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Note(s) : Déclare ne savoir écrire ni signer à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 10/143 - Acte du 11/03/1673, par devant Bernard Fredin (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par les héritiers de Jean Caffin et de Louise Benoiste, -- à Pierre Robert marchand « plasrier » demeurant à Ruz (auj. Epiais-Rhus), d'un quartier de pré ou environ, une perche plus ou moins, sis au terroir de Vallangoujard lieu-dit " Les Vallées ".
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Note(s) : En 1673, François Caffin "l'aisné" était Laboureur demeurant à Conflans-Sainte-Honorine.
Source : AD 95, 2 E 10/143 - Acte du 11/03/1673, par devant Bernard Fredin (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par les héritiers de Jean Caffin et de Louise Benoiste, -- à Pierre Robert marchand « plasrier » demeurant à Ruz (auj. Epiais-Rhus), d'un quartier de pré ou environ, une perche plus ou moins, sis au terroir de Vallangoujard lieu-dit " Les Vallées ".
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Profession(s) : Compagnon serrurier
Note(s) : En 1673, Denis Caffin était compagnon serrurier demeurant à Paris, rue Richelieu, paroisse St Eustache.
Source : AD 95, 2 E 10/143 - Acte du 11/03/1673, par devant Bernard Fredin (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par les héritiers de Jean Caffin et de Louise Benoiste, -- à Pierre Robert marchand « plasrier » demeurant à Ruz (auj. Epiais-Rhus), d'un quartier de pré ou environ, une perche plus ou moins, sis au terroir de Vallangoujard lieu-dit " Les Vallées ".
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Note(s) : En 1673, Jean Caffin demeurait à Boissy paroisse de Taverny.
Source : AD 95, 2 E 10/143 - Acte du 11/03/1673, par devant Bernard Fredin (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par les héritiers de Jean Caffin et de Louise Benoiste, -- à Pierre Robert marchand « plasrier » demeurant à Ruz (auj. Epiais-Rhus), d'un quartier de pré ou environ, une perche plus ou moins, sis au terroir de Vallangoujard lieu-dit " Les Vallées ".
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Gouverneur de Pontoise de 1556 à 1559
Profession(s) : Marchand
Note(s) : Le Tavernier / Tavernier, les deux formes alternent selon les documents...
21/03/1536, Pierre Le Tavernier est cité comme voisin par derrière d'une maison à L'Aumône appartenant à Guillaume Thomyn.
NB : La maison de Gillaume Thomyn touchait l'Ecu de France, hôtel appartenant à Guillaume Langlois, et situé rue de la Haute Aumône, en dessous de la rue de Maubuisson.
Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z148, p. 199).
04/01/1538, Pardevant Ledru, notaire à Pontoise, Pierre Tavernier le jeune, Pierre Seigneur l'aisné et Jean Ler se portent fort pour Jean Desnoyers et Antoine Roche, qui doivent 30 sols parisis de rente à Jean de Soulfour pour une maison rue de la Pierre aux poissons ( XXXVI 20617).
Source : AD 95, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z48, Vol. 27, Rallonge Dictionnaire, p. 14738).
1555, Pierre Tavernier, marchand, déclare une maison à Pontoise rue Forêt d'Hardelot (Censives de St Mellon, 4). La même année, il est tuteur (maternel) des enfants mineurs de Denise Le Tavernier et de Jean Chérouise, lequel est encore vivant et déclare une maison rue de la Pierre aux poissons (Censives de St Mellon, 36).
1556, Pierre Tavernier est cité gouverneur gouverneur dans un document daté du 18/02/1556 :
No 9 .... sentence des élus signifiée à la requête de François Deslions par Moreau (notaire à Pontoise) à Jehan Darthois, Pierre Tavernier gouverneurs, Jehan Maistre procureur, le 21 février 1556 ; la sentence est du 18 février 1556.
Source : AD 95, Fonds Tavet 37Z371 : procès des tailles de François Deslions (document provenant des AMP, FF 3,4 et 5).
1578, Pierre Tavernier l'aisné déclare la même maison (Censives St Mellon, 147 - Plan maisons 375).
Source : AD 95, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z43, Vol. 22, Lettre L, p. 12020).
En janvier 1558, par le commandement des gouverneurs de Pontoise, Jehan Marchand argentier de la ville, fait un voyage en la ville de Paris, avec Pierre Le Tavernier l'un des deux gouverneurs, afin de recouvrer du greffe du bailliage de Pallaulx (sic), une sentence donnée entre lesdits gouverneurs et Charles Jubert, et aussi pour recouvrer les procédures faites et les commissaires des farines ; ils ont "vacqué par troys jours et de cheval".
Source : AD 95, AMP, CC 4 no 2 (ex CC 1 no 2 noté sur le document ) / Intitulé : Compte des deniers communaux rendu par Jean Marchand pour les années 1557 et 1558..
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Sire, noble homme ou encore honnête personne, honorable homme; Sergent royal en 1503; Gouverneur de Pontoise de 1507 à 1509; Bourgeois de Pontoise; Receveur et argentier des deniers communs de la ville de Pontoise de janvier 1519 au 01/10/1522
Profession(s) : Marchand boucher
Note(s) : Acte du 07/06/1497 : Jehan Cossart bourgeois de Pontoise, garde des sceaux de la ville et châtellenie dudit lieu, et Nicolas Cossart clerc tabellion juré, commis et établi en ladite ville et châtellenie. Pardevant eux Nicolas Landrin marchant demeurant à Erangny près Pontoise, confesse qu'il est détenteur d'une maison, cour, jardin et lieu sis à Erangny, laquelle maison est redevable envers maître Pierre Métayer et Ragonde sa femme, de 42 sols parisis de rente annuelle et perpétuelle, payables aux termes accoutumés, etc. ; Arch. municip. de Pontoise, Série 11, Liasse 6.
Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-série 27Z - Fonds Mallet, 27Z4 / Analyse manuscrite de l'acte du 07/06/1497.
Autre analyse bien plus succinte. Source : AD 95, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z49, Vol. 36, p. 20567).
05/05/1499, Nicolas Landrin est qualifié " layné " sur une pierre qui rappelle la dédicace de l'église de St Ouen en ce jour-là (Mém. Soc. du Vexin, t. IV, p. XI).
Source : AD 95, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z43, Vol. 22, Lettre L, p. 12094)
1506, Nicolas Landrin est qualifié " laisné " à Pontoise.
Décès avant le 11 mars 1527.
Source : AD 95, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z65, Vol. 48, Rallonge au Dictionnaire, p. 27773).
Dans la 3e année de son règne, François Ier, / qui aimait mieux faire encaisser pour lui-même que / pour l'entretien des fortifications des murailles des / villes murées, avait saisi l'occasion d'abus qui se / commettaient à peu près partout dans l'emploi des fonds, / détournés en partie pour des besoins municipaux, pour réduire / de moitié toutes les parts attribuées aux villes fortifiées / sur les ventes de leurs greniers à sel. / Au lieu de 20 deniers par minot (100 livres) ou 4 livres / par muid, la ville de Pontoise ne touchait plus que 2 livres. / Une recette d'environ 600 livres se réduisait à 300. En 1517, / année de cette réforme, on avait pour argentier Claude / Guibert ; pas d'inconvénient ; on élut ensuite Nicolas Landrin, / un enrichi d'un commerce de boucherie, d'hôtellerie et / de placements sur des entreprises de maçonnerie, qu'il fai- / sait exécuter par de petits maçons . Pour successeur, / on lui donna Jean Deslyons, etc... [NB : / = saut de ligne in texte original]
Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-série 31 Z - Fonds Lefèvre. 31Z52 / Quelques familles pontoisiennes (d'après Jules Chennevière).
NB : Jules Chennevière commet une erreur en le qualifiant d'hôtelier, car à l'époque " l'hostel " d'un personnage était une maison bourgeoise, et non un établissement recevant du public. Le fait que Nicolas Landrin avait logé des personnages de marque, ne faisait pas pour autant de lui un hôtelier au sens commercial ; d'ailleurs il n'est jamais question du nom de son hôtel dans les documents d'archives, et pour cause... aucun acte ne le qualifie " hostellier " comme ils disoient alors !
A noter aussi que Nicolas Landrin était appelé "Sire", ce qui se faisait par honneur envers un marchand et bourgeois éminent.
"...Ci-dessus, pag. 68 dans la Remarque sur la page 13. l. 25. on voit déja que les principaux Bourgeois de la Faction des Seize étoient appellés Sires ; ce qui comme il paroît , se faisoit par honneur, & je croi , comme la plûpart de ces Sires étoient des Marchands , pour les égaler à ces anciens Marchands appellés Syri, parce que c'étoient des Syriens qui faisoient le plus considérable trafic de tout l'Occident."
Source : Pierre Leroy (chanoine de Rouen), " Remarques sur la Satyre Ménippée, de la vertu du Catholicon d'Espagne, et de la tenue des états de Paris ". Dernière édition. Héritiers Mathias Kerner, Rastisbonne, M. DCC. LII., t. II, p. 74.
"...Sires et sieurs constituent donc une strate supérieure aux simples marchands et maîtres-artisans, fussent-ils célèbres comme l'émailleur Léonard Limosin, mais inférieure aux principaux officiers.".
Source : Association des historiens modernistes des Universités, " La dynamique sociale dans l'Europe du Nord-Ouest (XVIe - XVIIe siècles) ". P.U.P.S., Paris, 1987. Bulletin no 12, p. 75.
Par une sentence judiciaire, on apprend qu'il avait été élu tuteur des enfants mineurs de Mathieu Landrin, son neveu. Ce document n'atteste pas forcément que son décès soit survenu après le 18 mars 1527 au lieu d'avant le 13 mars 1527 (cf. supra). En effet, s'agissant d'une sentence, elle le concerne certes, mais elle peut avoir été rendue ne sachant pas qu'il était mort depuis peu !
« Item une sentence donnee au siege de la prevosté mairye de Ponthoise le XVIIIe mars mil Vc vingt sept signé P. Levasseur au proffict de Me Jacques Cossart admynystrateur contre Pierre Trotin en son nom et Nicolas Landrin tuteur des enfans Mathieu Landrin pour raison de dix huict deniers parisis de rente sur ung jardin siz rue de Champ Mesnil »
Source : Ernest Mallet, " Registre des délibérations municipales de la ville de Pontoise (1655-1673) ". Pontoise : Bureaux de la Société historique, 1916, 3ème fascicule (Règne de Louis XIV), in Intitulé « Inventaire des tiltres et enseignements concernans les biens et revenuz apartenans au colege semynaire de la ville de ponthoise auquel est anexe le bien et revenu temporel de la maladerye Sainct Lazare dudict ponthoise comme le contiennent les letres patentes du roy nostre sire, desquelles la teneur ensuyt », p. 255.
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