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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat du Roi à Orléans
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Fatouville; Capitaine de 50 chevau-légers
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Dame de Berneuil en Soissonnais
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Occurrences : Rogière et Rogère la Cafine dans le même acte...
Selon toute apparence, Rogière / Rogère Caffin était une soeur de Phlipot Caffin. Au Moyen-äge les femmes reçoivent un nom dérivé de celui de leur mari ou plus rarement d'un autre membre de la fzmille (père ou frère) au moyen d'une désinence féminine. De ce fait on l'appelait la Caf(f)ine) parce que son père s'appelait Caffin ou bien parce que son frère s'appelait Phlipot Caf(f)in (cf. infra).
Source : AD 95, 9 H 54 (1) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse n° 6, Cote 33 ; Intitulé « herouville - Separation du dixmage d'Auvers et dherouville - 6 . Aoust 1487 Cotte 33 ».
Extrait : « Le lundy VIe jour daoust mil IIII cc IIII XX et sept fut apoinctement fait entre pierre cornet et Rogiere la cafine dune part dismeurs de herouville et jehan lolivet ou non de lorin lolivet son pere tenant la disme dauvers pour le depart des terrouers dont il estoit question entre lesdictes parties tant du terrouer dauvers et dismage comme de celuy de herouville ». Extrait in fine : « fait cedict jour par lesdictes parties en la presence de Robin vitecoq pierre bertin jehan divettot collinet vitecoq bernard pousset phlipot cafin nicholas gromont jehan chamot jehan barrier et jehan berné sans préiudice desdictes parties & durant leursdictz temps et sur lez paines qui Rompra ladpoinctement de perde X / livres / tournois au proufit de celuy qui sera injurasse et a la Requeste desdictes parties et en la presence des dessus nommés ainssy signé jehan berné et Robin vitecoq ».
NB : Pour des raisons pratiques les décimateurs préféraient affermer la dîme à des dîmeurs qui leur payaient une somme annuelle forfaitaire. Les dîmeurs étaient généralement les fermiers des terres d'Hérouville.
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Note(s) : En 1487, Pierre Cornet et Rogière Caffin [sa femme] étaient dîmeurs d'Hérouville, c'est-à-dire préposés au prélèvement de la dîme ecclésiastique, notamment pour la moitié des grosses dîmes d'Hérouville appartenant aux Religieux de l'abbaye de Saint-Martin de Pontoise.
Source : AD 95, 9 H 54 (1) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse n° 6, Cote 33 ; intitulé « herouville _ Separation du dixmage d'Auvers et dherouville _ 6 . Aoust 1487 Cotte 33 ».
Extrait : « Le lundy VIe jour daoust mil IIIIcc IIII XX et sept fut apoinctement fait entre pierre cornet et Rogiere la cafine dune part dismeurs de herouville et jehan lolivet ou non de lorin lolivet son pere tenant la disme dauvers pour le depart des terrouers dont il estoit question entre lesdictes parties tant dudict cours dauvers et dismage comme de celuy de herouville ».
NB : En 1388, « apoinctement (appointement) » dérivé de « apoincter (appointer) » avec le suffixe -ment, apparaît avec le sens de « règlement d'une affaire ».
01/05/1475 : bail de la moitié des grosses dîmes pour 6 ans à Pierre Cornet laboureur demeurant à Hérouville (son père Phlippot Cornet est pleige et caution).
15/01/1482 : bail des grosses dîmes et des 2 parts des menues dîmes pour 4 ans à Pierre Cornet laboureur demeurant à Hérouville.
02/02/1485 : bail des grosses dîmes et des 2 parts des menues dîmes pour 6 ans à Pierre Cornet laboureur demeurant à Hérouville.
Source : AD 95, 9 H 53 (1) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse II, Cote 25 - Baux de la moitié des grosses dîmes, 1427-1778.
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Note(s) : En 1475, Phlippot Cornet est pleige et caution de son fils, Pierre Cornet, laboureur, preneur à bail pour 6 ans de la moitié des grosses dîmes d'Hérouville.
Source : AD 95, 9 H 53 (1) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse II, Cote 25 - Baux de la moitié des grosses dîmes, 1427-1778.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Prêtre curé de Hérouville
Note(s) : Nicole, forme anc. de Nicolas
En 1499, Maistre Nicole Caffin, « prebstre », est déclarant à Auvers en tant que propriétaire foncier censitaire de l'abbaye de Saint-Denis.
Source : AN, S 2675, fo II CC XXX V v° (sic) - Terrier d'Auvers (Recueil intitulé " Déclaration et papiers des maisons, masures, jardins, prés, terres et autres héritages tenus et mouvants de l'abbaye de Saint-Denis à Auvers ").
NB : Suivent juste après lui Gervais Caffin, laboureur (fol. II CC XXX VI), et Pierre Caffin, aussi laboureur (fol. II CC XXX VI v°), ce qui laisse supposer qu'ils sont frères...
En 1502, il met en procès les religieux de l'abbaye de Saint-Martin par devant le grand vicaire de Pontoise, au sujet d'une inféodation touchant les grosses dîmes d'Hérouville. Cette procédure inhabituelle va déclencher tout un arsenal de procédures, en commençant par « certaines lettres royaux » du roi Louis XII.
En 1503, ce sont lesdits religieux qui le mettent en procès par devant le prévôt en garde de Pontoise, formant ce que l'on appelait alors « une complainte en cas ou matière de nouvelleté », à propos de la dîme du vin qu'il a recueilli et perçu sur une pièce de terre contenant un arpent ou environ, sise à Hérouville, par l'intermédiaire de Jehan Barrier laboureur demeurant à Hérouville, duquel il se portera garant. Bis repetita quant aux procédures : requête, commission, assignation à comparaître.
Source : AD 95, 9 H 54 (3) / Abbaye de Saint-Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse n° 4 , Cote 31.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Prêtre curé d'Hérouville
Note(s) : Souce : AD 95, 2 E 11/1 - Acte du 01/05/1539, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise._ Marché passé entre les marguilliers et habitants d'Hérouville et Alexandre Le Maistre, maître fondeur de cloches demeurant à Pontoise, pour la fabrication de trois cloches pour l'église Saint-Clair d'Hérouville ; fait en présence de maître Loys Cornet et messire Georges Legros, et autres...
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