigne de Saint-Sauveur, appartint simultanément aux 3 frères : Henri de Valois, historien critique, avocat, historiographe de Louis XIV ; Charles de Valois, et Adrien de Valois, seigneur de la Mare, poëte latin, qui fut aussi historiographe du roi.
Source : Charles Lefeuve, " Les anciennes maisons de Paris sous Napoléon III ". Achille Faure, Paris, 1863, t. IV, p. 11-12.

2. Impasse des Bourdonnais.
« Un peu avant la mort de Louis XIV, l'impasse comportait 4 maisons et 2 lanternes conciliantes, toujours prêtes à fermer les yeux sur bien des choses ; ses murs bosselés, sesportes presque romanes, ses fenêtres dont bien des vitres sont en papier, d'autres en verre de bouteille, enfin ses escaliers à marches déprimées, ont encore moins dégénéré que le rang de ses habitants. Nous doutons, il faut en convenir, qu'Henri de Valois, seigneur d'Orcé, historiographe du roi, rencontrât plus de fondrières et de flaques d'eau, au XVIIe siècle qu'au moment où il vivait avec sa mère et ses frères (2ème porte cochère à gauche dans l'impasse). Cette circonstance n'était pas de nature à guérir la mauvaise humeur qui lui était avant tout familière, mais qui ne l'empêcha pas de se marier, à l'âge de 60 ans et aveugle, avec une jeune femme, de laquelle il eut sept enfants. Son frère, Adrien de Valois, également historiographe et pensionné comme homme de lettres, fit un mariage tout aussi précoce. L'un d'eux était le père du modeste et méfiant Charles de Valois, de l'Académie des Inscriptions et auteur de Valesiana. »
Source : Charles Lefeuve, " Les anciennes maisons de Paris sous Napoléon III ". Achille Faure, Paris, 1863, t. I, p. 17-18.
NB : Si l'auteur a raison de dire qu'Henri de Valois vécut avec sa mère et ses frères, dans la même maison, ce fut dans celle de la rue Tire-boudin et non dans celle de l'impasse des Boudonnais qu'il vint occuper suite à son mariage !

« L'hôtel Valois, au reste, dépendait de l'hôtel Mazarin (n° 35 de la rue) : quoi d'étrange à ce que le cardinal-ministre logeât Henri de Valois, auquel il servait une pension, tout comme le président de Mesmes, et qu'il mit sur son testament ! »
Source : http://www.paris-pittoresque.com/rues/111.htm

3. Rue Sainte-Avoye.
« Ce fut le 18 niv. 1664 que Valois, qui demeurait rue Ste-Avoye, conduisit à l'autel de St-Jean en Grève sa très-jeune épouse, dont les parents demeuraient rue des Quatre-fils. »
« Henri de Valois mourut, le 7 mai 1746, rue Ste-Avoye, " aagé de soixante et treize ans " ; son corps fut porté et inhumé dans l'église S-Nicolas-des-Champs, le 8 mai, en présence de " Charles de Valois, avocat au parlement, et Adrien de Valois, conseiller historiographe du Roy, son frère ", qui signa (De Valois). »
Source : Auguste Jal, " Dictionnaire critique de biographie et d'histoire ". Paris : Plon, 1867, p. 1223.

Henri de Valois et son frère Adrien furent inhumés en l'église Saint Nicolas-des-Champs.
« MM. Henri de Valois et Hadrien son frere, sçavans fort connus, décédés en 1676 et 1692, y ont été inhumés dans le collatéral le plus voisin du choeur du côté septentrional. »
Source : Abbé Leboeuf, " Histoire de la ville et de tout le dicèse de Paris ". Nouvelle édition annotée et continuée par Hippolyte Cocheris.. Auguste Durand, Paris, 1864, t. II, p. 317.

A propos d'Orcé dont il est qualifié seigneur, il appert qu'il faut peut-être... se référer, et au choix, à Jean Leboeuf :
1. « Du doyenné de Châteaufort. Orcé ou Orçay. Quelques-uns penseront qu'il seroit mieux écrit Orsay qu'Orçay, etc. Or c'est toujours par un C. qu'il est écrit dans tous ses monumens. Dans tous on trouve Orceacus ou Orceacum, etc. Ce village existoit dès le Xie siècle ; mais l'auteur qui en fait mention & qui vivoit alors, l'appelle Villula cui nomen Orceiacus. »
2. « Chateau-Fort, paroisse et doyenné. Un autre écart qui est de la paroisse de la Trinité se nomme Orse (a). C'est un Château avec un moulin situé au bas de Voisins le Cuit. Les cartes l'écrivent mal-à-propos Orsé ou Orcé. Il a appartenu en 1637 à Jehan de Loynes, Conseiller du Roy, & à Françoise Chouard sa femme. »
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(a) et non Orsé.
Source : Jean Leboeuf, " Histoire de Paris et de tout le diocèse de Paris ". Paris : Pierre Prault, 1757, t. VIII, p. 117-118 et 488.
Autre relation.
« Chateaufort. Parmi les maisons éparses qui composent maintenant ce village, on distingue le château d'Ors, que Leboeuf nomme Orse, et qui porte, sur quelques anciennes cartes, le nom d'Orsé ou Orcé. »
Source : Jacques Paul Migne, " Encyclopédie théologique ". Ateliers catholiques du Petit-Montrouge, 1849, p. 347.

« Adrien de Valois porte d'azur à un chevron d'or, accompagné de trois trèfles de même. » (t. Ier, p. 1077).
Source : Armorial de Paris (Ms. Bibl. Imp.) ; in Auguste Jal, " Dictionnaire critique de biographie et d'histoire ". Paris : Plon, 1867, p. 1224.

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Poête latin; Seigneur de La Mare; Conseiller et historiographe du roi Louis XIV
Note(s) : « Monsieur de Valois nâquit le 14. Janvier 1607. C'est son fils Charles qui le publie d'après l'éloge de M. le président Cousin dans son Journal des Savans du Lundy 28. Juillet 1692. »
Source 1 : Charles de Valois, " Valesiana ou Les pensées critiques, historiques et morales, et les poésies latines de Monsieur de Valois, conseiller du Roi & historiographe de France ". Paris : Florentin & Pierre Delaulne, M. DC. XCIII. (1693), non paginé, voir après Avertissement : Eloge de Mr de Valois, = comptée p.14.
Source 2 : Jean-Pierre Niceron (Révérend père), " Mémoires pour servir a l'histoire des hommes illustres dans la république des Lettres, avec un catalogue raisonné de leurs ouvrages ". Paris : Briasson, M. DCC. XXIX. (1729), t. III, p. 215.
Source 3 : Marie Nicolas Bouillet, " Dictionnaire universel d'histoire et de géographie ". Paris : Hachette, 1858, p. 1826.

NB : Adrien de Valois est aussi dit né le 14 janvier 1606. Mais, manifestement il y a une erreur de typographie commise par l'imprimeur à Amsterdam (1606 au lieu de 1607) ; sinon le texte est identique à celui de l'ouvrage de Charles de Valois, son fils, qui a rectifié l'erreur.
Source : Louis Cousin (Président), " Journal des sçavants pour l'Année M. DC. XCII ". Amsterdam : Wolfgang, Waesberge, Boom, & Van Someren,1693, t. XX, p. 503.

« Comme tous ceux qui avoient écrit contre Montmaur avoient pris des noms de guerre, il en fit de même , & prit celui de Quintus Januarius Fronto , dont chaque mot lui convenoit parfaitement, Quintus parce qu'il étoit le cinquième de ses frères ; Januarius parce qu'il étoit né dans le mois de Janvier, et Fronto parcequ'il avoit le front large & élevé ; c'est ainsi qu'il s'en explique lui-même dans le Valesiana, p. 38. »
Source : Jean-Pierre Niceron (Révérend père), op. cit., p. 209-218.

« L. Lettre d'Adrien de Valois à Nublé. _ Note introductive : " ... il faut se rappeler qu'Adrien de Valois, un des hommes les plus savants et les plus graves de son temps, en était aussi un des plus considérés. Dans toute l'Europe on était flatté de recevoir de ses lettres. Les jours où Burmann et Heinsius en recevaient, étaient pour eux des jours de fête. Le roi nomma Valois son historiographe et lui fit un traitement de douze cents livres et une pension. Le duc de Montausier le proposa pour la place, si recherchable, de sous-précepteur du dauphin, qu'il n'accepta pas. C'était à qui lui donnerait le plus de témoignages d'estime et de déférence. " »
Source : Jacques Matter, " Lettres et pièces rares ou inédites, Paris :Amyot, 1846, p. 306.

En 1669, Adrien de Vallois épouse Catherine Le Roy avec contrat.
Source : AN, Y//217, fol. 177 v° - Acte du 12/07/1669. _ Contrat de mariage entre Adrien de Vallois, conseiller et historiographe du Roi, demeurant à Paris, rue du Temple, paroisse Saint-Nicolas des Champs, -- et Catherine Le Roy, demeurant rue Charlot, susdite paroisse ; par lequel contrat il est établi que la future épouse apporte une somme de 6 600 livres tournois ; passé en présende de Pierre Hettel, peintre ordinaire de la Reine.

« L'étude de M. Boudin de Vèvres, not., garde la minute d'un contrat de mariage d'Adrien de Valois avec Marie Madeleine de Louhans, passé le 9 août 1668. Ce mariage ne fut point célébré. »
Adrien de Valois, âgé de 85 ans, décéda en sa maison, rue Michel-Lecomte, le 2 juillet 1692, et fut porté à l'église [St Nicolas-des-Champs] le 4 dudit mois, en présence de Charles de Valois son fils, et de Messieurs de Valois, ses neveux.
Source : Auguste Jal, " Dictionnaire critique de biographie et d'histoire ". Paris : Plon, 1867, p. 1223.

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris; Maître; Avocat au Parlement
Note(s) : Occurrences : de Vallois, de Walois (in acte de baptême de son petit-fils Charles). Signe " C . de valois " audit acte de baptême
Ce ne peut être que lui qui fut témoin avec Adrien de Valois, à l'inhumation d'Henri de Valois, leur frère.
« Henry de Valois mourut, le 7 mai 1676, rue Ste-Avoye, « aagé de soixante et treize ans » ; son corps fut porté et inhumé à l'église St-Nicolas des Champs, le 8 mai, en présence de « Charles de Valois, avocat au parlement, et Adrien de Valois, conseiller historiographe du Roy, son frère », qui signa (De Valois).
Auguste Jal, " Dictionnaire critique de biographie et d'histoire ". Paris : Plon, 1867, p. 1223

Note(s) : « Marguerite Chesneau, jeune demoiselle, épousa Henri de Valois âgé de 62 ans, dont elle eut sept enfants : quatre filles qui moururent avant leur père, et les trois fils qui lui survécurent... »
Source : M. l'Abbé Jean-Baptiste Ladvocat, " Dictionnaire historique et bibliographique ". Nouvelle édition. Etienne Ledoux, Paris, 1822, t. V, p. 198.

« Marguerite Chesneau, vve d'Henry de Valois historiographe de France, porte d'azur à un chevron d'or acompagné de trois trèfles de même. » (t. II, p. 611).
Source : Armorial de Paris (Ms. Bibl. Imp.) ; in Auguste Jal, " Dictionnaire critique de biographie et d'histoire ". Paris : Plon, 1867, p. 1224.

Note(s) : Source : AN, MC/ET/LXXXVII/1011 - Acte du 07/02/1752, par devant Thomas Duval notaire au Châtelet de Paris. _ Procuration par M. A. Gillot, veuve de Charles de Valois Delamare, etc., -- à Charles de Valois, avec une confirmation du 4 novembre 1756.
Origine de l'information : Actes signalés par Thierry Boudignon, 2003-2012 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan díorientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
NB : Charles de Valois de La Mare n'ayant pas eu de postérité, ses héritiers furent ses cousins Adrien et Charles de Valois, frères (fils de Charles de Valois et de M. A. Gillot).

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Reçu avocat en 1696; Historien numismate; Ecuyer; Conseiller et antiquaire ordinaire du roi; Membre de l'Académie des Inscriptions & Belles-Lettres (entrée en qualité d'élève en 1705, associé en 1714, pensionnaire en 1722)
Note(s) : Pour les titre(s) et/ou qualité(s).
Source : Ouvrage rédigé par une société de gens de Lettres, de savants et d'artistes, " Encyclopédie méthodique, ou par ordre de matières ". H. Agasse, Paris, An XII - 1804, t. VI, p. 556.

« ...il épousa, à l'âge de soixante-quinze ans, une amie de sa première femme, et survécut peu à cet événement. Il mourut à Paris, le 27 août 1747, sans laisser de postérité. »
Source : Ouvrage rédigé par une société de gens de Lettres et de savants, " Biographie universelle, ancienne et moderne, ou etc. ". Paris : L.-G. Michaud, 1827, t. XLVII, p. 403.
NB : Le quantième du jour de son décès est ici le 27, alors qu'il est le 29 d'après un placard de décès mentionné en référence dans un acte notarié.
Source : AN, MC/ET/LXXXVII/1003 - Acte du 01/01/1751, par devant Thomas Duval notaire au Châtelet de Paris. _ Quittance d'Adrien de Valois, écuyer conseiller du roi, trésorier de france à Rouen, hoir de Charles de Valois Delamarre, son cousin décédé le 29 août 1747 (voir placard de décès n° 43), antiquaire et pensionnaire de l'académie des inscriptions et belles lettres, demeurant rue des Ménétriers, -- à Charles de Valois, son fils.
Origine de l'information : Actes signalés par Thierry Boudignon, 2003-2012 (base de données migrée : voir contexte dans le Plan díorientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).

Le décès de Charles de Valois de La Mare est bien confirmé être survenu le 29 août 1747 à Paris [paroisse Saint Louis-en-l'Ile] comme il appert dans un journal historique daté d'Octobre 1747.
« [Août 1747] Messire Charles de Valois de la Marre, Ecuyer, Conseiller, Antiquaire du Roi, pensionnaire de l'Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, mourut à Paris le 29, âgé de 74 ans. »
Source : C. Jordan, L.-Fr.-Jph de La Barre, Ch.-Ph. de Monthenault d'Egly, " Suite de La Clef ou Journal historique sur les matières du tems (sic) ". Paris : chez la Veuve Ganeau, M. DCC. XLVII. (1747), t. LXII, p. 319.
NB : Le titre de la page 319 est : « Matières du temps. Oct. 1747. », c.-à-d. le Journal ainsi nommé datant du mois d'octobre 1747, ce qui peut prêter à confusion. Cf. Article VII, p. 317, intitulé : « Contenant les Naissances & Morts des Personnes illustres depuis le dernier journal » où mis à part en début de liste, un accouchement en date du 6 septembre 1747, suivent les décès commençant le 2 juillet 1747 et finissant le 29 août 1747 avec le décès de Charles de Valois, p. 319.

Signait : De Valois.
<< VERSELIN Jacques), peintre. « le jeudy 2e juin 1718, Jacques Verselin, de l'Académie roiale de peinture et de sculpture, âgé de 72 ans, décédé hier, rue Fepaut, après la messe dite a son intention, avec l'assistance de Mr le vicaire soussigné et des prêtres du choeur, a été inhumé au cimetière, en présence de Charles de Valois, conseiller du Roy, antiquaire du cabinet de S. M., et de Girard Heusch, bourgeois de Paris, amis, qui ont signé... De Valois, G. Heusch. (St Paul) >>
Source : Société de l'histoire de l'Art français, " Actes d'état-civil d'artistes français, peintres, graveurs, architectes, etc., extraits des registres de l'Hôtel-de-Ville de Paris ". Paris : J. Baur, Orléans : H. Herluison, 1873, p. 449.

Rue Saint-Louis-en-l'Ile à Paris.
« Au n° 52 : Hôtel de 1635. En 1705, il fut légué à líHôtel-Dieu. Il a été habité par Charles de Valois de la Mare, un érudit ainsi quíun littérateur du XVIIIe siècle. Il devait mourir ici en 1747, léguant une importante collection de médailles û on parle de 6 000 pièces -.
Source Internet : http://ecrits-vains.com/ballades/balade13/balade13.htm

 

Note(s) : Un fille morte en bas-âge.
Source : M. l'Abbé Jean-Baptiste Ladvocat, " Dictionnaire historique-portatif, contenant l'histoire des patriarches, des princes, etc. ". Nouvelle édition. Paris ; Didot, M DCC LV (1755), t. II, p. 626.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
Profession(s) : Maître tailleur d'habits

 

Note(s) : Occurrences : Forniquet (acte paroissial) Fournicquet, anc. graphie
b03/10/1612 Chauvry (95) : Anne Bonnemain, fa Estienne Bonnemain et Estiennette Moreau
p/m : Eustache Hervé filz de Jehan Hervé, Anne Forniquet (sic) fille de Mr Fourniquet procureur en Parlement

Le décès de Anne Fourniquet est survenu après le 19 juillet 1649, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AN, MC/ET/LVIII/91 - Acte du 19/07/1649, par devant Claude Dauvergne notaire au Châtelet de Paris. _ Constitution de rente : fut présent en sa personne noble homme Me Jean Milien, avocat en la Cour de Parlement à Paris, en son nom et comme procureur de dame Anne Fourniquet, veuve de défunt Me Jean Millien vivant procureur en ladite Cour, ses père et mère, demeurant ensemble rue Bourg Labbé, paroisse St Leu St Gilles, etc., -- à dame Jeanne Tassin veuve de défunt Me Masclou Meuretousjours vivant bourgeois de Paris et receveur pour le Roi au bureau des Aides à Paris, y demeurant, rue des Barres, paroisse Saint Gervais, à ce présente et acceptante, « acquereure » pour elle, ses hoirs et ayants cause à l'avenir, quatre vingt quatorze livres dix sols six deniers tournois de rente annuelle et perpétuelle, à la raison du denier dix huit, etc.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Praticien au Palais en 1614; Procureur en la Cour de Parlement de Paris
Note(s) : Millien / Milien, les deux graphies sont aléatoires...
b16/03/1619 Chauvry (95) : Jehan Jacquin, fs Nicolas Jacquin et Chairlotte Viron
p/m : Me Jehan Millien procureur en parlement & Me Pierre Fourniquet praticien au pallais, Jehanne Tiphaine femme de Henry Relier
b11/11/1621 Chauvry (95) : Pierre Jacquin, fs Nicolas Jacquin et Chairlotte Viron
p/m : Me Jehan Millien procureur en parlement à Paris, Chairlotte Bonneau

Le décès de Jehan Millien est survenu entre le 25 décembre 1628 et 24 juin 1634, comme il appert de deux actes paroissiaux.
b25/12/1628 Chauvry (95) : Marye Paiot, fa Guillaume Paiot et Jehanne Cornu
p/m : Me Jehan Millien procureur en Parlement, Chairlotte (sic) Drouart
b24/06/1634 Chauvry (95) : Marye Dinot, fa Denys Dinot et Denise Goret
p/m : Jehan Millien filz de deffunt Jehan Millien procureur en Parlement, Marye Alexandre fille de Marin

Autre relation.
Source : AN, MC/ET/VIII/631 - Acte du 27/06/1630, par devant Fiacre Jutet notaire au Châtelet de Paris. _ Obligation de Jean Millien procureur en la Cour de Parlement, envers Jean Barberet maître horloger, demeurant à Paris rue de la Vieille draperie, de la somme de 2000 livres en prêt.

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024