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Profession(s) : Maître orfèvre à Arles
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Profession(s) : Maître chirurgien
Note(s) : Signe " J Vaillant " avec paraphe, à un acte notarié
Source : AD 95; 2 E 22/14 - Acte du 11/7/1657, par devant Robert Ladmiral notaire et tabellion à Marines. _ Vente par René Vaillant laboureur demeurant au Rosnel paroisse de Bréançon, Pierre Vaillant aussi laboureur demeurant audit lieu, et Jean Vaillant maître chirurgien demeurant à Haravillier, frères, -- à honnête personne Claude Chéron receveur des terres et seigneuries de Génicourt, Gérocourt et Livillier, demeurant audit lieu de Génicourt, présent, acheteur ; c'est à savoir deux arpents de terre assis au terroir d'Espiais au lieu-dit " le grant chant ", chargé en seigle que les vendeurs se sont réservés à leur profit, tenant d'un côté aux héritiers et représentant Denis Maistre, d'autre côté à Me Charles Cossard de Ponthoise et autres, d'un bout à la dame duchesse de Vantadou (sic), et d'autre bout à Me Pierre Lanquier ; ce que dessus vendu tenant et mouvant de la dame duchesse de Vantadou, et vers elle chargé de tels cens, droits seigneuriaux, champarts et autres redevances que ledit héritage ci-dessus peut devoir par chacun an le jour que « deubs sont », etc. ; auxdits vendeurs appartenant de leur propre par la succession de défunte Jeanne Benoistz (sic) leur mère comme ils ont dit pour en jouir par ledit acheteur en tous fruits ; cette vente faite auxdites charges et outre moyennant le prix et somme de trente neuf livres tournois de principal achat, argent franc auxdits vendeurs, etc. ; avec vingt sols au vin du marché, etc. ; ce fut fait et passé à Marines ; présence d'honnête personne Phlippe (sic) Cousteur receveur de la terre et seigneurie de Thibivillier, et Nicolas Pinard demeurant à Marines, témoins
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Profession(s) : Marchand; Fermier et receveur de la terre et seigneurie d'Hérouville (1551)
Note(s) : Fils probable de Pierre Cornet et de Rogière Caffin,...
1551. Nicolas Cornet est l'un des deux fermiers et receveurs de la terre et seigneurie d'Hérouville.
Source : AD 95, 2 E 11/239 - Acte du 24/10/1551, par devant Gérard Ledru notaire à Pontoise. _ Paiement de charges de fermage : furent présents Jehan Bredoulle marchand demeurant à Pontoise, et Nicolas Cornet aussi marchand demeurant à Nesle, ès noms et comme fermiers et receveurs de la terre et seigneurie de Hérouville, lesquels confessent avoir eu et reçu de Denis Caffin marchand et laboureur demeurant audit Hérouville, à ce présent et ce acceptant, la quantité de huit « muys » de grain, les deux parts blé et le tiers avoine, mesure de Pontoise, et les deux parts en trois, les trois faisant le tout de quatre porcs, que ledit Caffin devait aux dits reconnaissants « esdits noms », pour raison et à cause de la ferme du domaine de ladite seigneurie de Hérouville qu'il tient de la dame dudit lieu, de deux années échues le jour Saint Martin d'hiver dernier passé cinq cent cinquante ; de laquelle quantité de grain et portion des dits porcs lesdits reconnaissants se sont tenus contents et bien payés, et en ont quitté et quittent ledit Caffin et tous autres, et ce faisant les quittances qu'ils ont baillées ci-devant audit Caffin pour raison de ce que dit est, sont demeurées et demeurent cassées et annulées moyennant ces présentes, promettant & obligeant biens & renonçant ; fait et passé le samedi XXIIIIe jour d'octobre l'an mil cinq cent cinquante et un /
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié dont le haut est détériorié au niveau de la date. Seule l'année est lisible, mais le mois est déductible d'après les actes précédents et suivants, tous faits et passés au mois de mars 1616.
Source : AD 95, 2 E 8/2 - Acte du **/03/1616, par devant Jehan de Jouy notaire et tabellion à Auvers-sur-Oise. _ Accord : furent présents en leurs personnes Charle(s) Boucher laboureur demeurant à Butry paroisse Auvers, héritier en partie de feu(e) Jehanne Périer, vivante femme de Pierre Chérouise laboureur de vigne demeurant audit Auvers ; lesquels de leurs bonnes volontés et pour terminer certain procès intenté par ledit Chérouise contre ledit Boucher pour avoir paiement des labours, fumier et semence des terres ensemencées en blé, échues audit Boucher par la mort et trépas de ladite Jehanne Périer, et encore sur ce que ledit Boucher aurait fait appeler ledit Chérouise pour avoir paiement de la somme de cent sols pour sa part et portion du reste qui lui est dû de certain écrit, montant à la somme de quarante cinq livres et encore pour avoir paiement de la somme de sept livres cinq sols quatre deniers tournois par autre écrit, et après que lesdites parties ont compté « ensemblement » de tout ce que dessus, moyennant la somme de vingt sols tournois que ledit Pierre Chérouise est demeuré redevable envers ledit Boucher ; laquelle somme il promet payer à la volonté dudit Boucher, et par le moyen du présent accord tous les écrits et accords ci-devant faits entre lesdites parties demeurent nuls pour ce qui touche lesdits écrits, « cy comme /) promettans /) obligeans biens /) Renonceans » ; ce fut fait et passé audit Auvers en « lhostel » d'Olivier Du Rueuil, ès présence de Jehan Fortier sergent et Noël Chérouise, témoins
Un autre notarié fait indirectement mention de sa filiation paternelle, mais cependant elle est évidente vu ceux qui ont été Parties principales dans un procès au sujet d'une succession.
Source : AD 95, 2 E 8/3 - Acte du 05/11/1617, par devant Jehan de Jouy tabellion à Auvers-sur-Oise. _ Accord : furent présents en leurs personnes Jacques Boucher fils de Guillaume, laboureur de vigne demeurant à Auvers, et Marie Chérouise veuve Charles Boucher # \ (en marge) # tant en son nom que comme tutrice de Guillaume et Simon Boucher ses enfants /, demeurant audit Auvers ; lesquels de leurs bonnes volontés, sans aucune force ni contrainte et pour éviter et terminer certain procès entre eux intenté tant à Auvers qu'à Pontoise, disant ladite Chérouise que ledit Jacques Boucher leur détenait certains héritages provenus de la succession de feu Guillaume Boucher ; ladite Chérouise et ledit Guillaume Boucher présentement ont quitté et quittent audit Jacques Boucher tous et chacun les héritages que ladite Marie - tant en son nom que comme tutrice desdits Guillaume et Simon Boucher ses enfants - demandait audit Jacques Boucher, à la réserve que ledit Jacques Boucher a quitté et quitte à ladite Marie Chérouise, Guillaume et Simon Boucher ses enfants, huit pieds de large à prendre vers le pignon avec moitié d'icelui pignon faisant le tout lesdits huit pieds, d'un cellier de fond en comble assis à Auvers au lieu-dit " la Rue Remy " « quy fut feu » Guillaume Boucher ; à la charge d'entretenir ledit pignon et la ferrure d'entre lesdites parties à frais communs, et chacun se doit tenir couvert à ce que lesdites parties n'en souffre aucun dommage ou intérêts, et aussi quitté ledit Boucher à ladite Chérouise et ses enfants, une étable à porcs et masure assis près ladite maison, tenant d'un côté la veuve Bonadventure Chérouise, d'autre côté ledit Jacques Boucher, et suivant l'écrit fait entre lesdites parties avec la moitié d'une grange assise en ce même lieu, tenant d'un côté les hoirs Bonadventure Chérouise, d'autre côté audit Jacques Boucher, et suivant ledit écrit avec deux perches de vigne que ledit Boucher leur quitte, assis " aulx vallées ", tenant d'un côté Fiacre Chicourt, d'autre côté Simon Boucher, d'un bout à Gabriel Morignier, d'autre bout la terre de Montmort, et (aus)si ladite Chérouise a quitté et quitte audit Jacques Chérouise une perche de terre en friche assise au terroir dudit Auvers lieu-dit " les Cochanées ", tenant d'un côté Fiacre Chicourt, d'autre côté ledit Jacques Boucher, d'un bout la terre Nicolas de Pars, d'autre bout à (blanc), etc., et (aus)si ne pourra ladite Chérouise ou ses héritiers ou ayants cause, demander ni faire payer audit Jacques Boucher ou ses ayants cause, la somme de vingt quatre livres tournois portée par cédule faite par ledit Boucher au profit de ladite Marie Chérouise, qui par le moyen de la présente demeure nulle et entièrement payée, et (aus)si seront tenus lesdites parties payer chacun les dépens à quoi ils ont été condamnés en tous les procès et poursuites qu'ils ont eu ensemble ; et pour les frais dont il n'y a eu jugement lesdites parties paieront chacun leurs procureurs et par le moyen du présent accord ledit Jacques Boucher ou ses ayants cause ne pourront rien demander à Nicolas Tuppin, tuteur dudit Jacques Boucher, de toutes choses généralement quelconques du gouvernement et administration qu'il aurait eu du bien dudit Boucher ; « et sy seront tenu lesdites parties fournir les uns aulx autres de tous et Chacuns les billetz de partages, Contratz tiltre(s) et enseignemens » faisant mention des maisons, vignes, terre(s), prés et autres héritages provenus de ladite succession quand besoin sera ; et (aus)si a quitté ladite Marie Chérouise audit Jacques Boucher onze perches de plants assis au terroir dudit Auvers lieu-dit " Rougemont " faisant moitié de vingt deux perches, tenant d'un côté ladite Chérouise, d'autre côté Nicolas Olivet, d'un bout Claude Romaru « lesnel », d'autre bout Nicolas Fournet ; et (aus)si a ladite Chérouise quitté et quitte audit Boucher un quartier de terre assis audit terroir d'Auvers au lieu-dit " Champ a loup ", tenant d'un côté aux hoirs Charle(s) Boucher, d'autre côté Nicolas Caffin, d'un bout la terre de Fours, d'autre bout à (blanc), et par le moyen du présent accord lesdites parties jouiront paisiblement de tous lesdits héritages, ensemble de tout et chacun ce qui est en possession car ainsi a été accordé entre lesdites parties, etc. ; ès présence de Pierre Boucher et (blanc)
Des deux actes notariés ci-dessus, il appert que le décès de Charles Boucher est survenu entre le ** mars 1616 et le 5 novembre 1617.
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Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/1 - Acte du 11/04/1539, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Accord, traité, chevissance et compromis suite à la reddition d'un compte de tutelle : Comparurent en leurs personnes Renault Prieur procureur en cour laye d'une part, et Nicollas Gaucher sergent à cheval « du Roy nostre sire » en la ville et châtellenie de Ponthoise, et Ambroise Landrin sa femme de lui autorisée d'autre part ; disant ledit Prieur que après le décès de feu Nicollas Landrin père de ladite Ambroise, il avait été créé tuteur et curateur à ladite Ambroise et autres, ses frère et soeur, en eussant laquelle charge il aurait administrer et fait face de tuteur, et tellement qu'il avait plus mis et « fraié » que reçu de la somme de cinquante livres tournois, ou autre grande somme, et pour en être fait et satisfait aurait prié lesdits Gaucher et sa dite femme, voir le compte de la mise et recette de ladite administration, duquel il leur aurait baillé copie pour icelle accepter ou débattre, etc. ; lesdits Gaucher et sa dite femme ont cédé, transporté et promis garantir audit Prieur présent, ce aceptant pour lui, ses hoirs, la somme de vingt deux sols parisis de rente que à cause de ladite femme ont droit de prendre et percevoir par chacun an, le jour saint Martin d'hiver ou autre jour de l'an, sur les hoirs et ayants cause de feu Phlippot Grault demeurant à Eraigny, et bailler les lettres de ce faisant « vendition » ; et pour ce que, ledit Prieur a baillé aux dits Gautyer et sa femme « une robbe escarlate et ung chapperon » qu'il avait dégagés de douze livres tournois, et depuis ont été portés à vingt et une livres tournois qui sont neuf livres tournois à partir entre tous les enfants de feue Magdelaine Foucques mère de ladite Ambroise et jadis femme dudit Landrin ; lesdits Gaucher et sa dite femme en seront tenus acquitter et décharger ledit Prieur envers les autres cohéritiers de ladite Ambroise, si ledit Prieur en était inquiété en personne, et partant sont et demeurent lesdites parties d'accord touchant le fait de ladite tuition /) si comme /) obligeant /) renonçant
A la suite - Acte du même jour, par devant le même notaire. _ Vente par Nicollas Gaucher sergent à cheval en la ville et châtellenie de Ponthoise, et Ambroise Landrin sa femme de lui autorisée, -- à Renault Prieur procureur en cour laye, demeurant à Ponthoise, présent, acheteur pour lui, ses hoirs ; c'est à savoir douze perches de vigne et tout le droit de Pierre Le Tavernier et sa femme ont et leur appartient en un quartier de vigne assis au terroir d'Espiez au lieu-dit " les quartiers par lessart " tenant Jaques Landrin et autres ayants droit audit quartier, mouvant de tel seigneur et à icelle charge seigneuriale que ce peut devoir, pour en jouir ; ce vendu moyennant la somme de douze livres parisis que pour ce /)dont /) quittant /) désaisissant /) si comme /) obligeant /) renonçant
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Sergent à cheval du Roi en la ville et châtellenie de Pontoise
Note(s) : Signe avec paraphe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/1 - Acte du 11/04/1539, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Ambroise Landrin, sa femme).
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Note(s) : Signe " S Jaquin " avec paraphe, à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 8/9- Acte du 11/12/1630, par devant Antoine Harmont notaire à Auvers-sur-Oise. _ Titre nouvel de rente : furent présents en leurs personnes Pierre Bernay laboureur demeurant à Auvers et Mathurine Dupré sa femme, Symon Jacquin dudit état demeurant à Villiers Adam et Symonne Dupré sa femme, et Isaac Orriot en son nom et comme tuteur de Noëlle Orriot fille mineure de lui et de défunte Perrette Dupré sa femme ; lesquels Bernay, Jacquin et lesdites femmes en leurs noms, et ledit Orriot en son nom et comme tuteur, ont confessé et par ces présentes [confessent] devoir par chacun an à Adrien Cochegrue vigneron demeurant audit Auvers, la somme de neuf livres quinze sols huit deniers tournois de rente annuelle et perpétuelle, rachetable à toujours et payable par chacun an le jour Saint Martin d'hiver ; laquelle rente ledit Cochegrue à racheter et « recoussé » de honorable femme Margueritte Clopin veuve de feu Mathieu Chéron, par contrat de rachat passé par devant Pierre Dagneaux notaire royal à Pontoise ; laquelle somme de neuf livres quinze sols huit deniers tournois de rente, lesdits reconnaissants ont promis rendre bien payable par chacun an sur les pièces de terre ci-après déclarées, etc. ; ladite rente rachetable à toujours moyennant la somme de cent dix sept livres cinq sols tournois du sort principal avec les arrérages, frais et loyaux coûts lors échus, etc.
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 8/9 - Acte du 24/10/1630, par devant Antoine Harmont notaire à Auvers-sur-Oise. _ Vente par Fleurent Fournet « charon » demeurant à Auvers, et Marie Romaru sa femme de lui autorisée pour faire et passer ce qui ensuit, etc., -- à messire Estienne de Barbisy chevalier, seigneur d'Hérouville, présent, « acquesteur » et ce acceptant pour luy, ses hoirs ou ayants cause ; c'est à savoir quinze perches et demie de vigne en une pièce sise audit Auvers, lieu-dit " sur le moutier ", tenant d'un côté et d'un bout à Jacques Boulon et autres, d'autre côté la veuve Jacques Dupré, d'autre bout Claude Romaru et autres, etc. ; à ce sont comparus Claude Postolle et Marie Fournet sa femme, autorisée dudit Postolle son mari, Rémy Garnier fils de Nicollas et Margueritte Fournet sa femme, autorisée dudit Garnier son mari ; lesquels Postolle et Garnier et leurs dites femmes ont consenti et accordé, consente et accorde la « vendition » ci telle faite par lesdits Fournet et Marie Romaru sa femme audit sieur « acquesteur », qui promettent garantir ledit Postolle, Garnier et leurs dites femmes audit sieur « acquesteur » avec ledit Fournet et sa dite femme pour chacun trois perches de ladite pièce de vigne de quinze perches et demie ci-dessus, que ledit Fleurent Fournet avait donné par mariages à ses dites filles ; cette présente « vendition » faite aux susdites charges de cens outre moyennant la somme de quarante six livres dix sols tournois que lesdits Fournet et sa dite femme, Postolle, Garnier et leurs dites femmes ont confessé avoir eu et reçu dudit « acquesteur » ; savoir ledit Postolle neuf livres tournois, ledit Garnier neuf livres tournois, et ledit Fournet et sa dite femme vingt huit livres dix sols tournois, et quarante huit sols tournois pour les « espingles » de ladite femme, etc.
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