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Note(s) : Occurrence : Pichereau (acte de baptême de sa fille Quentine)
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque au contrat de mariage de son frère Quentin LescuIer (le jeune)
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Note(s) : Signe au contrat de mariage de son frère Quentin (le jeune)
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Note(s) : Occurrence : Daras
Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 10/5 - Acte du 20/11/1608, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Vente par Lois Caffin laboureur demeurant à Ennery et Loyse Daras sa femme, de lui autorisée, -- à discrète personne maître Hugues Dargence, prêtre demeurant audit lieu ; c'est à savoir quatorze perches de jardin ou environ en une pièce, la pièce comme elle se comporte assise au terroir dudit Ennery lieu-dit " la croix ", tenant d'un côté aux enfants défunt François De Boissy, d'autre côté à la veuve Nicolas Bouresche, d'un bout à la rue, et d'autre bout à la terre du sieur de Moussy, mouvant su sieur de La Grange et à la charge de tels cens et rentes seigneuriales que lesdits quatorze perches peuvent devoir « aux jours que deubz sont », pour toutes charges, francs et quittes de tous arrérages « jusquues a huy » ; appartenant aux dits vendeurs par acquisition qu'ils en ont fait de Enoc Caffin, laboureur demeurant à Hérouville comme ils ont dit ; moyennant la somme de soixante quinze livres tournois pour le sort principal, argent franc, et trois livres tournois au vin du marché ; ès présences de Loys Dye et Denis Pincebourde, vignerons demeurant à Cergy, témoins
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Note(s) : Pichereau / Pichoreau, les 2 graphies alternent dans les actes paroissiaux de la paroisse de Nesles [-la-Vallée] au début du XVIIe siècle...
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Note(s) : Signe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 15/68 - Acte du 29/04/1652, par devant Pierre Crémyen notaire à Pontoise. _ Vente par Louise Caffin, veuve en première noce de feu François Bouticourt, et en seconde noce de feu Jean Dargence, et François Bouticourt son fils âgé de trente cinq ans et plus il a dit, demeurant à Puiseux, -- à messire Louis de La Grange, chevalier seigneur de Marcouville, Seraincourt & autres lieux, conseiller du roi en ses conseils & président du roi et du palais à Paris, y demeurant rue des " blands manteaulx " paroisse St Jean et St Gervais, absent, ce acceptant par maître Robert Tuppin son receveur ; c'est à savoir 2 arpents 83 perches de terre labourable sis au terroir d'Anneri (sic, pour Ennery), en 5 pièces, etc. ; lesdites pièces de terre appartenant du propre dudit François Bouticourt vendeur, par la succession de feu Marin Bouticourt son aïeul, etc.
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Profession(s) : Laboureur de vigne autrement dit Vigneron
Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque au contrat de mariage de son fils Jacques ; lequel acte fait mention de sa filiation paternelle.
Source : AD 95, 2 E 15/63 - Acte du 01-05/1629, par devant François Turpin notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Jacques Boucher, fils de Jacques Boucher, fils de Guillaume, laboureur de vigne demeurant à Auvers et de Marie Fournet d'une part, et Nicolle Romaru fille de défunt Pierre Romaru et de Catherine Le Moinne, à présent femme de Barnabé Chérouise laboureur demeurant à Auvers, lequel stipulant pour Nicolle Romaru d'autre part ; en présence de honnête personne Quentin Le Moine oncle de la future épouse, Simon Boucher neveu dudit Jacques Boucher l'aîné, et autres
Par la suite il signe " jacque boucher ", notamment à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 8/27 - Acte du 02/12/1650, par devant Claude Romaru notaire à Auvers-sur-Oise (voir in Notice biographique de Perrette Poisson, son äïeule paternelle).
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Note(s) : Source : AD 95, 2 E 8/27 - Acte du 02/12/1650, par devant Claude Romaru notaire à Auvers-sur-Oise (voir in Notice biographique de Perrette Poisson, sa femme).
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Note(s) : Perrette Poisson avait fondé une messe haute pour être dite à son intention dans l'église Notre Dame d'Auvers.
Source : AD 95, 2 E 8/27 - Acte du 02/12/1650, par devant Claude Romaru notaire à Auvers-sur-Oise. _ Délivrance de legs pour fondation de messe, suivie d'un titre nouvel de rente : fut présent en sa personne Jacques Boucher fils de Jacques, vigneron demeurant à Auvers, lequel a reconnu et confessé, reconnaît et confesse que défunt Jacques Boucher fils de Guillaume son père, vivant vigneron demeurant audit Auvers, par son testament et ordonnance de dernière volonté passé par devant discrète personne frère Jehan Jaulnay prieur curé dudit Auvers, le quatrième décembre mil six cent quarante neuf, a donné et légué à l'église Notre Dame d'Auvers la somme de quinze sols tournois de rente annuelle, à les prendre et percevoir par chacun an à perpétuité, à tel jour qu'il décèderait, sur vingt cinq perches de terre assises au terroir dudit Auvers lieu-dit " les broulliars ", tenant d'un côté au sieur Liony, d'autre côté aux hoirs Jacques Boucher, d'un bout au chemin du port, d'autre bout à (blanc) ; à condition d'une messe haute qui se dira annuellement ledit jour, tant à son intention que à l'intention et pour le repos de l'âme de défunte Marie Fournet sa femme, et partant ledit reconnaissant fait par ces présentes actuelle délivrance de ladite rente au profit de ladite église, et promet comme héritier desdits défunts et comme détenteur et propriétaire de ladite terre, de payer et continuer à l'avenir lesdits quinze sols tournois de rente à ladite église ou ses marguilliers et receveurs pour elle, le huitième jour de décembre par chacun an à toujours, etc., à condition que les marguilliers et receveurs de ladite église seront tenus et obligés de faire dire et célébrer par chacun an en ladite église d'Auvers, le huitième décembre ou autres jours suivants, suivant l'intention dudit fondateur et de fournir d'ornements et luminaire à ce nécessaire ; Item ledit Jacques Boucher reconnaissant confesse qu'il est encore détenteur et propriétaire de dix perches de jardin, clos de haies et planté en arbres, assis au terroir d'Auvers au lieu-dit " la Rue Remy ", tenant d'un côté à Jean Oriot fils de Hyéraume, d'autre côté à Guillaume Videcoq, d'un bout à Estienne Duchesne, d'autre bout à la terre de la ferme St Martin de Pontoize, et qu'il sait ledit jardin être chargé de dix sols tournois de rente annuelle et perpétuelle envers l'église et fabrique Notre Dame d'Auvers, à cause de la fondation faite à icelle par Perrette Poisson femme de Guillaume Boucher, aïeule dudit reconnaissant, à condition d'une messe haute à son intention et par chacun an, et partant ledit reconnaissant s'oblige de payer et continuer à l'avenir ladite rente de dix sols tournois à ladite église et à la rendre bien payable le jour saint Martin d'hiver, tant sur ledit jardin qu'il a promis maintenir en bon état comme généralement sur tous ses autres biens, à la charge que les marguilliers de ladite église seront tenus et obligés de faire dire ledit service selon l'intention de ladite défunte, et de fournir d'ornements et luminaire à ce nécessaire, etc. ; ès présence de Estienne Romaru et (blanc), témoins demeurant audit Auvers
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