Note(s) : Occurrence : Valare (acte de son baptême)

 

Note(s) : Occurrence : Valke (acte de son baptême)

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Prêtre, chanoine de l'église royale et collégiale de Saint-Melon de Pontoise

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur de La Tour
Note(s) : « 1211. [...] C. rendu par Jean Cossart, écuyer, seigneur de La Tour, donataire de Charles François Cossart, prêtre, chanoine de l'église royale et collégiale de Saint-Melon de Pontoise, son frère, le 4 mai 1685 devant Pasquier et Rallu notaires au Châtelet. P 20 1, no 298. »
Source : Jean Pierre Babelon Albert Mirot, Jeanne Vielliard , " Nouveaux hommages rendus à la chambre de France, Chambre des comptes de Paris, série p, XVIIe-XVIIIe siècles : inventaire analytique ". Paris : Archives nationales, 1988, p. 155.

 

 

Note(s) : Début 1538, Guillemette Lefebvre est attestée par un acte notarié, être veuve depuis deux ans.
Source : AD 95, 2 E 10/1 - Acte du 18/01/1538, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Guillemette Lefebvre veuve de feu Ambroise Caffin, dame de soi demeurant à Hérouville, que des certains temps à icelui Caffin et Charles Caffin son cousin « prindoient ensemblement » et l'un seul pour le tout sans division pour certaines charges qui ne sont encore échues, à titre de ferme de (sic) et de moisson de grain, -- de noble homme messire Anthoyne de Cugnac, chevalier, seigneur de Damp pierre (sic, pour Dampierre), Nesle et de Hérouville, les champarts dudit Hérouville moyennant la quantité de huit muids de blé et deux muids d'avoine, le tout mesure de Ponthoise et rendu audit lieu ou au village dudit Nesle, que lesdits Caffins et chacun d'eux pour le tout et sans division, auraient promis payer et livrer, se seraient obligés envers ledit de Cugnac, ainsi qu'ils disent appartenir par les lettres passés sous le scel du Châtelet de Paris, que depuis deux ans ledit défunt Ambroise Caffin serait décédé et aurait délaissé ladite Le Febvre sa veuve qui se serait saisie de la moitié desdits champarts et d'iceux en aurait joui ainsi qu'elle fait encore de présent sans toutefois avoir audit Charles Caffin passé obligation de l'acquitter de la moitié de ladite ferme, et à cette cause voulant par elle user de bonne foi vers ledit Charles, reconnaît et confesse, et par ces présentes promet de bonne foi audit Charles Caffin à ce présent et ce acceptant, pour lui, ses hoirs, l'acquitter et faire tenir quitte par chacun an le jour Saint Martin d'hiver, envers ledit de Cugnac, ses hoirs et ayants cause, de la moitié de ladite quantité de huit muids de blé et deux muids avoine, etc. ; et à ce faire comparu en sa personne Michel Chamot laboureur demeurant audit lieu de Hérouville, lequel s'est obligé avec ladite veuve et icelle veuve avec lui, et ont promis l'un seul pour le tout et « sans division ny ordre de discution » fournir aux paiements et choses dessus contenus envers ledit Charles Caffin, et ladite veuve en a promis dédommager icelui Chamot et de toutes parts /) dont /) promettant /) obligeant biens /) renonçant

 

Note(s) : Jehan Caffin connut une fin précoce. Neveu de Denis, Nicolas, Claude et Guillaume Caffin, lequel Guillaume fut son tuteur et curateur ; son aïeul était Loys Caffin comme l'atteste un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/4 - Acte du 14/08/1543, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Denis Caffin le jeune, Nicolas Caffin et Claude Caffin demeurant à Hérouville, frères héritiers avec Guillaume Caffin demeurant à Fontenelles, de feu Jehan Caffin leur neveu, « lesquelz disoient que en faisant partaiges entre eulx des heritaiges rentes et biens immeubles demourés apres le trespas dudit deffunct , ledit guillaume caffin nagueres tuteur et curateur dicelluy deffunct leur auroit , et a chacun deulx , promis bailler et delivrer les lectres , tiltres et enseignemens quil avoit vers luy , faisant mencion desditz heritaiges rentes et biens immeubles ; que depuys ils len avoient requis ; neantmoings il en auroit esté reffuzant , a raison de quoy le vouloient contraindre ; pour a ce faire et quoy obvier ledit guillaume caffin , a ce present , voullant user de bonne foy & en entretenant sa promesse , a , presens les notaires , baillé & delivré , savoir est audit denis sept lectres faisant mencion lune de trois quartiers de terre acquis de pierre denise , la seconde de vingtz solz tournois de rente sur jehan de lespine , la IIIe de vingt solz tournois de rente sur thomas le febvre , les IIIIe et cinquiesme de XX solz tournois de rente sur charlot de la porte , la sixiesme de XVI solz parisis de rente sur martin bourayne , et la septiesme de XXIIII solz parisis sur la vefve jehan jost de nesle ; desquelz XXIIII solz parisis de rente en appartient la moictié audit denis comme heritier de deffunct louys caffin son pere & ayeul dudict feu jehan caffin , et lautre moictié appartient audit claude comme heritier dudit jehan caffin ; audit nicolas cinq lectres faisant mencion la premiere et IIe de quatre lives tournois de rente sur jehan barnay le jeune , la IIIe de XXVIII perches de terre acquises de jehan calpond , la IIIIe de demy arpent de pré acquis de jehan caffin et jehan du larris dont en appartient audit nicollas les deux pars , la cinquiesme et derniere de demy quartier de pré acquis de pierre le boucher ; et audit claude trois lectres faisant mention la premiere de quarante solz tournois de rente sur alexandre de triannon et sa femme , la deuxiesme de dix solz parisis de rente sur jehan le maistre , et la IIIe de neuf solz parisis de rente sur mahiet cocquerel ; a la charge et par condition expresse que la ou ledit guillaume caffin seroit par cy apres poursuivy ou inquietté par aucunes personnes pretendans estre heritiers dudit deffunct jehan caffin pour raison desdites lectres ; en ce cas lesditz denis , nicolas et claude caffin seront tenus et ont promys audit guillaume de luy remectre en ses mains toutes lesdites lettres , ensemble les heritaiges et biens immeubles qui leur sont escheuz par lesditz partaiges , pour estre delivrez a quil appartiendra ou lacquiter , garandir et desdommager chacun pour sa portion , de laction et proces que len pouroict contre luy intempter a raison de ce , et de toutes pertes , despens , dommaiges et interestz & dont & si comme & obligeant biens & renonceant & »

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/15 - Acte du 21/04/1552, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente par Nicolas Leschauguette dit Chouquet, laboureur, et Andrée Caffin sa femme, de lui autorisée, -- à honorable homme sire Anthoine Boismard marchand et bourgeois de Ponthoise, présent, acheteur ; c'est à savoir « six vingtz quatorze (= 120 + 14, soit 134) » perches de terre situées au terroir d'Auvers au lieu-dit " la fosse au marcguiers ", tenant d'un côté et d'un bout aux Religieux Saint Vincent de Senlis, d'autre côté à Pierre Leschauguette et d'autre bout aux Religieux de Saint Denis, mouvant du fief de Poully + (en marge) \ appartenant à Vincent Bardou demeurant à Ponthoise / à la charge de 16 deniers parisis de cens pour arpent par chacun an au jour Saint Rémy ; Item une pièce de terre contenant arpent et demi quinze perches, située au terroir dudit Auvers au lieu-dit " le fons de la meulliere ", tenant d'un côté aux hoirs Jehan Faulterel, d'autre côté à Jehan Triboullet, d'un bout à Olivier Bignon et d'autre bout à Pierre Leschauguette le jeune, mouvant des Religieux, abbé et couvent de Saint Denis en France, à la charge et au prix de 4 deniers parisis de cens pour arpent payables par chacun an aux octaves Saint Denis, Item une autre pièce de terre située audit terroir au lieu-dit " chapponval ", tenant d'un côté Guillaume Hauvis, d'autre côté Jacques Garnier, d'un bout à Françoys Chantepie et d'autre bout au chemin menant à L'Isle Adam, mouvant desdits de Saint Denis à la charge de 4 deniers parisis de cens pour l'arpent chacun an au jour des octaves Saint Denis ; Item deux arpents et demi cinq perches de terre, situés audit terroir d'Auvers au lieu-dit " la fontaine des prosees ", tenant d'un côté à Nicolas Fanoullet, d'autre côté Jehan Videcoq à cause de sa femme, d'un bout Jehan Boucher et d'autre bout à Jehanne Garnyer, mouvant desdits sieurs de Saint Denis audit prix de 4 deniers parisis de cens pour arpent, pour toutes charges ; auxdits vendeurs appartenant, à savoir les deux premières et dernière pièces en propre dudit Leschauguette, et la pièce tierce dernière de leur acquêt comme ils disent, pour en jouir ; cette vente faite auxdites charges et outre moyennant la somme de 223 livres tournois pour le principal, et 30 sols tournois au vin du marché, etc.

 

Note(s) : Perrette Benoiste et son mari, Nicolas Muterne, ont eu des démêlès avec Olivier Benoiste, frère et beau-frère, à cause d'un différent à propos d'une vente, faite quand elle était encore mineure, mais toutefois mariée.
Source : AD 95, 2 E 11/7 - Acte du 06/11/1546, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Traités, accords, chevissance, appointement et transaction faits entre Olivier Benoiste laboureur demeurant à Hérouville d'une part, et Nicolas Muterne marchand demeurant à Pontoise, et Perrette Benoiste sa femme de lui autorisée d'autre part, affirmant lesdites parties, même lesdits mariés, que dès le vingt troisième de décembre mil cinq cent trente et un, iceux mariés, ladite femme autorisée de son mari, avaient vendu et promis garantir de tous troubles audit Olivier Benoiste, la IIIIe partie, les quatre faisant le tout d'une maison, cour, grange, étable, jardin et lieu ainsi qu'il se comporte séant à Hérouville en la rue Denisot Berrier ; Item pareil droit et portion que dessus d'un jardin à arbres assis audit Hérouville au lieu-dit " douton ", Item et tout et tel droit et portion qui aux dits mariés - à cause de ladite femme - appartenait en un autre jardin à arbres assis audit Hérouville au lieu-dit " la boutillière ", au long déclarés et ainsi qu'il appert par les lettres de ce faites, datées des an et jour dessus, signées Oger et Le Vasseur ; que depuis ladite Perrette Benoiste aurait pour cuider, rescinder, casser et annuler icelle « vendition », obtenu lettres royaux qui lui aurait été octroyées sous ce qu'elle aurait donné à entendre que lors d'icelle « vendition », elle était mineure et au-dessous de l'âge de vingt cinq ans, et pour les voir entérinés fait ajourner ledit Benoiste par devant monsieur le bailli de Senlis ou son lieutenant à Pontoise ; par devant lequel aurait été procédé par « aucunes assignations », tellement que ledit Benoiste aurait requis délai de sommer, suivant lequel il aurait fait appeler ledit Muterne, auquel il aurait, comme étant lors de ladite « vendition » âgé, fait sommation et requête formelle qu'il eut à faire cesser ladite action et procès contre lui intentée par ladite Benoiste sa femme, pour rescinder ladite « vendition », et à faute de ce faire, lui payer toutes pertes ; à l'encontre de laquelle sommation et requête ledit Muterne aurait insisté et dit qu'il n'en était tenu pour plusieurs raisons par lui alléguées audit procès auquel aurait été tellement procédé, que par sentence dudit bailli de Senlis ou son lieutenant audit Pontoise, ledit Muterne aurait été condamné à ce faire et ès dépens ; et finalement pour mettre fin aux dits procès et éviter à frais et dépens, icelles parties par l'avis et délibération de leur conseil, parents et amis, si comme ils disent, reconnurent et confessèrent avoir - desdits procès et différends - fait et par ces présentes font entre eux les traités, accords, chevissance, appointement et transaction qui ensuivent ; c'est à savoir que lesdits Muterne et sa dite femme de lui autorisée quant à ce, se sont désistés et départis, désistent et départent des lettres royaux ainsi par icelle femme obtenus pour rescinder et annuler ladite « vendition » remontant à l'effet et entérinement d'icelles et « entretenement en tant que mestier est ou serait » ; ont iceux mariés, l'une grée, ratifier, approuvé et ont pour agréable icelle « vendition », voulant et consentant que icelle « vendition » vaille, tienne et sortisse son plein et entier effet, vertu et valeur à toujours au profit dudit Olivier Benoiste, tout ainsi et en la forme et manière comme si, lors d'icelle « vendition », ladite femme eut été âgée ; et à ces fins lui ont cédé et transporté toutes les actions et poursuites qu'ils avaient et pourraient avoir à raison de ce, en le mettant et subrogeant du tout en leur lieu ; et moyennant ces choses ledit Benoiste a quitté et quitte absolument à toujours lesdits mariés de tous les frais, mises, journées et vacations et dépens par lui obtenus et qu'il pourrait obtenir à l'encontre d'eux « esdits » procès et à raison d'iceux, au reste toutefois de 20 livres tournois que ledit Muterne lui a payé ainsi qu'il est porté par quittance que ledit Benoiste lui en a baillé, qui demeurent audit Benoiste ; et partant lesdites parties demeurent hors et d'accord desdits procès et différends, et sans dépens d'une part et d'autre & promettant & obligeant biens & renonçant

Profession(s) : Marchand
Note(s) : En 1546, Nicolas Muterne était marchand demeurant à Pontoise.
Source : AD 95, 2 E 11/7 - Acte du 06/11/1546, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise.

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024