Note(s) : En 1642, Jeanne Caffin demeurait à la ville Saint Marcel lez Paris, ainsi nommée mais en fait il s'agissant alors d'un fauxbourg de la capitale.
Source : AD 95, 2 E 10/309 - Acte du 26/07/1642, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Désaccord à propos d'héritages entre Jeanne Caffin et Philippe Caffin son frère -- « Messire Gaspard Caffin prebstre chantre en léglise de Paris, demeurant au cloistre dicelle, au nom et comme procureur ayant pouvoir et charge ainsy qu'il a dit de Jeanne Caffin sa soeur, fille, demeurante a la ville Sainct Marcel les paris, de laquelle en tous évenemens il se fait fort dune part, et Philippe Caffin laboureur demeurant a Fontenelle en son nom & daultre part, lesquelles partyes voullant ainsy pour evicter a tout proces et diffairends meut et a mouvoir entre elles, pour raison de ce ladicte fille pretend luy estre deub par ledict Philippe Caffin des successions de deffuncts Jean Caffin et Nicolle Caffin sa femme, pere et mere des partyes & sur les raisons au contraire objecté par ledict Philippe Caffin, recongnurent et confesserent avoir nommé & esleu pour arbitre a ce titre faire amiable composite des personnes de Charles Caffin laboureur demeurant a Cergy et Marc Gaultier demeurant audict Cergy », etc.
En 1644, Jeanne Caffin était fille majeure et demeurait à Paris ; elle est encore reprensenté par son frère Gaspard Caffin lors de la signature d'un acte de vente de biens immobiliers communs.

Source : AD 95, 2 E 10/313 - Acte du 19/04/1644, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Vente par vénérable et discrète personne Gaspard Caffin « prebstre chantre de leglise de paris demeurant au cloistre dicelle », lequel tant en son nom que comme étant aux droits de Phillippe, Jean et Jacques Caffin ses frères, Guillaume Garnier et Françoise Caffin sa femme, et en ce se faisant fort de Jeanne Caffin, fille majeure d'ans, sa soeur, « demeurante » à Paris, promettant les faire ratifier ces présentes, etc. ; c'est à savoir une maison, cour, grange, étable, jardin et lieux comme ils se comportent, partie d'iceux lieux en ruine et décadants, assis audit Hérouville lieu-dit " la rue des fischets ", - à Gervais Caffin laboureur demeurant à Hérouville ; moyennant la somme de douze cens c[inquant]e livres tournois de sort principal, mais encore ledit acheteur paiera et continuera « dhuy a ladvenir », à la décharge dudit vendeur au lieu des héritiers et représentants feu Jacques Caffin et Françoise Hauvis sa femme, défunts Gérard Hauvis et Jean Caffin, au seigneur dudict Hérouville et d'Auvers, la somme de cinquante livres tournois de rente annuelle constituée par ledit défunct Jacques Caffin, sa femme, Gérard Hauvis et Jehan Caffin, au profit du feu sieur d'Hérouville pour dudit sieur d'Hérouville, par contract passé par devant Jacques Dagneaux et Jean Moreau notaires royaux à Pontoise « le quatriesme juillet mil VI c disneuf », etc.

Contrat de mariage.
Source : AN, Y//186 - Acte du 02/01/1649, fol. 424. _ Contrat de mariage entre Mathieu Dupuys, marchand maître épicier à Paris y demeurant rue de la Harpe, en la maison de la Rose Rouge, -- et Jeanne Caffin demeurant au faubourg Saint Marcel, grande rue Mouffetard, paroisse Saint Martin.

Le décès de Jeane Caffin est survenu avant le 31 août 1653.
Source : AN, MC/ET/XXXIII/299 - Acte du 31/08/1653, par devant René Maheut notaire au Châtelet de Paris (voir in Notice biographique de Mathieu Dupuis, son mari).

 

Note(s) : En 1644, Françoise Caffin est dite être la femme de Guillaume Garnier, et selon toutes apparences elle est la soeur de Gaspard Caffin ayant quant à lui les droits de ses deux frères et d'une soeur lors de la signature d'un acte de vente de biens immobiliers communs.
Source : AD 95, 2 E 10/313 - Acte du 19/04/1644, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Vente par vénérable et discrète personne Gaspard Caffin « prebstre chantre de leglise de paris demeurant au cloistre dicelle », lequel tant en son nom que comme étant aux droits de Phillippe, Jean et Jacques Caffin ses frères, Guillaume Garnier et Françoise Caffin sa femme, et en ce se faisant fort de Jeanne Caffin, fille majeure d'ans, sa soeur, « demeurante » à Paris, promettant les faire ratifier ces présentes, etc. ; c'est à savoir une maison, cour, grange, étable, jardin et lieux comme ils se comportent, partie d'iceux lieux en ruine et décadants, assis audit Hérouville lieu-dit " la rue des fischets ", - à Gervais Caffin laboureur demeurant à Hérouville ; moyennant la somme de douze cens c[inquant]e livres tournois de sort principal, mais encore ledit acheteur paiera et continuera « dhuy a ladvenir », à la décharge dudit vendeur au lieu des héritiers et représentants feu Jacques Caffin et Françoise Hauvis sa femme, défunts Gérard Hauvis et Jean Caffin, au seigneur dudict Hérouville et d'Auvers, la somme de cinquante livres tournois de rente annuelle constituée par ledit défunct Jacques Caffin, sa femme, Gérard Hauvis et Jehan Caffin, au profit du feu sieur d'Hérouville pour dudit sieur d'Hérouville, par contract passé par devant Jacques Dagneaux et Jean Moreau notaires royaux à Pontoise « le quatriesme juillet mil VI c disneuf », etc.

Profession(s) : Laboureur de vignes (autrement dit Vigneron)

 
Sosa : 237516

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Prévôt-maire et voyer pour le roi de la ville et commune de Pontoise en 1470 et 1471; Gouverneur de Pontoise de ~ 1471 à 1474; Argentier de Pontoise de 1478 à 1481
Profession(s) : Marchand boucher
Note(s) : Mahiet / Mahieu, forme anc. de Mathieu, les trois formes du prénom alternent selon les actes...
En 1470, Mathieu Landrin est [prévôt-]maire. Source : AD 95, série H, fonds Maubuisson, cart. 182, no 32).
Idem en 1471 où il est plus précisemment qualifié prévôt-maire et voyer de la ville et commune de Pontoise.
Source : AD 95, Fonds Mallet, 27Z4. Acte du 05/02/1471. _ Procès entre les religieux de St Martin et Jean Legat, Guillaume Legat son frère, Michel Leroux et sa femme soeur desdits Jean et Guillaume Legat
En 1480, un acte administratif précise que Mahiet Landrin était marchand boucher, et argentier de la ville de Pontoise.
Source : AD 95, AMP, CC 28 (ex CC 4 no 130, noté sur le document), Intitulé : Pièces justificatives / Compte Mathieu Landrin, argentier, 1478-1481.
Acte administratif du 25/05/1480, par devant Denis Pasquier (S = Pacquier avec paraphe) greffier de la prévôté mairie de la commune de Pontoise. _ Parvant moy denis pasquier greffier de la prevosté / mairie de la commune de ponthoise est venu et comparu / jehan durtel laisné marchant voiturier par eaue / lequel confesse avoir eu et receu de mahiet / landrin marchant boucher et argenthier de ladicte / ville la somme de cinquante deux solz parisis a luy deubz / par les manans et habitans de ladicte ville pour avoir / par luy amené et fait chargé et deschargé a ses / despens huict douzaines de potaux par luy paiés / sur le port de stors et deschargés sur le port / de bicherel de laquelle somme de LII sols parisis ledict / durtel tient quicte ladicte ville et promect acquicter / ledict mahiet landrin envers tous sy comptois de fait / fait le jeudi XXVe jour de may mil IIII c IIII XX [NB : / = saut de ligne in texte original]

Sa dernière femme, Marguerite Philippe, lui valut à L'Aumône l'hôtel de l'Ecu de France et des terres qui passèrent à ses héritiers Mahiet Landrin et Nicolas Hue x Driette Landrin ( XXXVI 20523).
Source : AD 95, AMP, Série Z - Entrées extraordinaires - Sous-Série 16Z - Fonds Chennevière (cote : 16Z43, Vol. 22, Lettre L, p. 11598).

Décédé avant le 10 mars 1499.
Source : AD 95, Fonds Mallet, 27Z4 - Acte du 10/03/1499. _ Partage devant Jacques Cossart prêtre, licencié en droit, garde des sceaux de la ville & chatellenie de Pontoise, et Jean Alix clerc tabellion juré commis et établi en ladite ville & chatellenie... entre Nicolas Hue dit Ferraille, marchant boucher, demeurant à l'aumône et Driete, sa femme à cause d'elle fille et héritière de défunte Marguerite Philippes en son vivant dernière femme de défunt Mahiet Landrin, et Mahiet Landrin, dautre, censitaires d'immeubles à l'aumône parmi lesquels se trouve l'hôtel de l'Ecu de France.

 

Note(s) : Mahé / Mahiet / Mahieu, forme anc. de Mathieu, les trois formes du prénom alternent selon les actes...
De mahiet landrin demeurant a pontoize comme herittier
en partye de mahiet landrin son pere pour un arpent de vigne
assise au terroir de cergy lieudit les rés tenant dun cotté a
estienne soyer laisné dautre cotté a jean mangnan le jeune et
autres dun bout a estienne soyer le jeune et dautre bout aux hoirs
guillot pincebourde doit quatre deniers parisis de cens 4 d par.
Source : AD 95, 117H1, Abbaye de Saint Denis / Terrier de Cergy, 1502, avec table des censitaires : Mahiet Landrin folio 68, pour 3 pièces de vignes, assises au lieudit "les rés" au terroir de Cargy.

Reconnoissance de Mahé Landrin comme il doit a l'abbaye
de St Martin quatre solz parisis de chef cens a cause d'une
piece de pré contenant un arpent scise dans la prerie de St Ouen
au lieu dit le clos aux Reynes , tenant d'un costé a nicolas Landrin
dautre costé et d'un bout a charles Tasset et dautre bout au vieil
Chemin qui conduit de St Germain a St Ouen 16 avril 1516 . Cotte 489
Source : AD 95, 9 H 1 / Abbaye de St Martin de Pontoise / Intitulé : « Table alphabetique de l'Inventaire des tiltres de l'Abbaye de St Martin de Pontoise fait en l'année 1684 ». Liasse 21e ; p. 130.

 
Sosa : 237517

 

Note(s) : Driette, abréviation par aphérèse de Andriette...

Profession(s) : Boucher

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable homme
Profession(s) : Marchand mercier

Profession(s) : Marchand cordonnier

Profession(s) : Marchand boucher

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024