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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Procureur au Châtelet de Paris
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris; Juré mesureur de grains
Profession(s) : Marchand
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chevalier, seigneur de La Fayette
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, sieur de Bernoville
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chevalier, seigneur de Puységur
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Profession(s) : Chirurgien, puis maître chirurgien
Note(s) : Signe " Eloy caffin " à un acte notarié et à un acte de justice prévôtale.
En 1681, Eloy Caffin est qualifié chirurgien demeurant à Groslay.
Source : AN, MC/ET/XL/35 - Acte du 117/10/1681, par devant Louis Brouart greffier et tabellion juré de la prévôté de Passy. _ Contrat de mariage entre Eloy Caffin chirurgien à Groslay, fils de feu Adrien Caffin laboureur demeurant à Arcuy [= Ercuis] proche Beaumont, et de Madeleine Caffin sa femme, -- et Geneviève Sageret veuve de Gabriel Leurault chirurgien demeurant à Passy. Temoins : Jean Caffin praticien demeurant à Pontoise, Charles Rozy arpenteur du Roi, Philippe Sageret vigneron à Passy, Charles Cézard Sageret vigneron à Auteuil, frères de la future, Jean Denis concierge etjardinier de Madame Chuhu en son hôtel seigneurial de Passy, etc.
En 1707, il est qualifié maître chirurgien demeurant à Passy.
Source : AN, Z2-3871 (Prévôté de Passy et fief de Saint-Pol) - Acte du 15/12/1707, par devant Julien Phelyppeaux ancien praticien de la prévôté haute, moyenne et basse justice de Passy, pour l'absence de Monsieur le prévôt de Passy. _ Eloy Caffin maître chirurgien en ce lieu, en la présence de Piere Peiqnier (S = Pigné) jardinier de Monsieur le duc de Lauzun, subrogé tuteur de Pierre Noël Caffin, fils dudit Eloy Caffin et défunte Geneviefve Sageret sa femme, ses père et mère ; en la présence aussi de Me Jacques Parcouille procureur fiscal pour l'absence de Pierre Leurault, fils et + \ (en marge) + habile à se dire et porter héritier ainsi que ledit Pierre Noël Caffin (sic) / héritier (bissé) de défunt Gabriel Leurault, vivant chirurgien et de ladite Genefviève Sageret sa femme ; lequel Caffin comparant nous a dit que scellés et inventaire ont été faits à la requête dudit Parcouille procureur fiscal, des biens meubles meublants, linge, habits, ustensiles d'hôtel, titres, papiers et enseignements qui se sont trouvés après le décès de ladite Geneviefve Sageret sa femme, et qui communs ont été entr'eux et desquels ledit Caffin s'est rendus gardien ; et voulant ledit Caffin faire clore ledit inventaire et qu'il a dit avoir été fait sans y avoir retenu « aucuns effetz dIcelluy », cacher ni faire cacher ni « lattiter » ; et en cas qu'il vint quelque chose à sa connaissance qui ne fut point compris dans ledit inventaire, de lui faire comprendre et connaître par écrit dans icelui inventaire ; sur quoi nous juge susdit après avoir dudit Caffin pris et reçu le serment en tel cas requis et accoutumé, et attendu les présences desdits Peiqnier et procureur fiscal qui consentent la clôture dudit inventaire, avons icelui tenu pour clos et fini ; à la charge que s'il se trouve quelques effets et meubles omis dans ledit inventaire, de les y faire comprendre et écrire en suite d'icelui sous les peines de droit ; ce qui fut fait et donné par nous juge susdit le jeudi quinzième jour de décembre mil sept cent sept
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Note(s) : Signe à son contrat de mariage...
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