Jean-Claude DescampsNicole Marie Emilie Texier
David Roland Paul BernardMaryline Renée Nicole Descamps
Isaline Nicole Bernard
°(XX°)
+

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Pierre FourniquetMarie Le ConteJehan GuyonAnthoinette Marette
Jehan FourniquetAnthoinette Guyon
Pierre Fourniquet
°
+

x
Marguerite de Villiers
Pierre Fourniquet   Thomas Fourniquet*  
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Procureur en la Cour de Parlement de Paris
Note(s) : En 1647, François de La Morlière constitue son procureur un membre de sa famille, Pierre Fourniquet procureur en Parlement.
Source : AN, MC/ET/II/184 - Acte du 29/08/1647, par devant Etienne Gerbault notaire au Châtelet de Paris. _ Procuration de François de La Morlière, garde du Corps du Roi, demeurant à Lisieux, comme légataire de défunt Martin Anceaume, bourgeois de Paris, à Pierre Fourniquet procureur en Parlement.

1650, 3 février. Transport par Pierre Fourniquet, procureur en Parlement, et Marguerite de Villiers, sa femme, demeurant rue Quincampoix, à Jean Chapelain, d'une somme de 1 400 livres de principal avec ses intérêts, à eux due par Claude Strossy, veuve d'Octavien Vannel, depuis un contrat du 28 février 1643 reçu par Pourcel, notaire, moyennant 1 464 livres 4 sols. XXI, 157.
1654, 14 mars. Transport par Pierre Fourniquet, procureur en Parlement, et par Marguerite de Villiers, sa femme, demeurant rue Quincampoix, à Jean Chapelain, d'une créance de 2 044 livres qui leur est due par Claude Strossy, veuve d'Octavien Vannel, Marin Dufloquet, conseiller du Roi au Châtelet, et Melchior Vannel, sa femme; moyennant la même somme. XXI, 165, no 96.
1657, 18 juin. Rétrocession par Jean Chapelain à Pierre Fourniquet, procureur en Parlement, demeurant rue Quincampoix, d'une créance de 2 044 livres, transportée par contrat du 14 mars 1654 (1). XXI, 171, no 177.
Source : Madeleine Jurgens, Jacques Monicat, " Documents du Minutier central concernant l'histoire littérarire (1650-1700) ". Paris : PUF, 1960, p. 61, 63 et 66.

Pierre Fourniquet assista, le 29 septembre 1674 à Paris, en l'église Saint Nicolas-des-Champs, à l'inhumation du cousin-germain de sa femme, Charles de Villiers, doyen des commissaires des guerres, décédé à l'âge de 76 ans et 6 mois.
Source : Mercure de France. Paris, 1928, No 723 (01/08/1928), t. CCV, cf. Max Prinet, " Les ancêtres parisiens de Villiers de L'Isle-Adam ", p. 588 (article entier p. 586-593).


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Jacques de VilliersJacqueline Perrot
Jehan de VilliersMadeleine Legrand
Marguerite de Villiers
°
+

x
Pierre Fourniquet
Pierre Fourniquet   Thomas Fourniquet*  

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Guy de FlessellesHonorée Le Thuillier
Philippes de Flesselles
°
+20 mars 1561

x1 06 juillet 1533
Guillemette de Machault

x2
Antoinette Bonnot
Marie de Flesselles* 
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Haute-Fontaine et du Plessis; reçu docteur régent à la Faculté de Médecine de l'Université de Paris (20/10/1528); Médecin ordinaire des Rois François Ier, Henri II, François II et Charles IX; Professeur de Médecine (04/11/1531);
Note(s) : de Flesselles / de Flexelles / de Flécelles

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Méry BureauPerrette de La Cloche
Simon de MachaultLouise Bureau
Guillemette de Machault
°07 février 1515
+05 novembre 1586
Paris / St Gervais et St Protais (Seine)

x 06 juillet 1533
Philippes de Flesselles
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Dame de La Queue
Note(s) : « 4230. -- Guillemette de Machault , femme de Philippes de Flesselles , docteur régent en la Faculté de Paris : donation à Marie de Flesselles , femme de Jacques Canaye , avocat en Parlement , fille d'un premier lit de son mari , d'une maison habitée par Philippes de Flesselles , Vieille-Rue-du-Temple , aboutissant par derrière à l'hôtel du Mouton , d'une autre maison , même rue , adjacente à la première , de maison à Champigny-sur-Marne , rue de Bruneaulx , de vignes et terres au terroir de Champigny-sur-Marne , de maison avec jardin à Crespières , d'une maison et moulin à eau à Wideville , de prés et de terres au même terroir , d'une maison avec jardin , verger à arbres , clos de murs , avec des terres , vignes et prés au terroir de Beynes , près Neauphle-le-Château , d'une maison avec jardin et moulin à foulon de draps à Montainville , près Maule-sur-Maudre , avec droit de pêche et la moitié d'une île , de vignes aux terroirs de Noisy-le-Sec , de Chennevières-sur-Marne , de terres et de vignes au terroir de Villiers-sur-Marne , de pré, jardin et bois taillis au terroir de Sautour près les Mureaux , la donatrice se réservant sur tous ces biens la disposition d'une somme de 500 livres tournois. -- 3 juillet 1551 [Y//97] (fol. 367 v°).
Source : Emile Campardon, Alexandre Tuetey, " Inventaire des registres des insinutaions du Châtelet de Paris. Règnes de François Ier et de Henri II ". Paris : Impr. Nationale, MDCCCCVI (1906), p. 536.


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Jacques LegrandLouise JacquetLouis De VoulgesMarguerite Dusseau
François LegrandSuzanne De Voulges
Catherine Legrand
°
+> 1669

x
François Tardif
Note(s) : « [Arrests intervenus en icelles audiences] Et le troisième du deuxiéme Aoust 1653. rendu au profit de Catherine Legrand, veuve de François Tardif , Trésorier de France en la Generalité d'Orleans , par lequel pareille preference a esté jugée ausdites femmes sur les deniers des Offices de leurs maris , à l'exclusion de leurs Creanciers. »
Source : François Jamet de La Guessière, " Journal des principales audiences du Parlement ". Paris : Guillaume de Luyne, M. DC. LXXXXII. (1692), t. II, p. 82.

Source : AN, Y//193, fol. 180 v° - Acte du 02/06/1656. _ Donation par Suzanne de Vouges, veuve de François Legrand, conseiller du Roi, receveur général du taillon en Normandie, demeurant à Paris, rue des Lions, paroisse Saint-Paul, -- à Catherine Legrand, veuve de François Tardif, conseiller du Roi, trésorier de France à Orléans, sa fille ; portion d'une maison à Paris, rue de la Barillerie, à l'enseigne du Chapeau Rouge.

« [Registre-mémoriaux de la Chambre des Comptes de Normandie] Registre 84. Année 1669. Contrat de cession et transport fait par Catherine Legrand , veuve de François Tardif , trésorier de France , à Orléans , tutrisse de ses enfants , au sieur de Croixmare , de la somme de ............. faisant partie de celle de trente-quatre mille huict cens livres de gages par chacun an , ordonné à Silvain Baillon. f° XIII. »
Source : Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie. Paris : Derache, Didron, 1851, Vol. 18, p. 202-203.




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Jean TardifAnne Cailleau
Claude TardifCatherine Cruchot
François Tardif
°1600
+1640
Paris (Seine)

x
Catherine Legrand
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Noble homme; Conseiller du Roi et trésorier général de France à Orléans
Note(s) : Source : AN, Y//3909A - Acte du 23/02/1641, par devant Ysaac de Laffemas, conseiller du Roi en ses conseils d'état et privé, maître des requêtes ordinaire de son hôtel et lieutenant civil de la ville, prévôté et vicomté de Paris. _ Avis de parents et amis : Est comparu maître Marc Treton procureur au Châtelt et procureur de damoiselle Suzanne De Voulges, veuve de noble homme maître François Legrand, vivant conseiller du Roi et receveur général du taillon en Normandie, créancière de la succession dudit défunt, laquelle suivant la sentence et demande par elle faite à l'encontre de noble homme maître François Tardif, conseiller du Roi et trésorier général de France à Orléans, à cause de damoiselle Catherine Legrand sa femme, héritière présomptive dudit défunt son père, -- a requis qu'il nous plaise prendre l'avis des parents et amis de ladite damoiselle Catherine Legrand pour lui élire et nommer un tuteur, à l'effet de la demande et conclusion contre elle prises par ladite damoiselle sa mère, qui sont pour la condamnation du payement de ses conventions, douaire et préciput et remploi de ses propres, et pour faire déclarer les sentences par elle obtenues, exécutoires sur elle en ladite qualité, même les saisies et criées par elle faites en conséquence avec condamnation de ses dommages et intérêts ; lesquels parents seraient comparus ci-après nommés à savoir ledit sieur Tardif mari de ladite damoiselle Catherine Legrand, Maître André Legrand commis aux parties casuelles, frère, noble homme André Legrand conseiller du Roi et receveur général des finances à Paris, oncle paternel, maître Charles Bardin avocat au conseil privé du Roi, cousin paternel à cause de damoiselle Marie Legrand sa femme, maître André Hureau prieur de Mamet, cousin paternel, noble homme Claude Morot conseiller du Roi et trésorier général de France à Rouen, cousin paternel à cause de damoiselle (blanc) Hureau sa femme, monsieur maître Noël Morot conseiller du Roi en sa cour des aides, cousin paternel, comparant par maître Philippes Barbier procureur audit Châtelet, etc.

Source : AN, MC/ET/CV/700 - Acte du 25/05/1650. _ Inventaire après décès de François Tardif, trésorier de France à Orléans, à la requête de Catherine Legrand tutrice des ses trois enfants mineurs.

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?... Legrand? X.
Jacques LegrandLouise Jacquet
André Legrand
°
+

x
Catherine Fortin
Gilles Legrand   Henry Legrand*  
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Commis aux parties casuelles; Noble homme; Conseiller du Roi; Receveur des tailles et taillon en l'élection de Melun (1606); Recveur des consignations de la Cour des Aides (1610); Receveur général du taillon de Paris (1639)
Note(s) : Un acte notarié prouve qu'André Legrand était frère d'Elisabeth, dont un autre acte notarié prouve qu'elle était fille de Jacques Legrand et de de Louise Jacquet.
Source : AN, MC/ET/XC/114 - Acte du 31/12/1633 et jours suivants, par devant Charles Lestors et Jacques Bruneau notaires garde-notes au Châtelet de Paris. _ Inventaire après décès de dame Elizabeth Legrand, fait à la requête de Me André Hureau, prieur de Mametz (= Mamers), demeurant à Paris dans le collège de Laon, tant en son nom que comme se faisant fort en cette partie de noble homme Anthoine Hureau, son frère aîné, par lequel il promet de faire ratifier ces présentes « touttefois et quante que requis en sera » ; lesdits Anthoine & André Hureau frères, enfants de défunts Me Noël Hureau, vivant Conseiller du Roi en ses conseils & trésorier général de l'extraordinaire des guerres, et de dame Elizabeth Legrand, leur père et mère, ledit sieur Anthoine Hureau habile à se dire & porter héritier de ladite défunte dame Elizabeth Legrand, sa mère, et ledit sieur André Hureau héritier par bénéfice d'inventaire d'icelle défunte suivant les lettres par lui obtenues en la Chancellerie à Paris, le vingt six, jour de novembre dernier, entérinées audit Châtelet de Paris par sentence du vingt neuf, jour dudit présent mois, dont il a fait apparoir, et en présence de noble homme Claude Morot, Conseiller du Roi, ci-devant trésorier général de France à Rouen, à cause de damoiselle Jeanne Hureau sa femme, et de monsieur Me Anthoine Lefèvre, Conseiller du Roi en sa Cour de parlement, et Commissaire au requêtes du Palais à Paris, à cause de damoiselle Jehanne Hureau sa femme, lesdites damoiselles soeurs desdits Anthoine et André Hureau & filles desdits défunts sieur et dame Hureau, et à la conservation des droits de qu'il appartiendra, fut et a été, par Charles Lestors et Jacques Bruneau, notaires garde-notes au Châtelet de Paris, fait inventaire & description de « tous et chacuns les biens meubles, debtes, creditz, lettres, tiltres & enseignemens », demeurés après le décès de ladite défunte dame Elizabeth Legrand, trouvés & étant en la maison de noble homme André Legrand, Conseiller du Roi et Receveur général de ses finances à Paris, frère de ladite défunte, etc. »

Autres relations.
Source : AN, MC/ET/VIII/568, fol. 229 - Acte du 11/03/1606, par devant Guillaume Nutrat notaire au Châtelet de Paris. _ Constitution de 300 livres de rente, moyennant 4800 livres, par Jacques Legrand, lieutenant au bailliage de Saint-Denis, y demeurant, se faisant fort de Louise
Jacquet, sa femme, André Legrand, receveur des tailles et taillon en l'élection de Melun, demeurant à Paris, et François Legrand, sieur d'Argueix, -- à Alexis Mansel, avocat en la cour de Parlement et Marie Perrel, sa femme.

Source : AN, MC/ET/VIII/576, fol. 165 - Acte du 18/03/1610, par devant Guillaume Nutrat notaire au Châtelet de Paris. _ Procuration d"André Legrand, receveur des consignations de la cour des Aides, demeurant rue Geoffroy-Langevin à Paris, -- à Antoine Lasne, bourgeois de la ville de Reims, pour recevoir les fruits et revenus des archevêché et abbaye Saint-Rémy de Reims.

Source : AN, Y//3907 -Acte du 31/12/1639, par devant Louys Damours, Conseiller du Roi en son Châtelet de Paris. _ Avis de parents et amis : Vu la requête présentée par damoiselle Suzanne De Voulges, veuve de feu Me François Legrand, vivant conseiller du Roi et receveur du taillon en Normandie, au nom et comme tutrice des enfants mineurs dudit défunt et d'elle, créancière de ladite succession au moyen de la renonciation par elle faite à icelle, narative que pour obvier aux frais des criées par elle encommencées à sa requête sur une maison appartenant aux dits mineurs, sise à St Denis en France, laquelle est vielle, caduque, et en tout en ruine et péril imminent, comme aussi sur l'office de, étant sous un nom emprunté, et de 34 livres 7 sols 6 deniers, dus par Louis Blondeau, elle fait appeler par devant nous les parents et amis desdits mineurs. pour donner leur avis, savoir si on laissera parfaire lesdites criées encommencées sur lesdites maison, office et rente ou si pour obvier aux frais de scellés, lesdites maison, office et rente dus par ledit Blondeau susdéclaré, seront vendus à l'amiable, pour des deniers provenant de ladite vente être baillés à ladite damoiselle veuve comme première créancière jusqu'à la concurrence de son dû, et aussi pour donner leur avis sur le déguerpissement d'une maison sise audit St Denis, baillée par Me André Legrand moyennant 25 livres par chacun an au profit dudit défunt, attendu que lesdits loyers ne sont plus suffisants pour payer ladite rente et qu'il y convient faire de grandes réparations ; lesquels parents et amis à cette fin sont comparus, à savoir ladite damoiselle mère présente en personne, noble homme André Legrand, Conseiller du Roy et receveur du taillon de Paris, noble homme Jean Philippes, Conseiller et secrétaire du Roy, et receveur de tailles en la généralité de Paris, noble homme Claude Morot, cy devant trésorier de France à Rouen, etc.

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Claude HureauAnne LepèreJacques LegrandLouise Jacquet
Noël HureauElisabeth Legrand
André Hureau
°
+
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Bachelier en la faculté de théologie à Paris en 1634; Prieur du prieuré de Mamers en 1641
Note(s) : Source : AN, Y//3901 - Acte du 07/09/1634. _ « Vu les lectres Royaux en forme de benefice dinventaire donnés a paris le XXIIe decembre 1631 signé par le Conseil tarteron & sellés du grand seau de Cire jaulne obtenu & impetrée par maistre andré hureau baschellier en la faculté de theologie a paris & veu aussy les lectres desmancipation domicilié a paris le seize du present mois & an signés par le Conseil versoris & sellés sur simple que[ue] de cire jaulne estant soubz le Contresel de ladicte Chancellerye par lesquelles leurs presentes causes y contenu sa majesté auroyt octroyé audict impetrant quapres bon & fidel inventaire faict des biens demeurez apres le decedz de deffunct Maistre noel hureau son pere vivant conseiller [du Roy] tresorier de lextraordinaire des guerres il puisse dire et porter herittier dudict deffunct son pere », etc.
Autre relation.
Source : AN, Y 3909A - Acte du 23/02/1641, par devant Ysaac de Laffemas, conseiller du Roi en ses conseils d'état et privé, maître des requêtes ordinaire de son hôtel et lieutenant civil de la ville, prévôté et vicomté de Paris. _ Avis de parents et amis : est comparu maître Marc Treton procureur au Châtelet et procureur de damoiselle Suzanne de Voulges, veuve de noble homme maître François Legrand, vivant conseiller du Roi et receveur général du taillon en Normandie, créancière de la succession dudit défunt, laquelle suivant la sentence et demande par elle faite à l'encontre de noble homme maître François Tardif, conseiller du Roi et trésorier général de France à Orléans, à cause de damoiselle Catherine Legrand sa femme, héritère présomptive dudit défunt son père, -- a requis qu'il nous plaise prendre l'avis des parents et amis de ladite damoiselle Catherine Legrand pour lui élire et nommer un tuteur, à l'effet de la demande et conclusion contre elle prises par ladite damoiselle sa mère, qui sont pour la condamnation du payement de ses conventions, douaire et préciput et remploi de ses propres, et pour faire déclarer les sentences par elle obtenues, exécutoires sur elle en ladite qualité, même les saisies et criées par elle faites en conséquence avec condamnation de ses dommages et intérêts ; lesquels parents seraient comparus ci-après nommés à savoir ledit sieur Tardif mari de ladite damoiselle Catherine Legrand, Maître André Legrand commis aux parties casuelles, frère, noble homme André Legrand conseiller du Roi et receveur général des finances à Paris, oncle paternel, maître Charles Bardin avocat au conseil privé du Roi, cousin paternel à cause de damoiselle Marie Legrand sa femme, maître André Hureau prieur de Mamet, cousin paternel, noble homme Claude Morot conseiller du Roi et trésorier général de France à Rouen, cousin paternel à cause de damoiselle (blanc) Hureau sa femme, maître Noël Morot conseiller du Roi en sa cour des aides, cousin paternel, comparant par maître Philippes Barbier procureur audit Châtelet, etc.

« André Hureau, prieur de Mamers, héritier de son frère Antoine, vend le fief de Rubelle à René Le Roux, maître des Requêtes, 21 septembre 1641. »
Source : Source : Musée Condé; " Chantilly : Les Archives. Le Cabinet des Titres ". Paris : E. Champion, 1926, Vol. 1, p. 234.

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Jehan De ValloysBarbe GuitiéClaude De La MorlièreElisabeth Fourniquet
Charles De ValloysClaude De La Morlière
Claude De Valois
°~ 1600
Paris / St Nicolas-des-Champs (Seine)
+
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris; Sieur de La Noue, secrétaire de la Chambre du Roi
Note(s) : Occurrences : de Valoys, de Vallois
b21/09/1638 Chauvry (95) : Jehanne Boudet, fa Pierre Boudet et Geneviefve Fourcroy
p/m : Claud (sic) de Valoys sieur de La Noue, secrétaire de la Chambre du Roi,
b03/07/1639 Chauvry (95) : Claud (sic) Desouches, fs Jehan Desouches et Susaine Auvray
p/m : Claud de Vallois (sic) filz de monsieur de Valoys (sic) Bourgeois de Paris, Jacqueline Hervé

Claude de Valois (fs Charles x Claude de La Morlière) et apparemment son oncle Claude Dardet (x Magdeleine de La Morlière), ont passé plusieurs actes notariés en l'étude du notaire parisien Mathurin Fournier, comme il appert du répertoire de ses minutes.
Source : AN, MC/RE/III/9 - Actes des 01/08/1631, 13/01/1636, 06/061637 et 10/06/1637, par devant Mathurin Fournier notaire au Châtelet de Paris. _ Constitution indemnité Claude de Valois Claude Dardet (transcrit Daudet) ; Offres ; Déclaration ; Bail.

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Joannes Van den Broecke
°~ 1675
+

x 16 avril 1708 Kortrijk (Belgique)
Maria Anna Descamps

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Pierre Sergent? X.
Jean BonfonsCatherine Sergent
Nicolas Bonfons
°~ 1546
Paris (Seine)
+07 mai 1626
Paris / St Christophe (Seine)

x1
?... Corrozet

x2 1571 {Cm du 06/05/1571}
Catherine Ruelle
Antoine Bonfons   Pierre Bonfons*  
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable homme; Bourgeois de Paris; Imprimeur-libraire juré à l'Université de Paris; Marguillier de la paroisse Sainte Geneviève des Ardents
Profession(s) : Marchand libraire et imprimeur
Note(s) : Nicolas Bonfons, libraire-imprimeur parisien, a exercé de 1572 à 1610. Il était le fils aîné de Jean Bonfons et de Catherine Sergent, fille de Pierre Sergent. Il obtint le titre de juré à l'Université de Paris. Mais d'abord. Nicolas Bonfons commença à exercer rue Saint-Jacques à l'enseigne de « la Charité ». A la mort de sa mère, Catherine Sergent, il reprend l'officine familaile à l'enseigne Sainct Nicolas, située rue " Neufve Nostre Dame " à Paris (cette rue située face à Notre-Dame a disparu en 1865 et elle est désormais englobée dans le parvis de la cathédrale ; son emplacement historique est marqué par des gros pavés de couleur claire).
Nicolas Bonfons épouse en premières noces la fille du libraire-imprimeur Gilles Corrozet, dont il réimprime l'ouvrage Les Antiquitez et Singularitez de Paris entre 1586 et 1588, en y apportant quelques modifications ; il sera actif jusqu'en 1610.
En 1571, il épouse en secondes noces, Catherine Ruelle, fille de défunt Jehan Ruelle également libraire-imprimeur. Son fils Pierre Bonfons continuera son activité. La marque de Nicolas Bonfons était constitué des « quatre Vertus, la Foy, l'Esperance, la Charité & la Force, avec un coeur dans le milieu, pour faire allusion à son nom, en signifiant qu'un coeur soutenu de ces quatre vertus à un bon fond, avec ce Passage de David, Proba me Deus & Scito cor meum ». Il signe souvent par N. B. Parisien.
Il sera aussi marguillier de la paroisse de Sainte Geneviève des Ardents.
Autres relations.
« En 1572, Nicolas Bonfons commence une très longue carrière qui ne s'achèvera qu'au siècle suivant ; il prend la suite de sa mère qui elle-même avait recueilli l'héritage de Jean (12). Il n'est donc pas étonnant que son premier exercice soit consacré pour une large part au genre narratif : réédition de Des Périers, de l'Histoire pitoyable du Prince Erastus, des Propos mémorables de Corrozet (13). Deux ans plus tard, en 1574, lorsque le livre de Du Roc Sort Manne voit le jour, la production s'est largement diversifiée : Belleau, l'Origine des dignitez de Vincent de La Loupe mais, fidélité au passé de la maison, les Figures de l'Apocalypse, le tome XIX d'Amadis et surtout, méritant étude, une nouvelle édition française des Faceties de Pogge sous le titre -- à rapprocher de celui de notre recueil -- de Comptes Facetieux (14). Cette curiosité pour le genre narratif bref ne connaît pas d'éclipse au cours des années suivantes : les Joyeuses Adventures (15) en 1575 et, en partage avec son beau-frère Ruelle, une réédition de la traduction de Belleforest des Hore. »
_____
12 -- Il n'existe pas encore de travail consacré au seul Nicolas mais l'on lira avec fruit le D. E. S. d'Arlette Destot place en usuel à la Réserve des Imprimés de la B. N., " Un libraire parisien au XVIe siècle, Jean Bonfons. Edition et littérature populaire " (Imp. -Lib. N 288 Ter). »
Source : Michel Simonin, " Histoire des genres narratifs : Mort de Jean Bergier et publication des Nouveaux récits ou Comptes moralisez ". In Bulletin de l'Association d'étude sur l'humanisme, la réforme et la renaissance, 1980, Vol. 12, p. 42-43.
Source Internet : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhren_0181-6799_1980_num_12_1_1192

« Venons-en à l'édition de 1601. Gabriel Laplagne montre comment Nicolas Bonfons, le père de Pierre Bonfons, avait l'habitude de signer ses propres ouvrages " N. B. Parisien ", que son fils était lui-même auteur, qu'il lui arrivait de signer en toutes lettres " Pierre Bonfons, Parisien ", et que la préface du Lazarille de Tormes présente de remarquables ressemblances avec d'autres préfaces de Pierre Bonfons (BBn, réf. cit., p. 71). Nous croyons très plausible que " M.P.B. ", c'est-à-dire le traducteur de cette édition de Lazarille de Tormes, soit l'éditeur lui-même : Pierre Bonfons.
Quoi qu'il en soit, compte tenu des différentes attributions probables, certains aspects doivent être signalés. Si l'oeuvre est de la main de Pierre Bonfons -- jeune traducteur encore en 1601 ---, on comprend mieux son " Avertissement " au lecteur où il s'excuse des maladresses propres à un apprenti... »
Source : José Manuel Losada-Goya, " Bibliographie critique de la littérature espagnole en France au XVIIe siècle : présence et influence ". Genève : Droz , Collection : Travaux du grand siècle, 1999, p. 60.

Nicolas Bonfons fut aussi marguillier de l'église [et fabrique] Sainte Geneviève des Ardents.
22 juillet 1580. ù L'Eglise Sainte-Geneviève-des-Ardents, représentée par Michel Le Febvre et Nicolas Bonfons [libraire], marguilliers, donne à bail à Robert Le Mangnier, libraire, la maison de l'image Saint-Jean-Baptiste, rue Neuve-Notre-Dame, contiguë aux héritiers d'Henri Paquot [libraire, la Rose-Rouge], et donnant par derrière sur la cour de l'église ; salle basse, boutique, chambres et greniers. Loyer de 40 écus soleil; bail pour 9 ans à partir de Noël prochain. (Arch. Nat., S 3342.)
12 mai 1609. ù Claude Gaudemart, bourgeois de Paris, passe titre nouvel pour la maison de la Croix-de-Fer, rue des Orties, qu'il a acquise de Nicolas Bonfons, libraire. (Arch. Nat.,
S 1858.)
8 mai 1617. ù Honorable homme Nicolas Bonfons, marchand bourgeois de Paris, à cause de Catherine Ruelle, sa femme, donne reçu à [le nom en blanc], de 3 livres, 6 sols, 8 deniers tournois, faisant le tiers de 20 livres de rente constituées à Charlotte Guillard [imprimeur], le 12 janvier 1537. (Signet manuel). (Bib. Nat., Pièces orig., vol. 405.)
Source : Philippe Renouard, " Documents sur les imprimeurs, libraires, etc., ayant exercé à Paris de 1450 à 1600 ". Paris : H. Champion, 1901, p. 18 et 163.

Nicols Bonfon (sic) est allé de vie à trépas le 7 mai 1626, à Paris, paroisse St Christophe (acte no 1), et fut inhumé le samedi 9 dans l'église de Ste Geneviève des ardents, du côté droit.
« Le 7 ai 1626 , est allé de vie à trépas honor. homme Nicolas
Bonfon , âgé de 80 ans , lui vivant m(archan)d imprimeur-libraire ,
juré en l'université de Paris , a été inhumé le samedi 9 dans le
choeur de l'église de Ste Geneviève des ardents , du côté droit . requi.
in pace . St Christophe no 1 . »
Source : BnF, Fichier Laborde 16 - Lettre Bol-Borde (fiche 6136).

Il appert par l'inventaire après décès de Magdelaine Le Piat, femme de Pierre Bonfons, son fils, que Nicolas Bonfons est décédé à Paris, rue Neuve-Notre-Dame (paroisse St Christophe), dans une maison où pendait l'enseigne St Nicolas.
Source : AN, MC/ET/LXXXIV/109 - Acte du 23/10/1620, dressé par Thomas Vassetz notaire au Châtelet de Paris (voir in Notice biographique de Magdeleine Le Piat, femme de Pierre Bonfons).


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Jean Bonfons
°
+1568
Paris (Seine)

x
Catherine Sergent
Nicolas Bonfons*   Catherine Bonfons  
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
Profession(s) : Imprimeur et libraire
Note(s) : Jean Bonfons, imprimeur et libraire depuis 1543, épouse Catherine, la fille de Pierre Sergent et devient son successeur en 1547. Il restera en activité jusqu'en 1566. A sa mort, en 1568, c'est sa veuve Catherine Sergent qui reprend l'activité de l'officine jusqu'en 1572, date à laquelle son fils Nicolas Bonfons lui succéda juqu'en 1623 au moins.

13 octobre 1543. _ Jean Bofon (sic) libraire, habitant la paroisse Sainte Geneviève des Ardents, voyez FAULCHER.
11 juillet 1552. _ Jean Bonfons, libraire, est autorisé à faire construire un perron en pierres de taille devant la porte de sa maison, appelée la Tour Rolland, donnant d'un côté sur la Seine, de l'autre sur la Place au charbon. Les grandes eaux d'hiver empêchaient l'accès à la maison (Arch. Nat., Q/ I 1099/197 C, fo 121.)
18 octobre 1560. _ Jean Bonfonds, libraire, et Catherine Sergent, sa femme, reçoivent de Jean Guidon, fripier, et de Marie Bizart, sa femme, donation de leurs droits sur : 1) la maison de la Tour Rolland, 2) la maison des Trois pas de degrés, rue Froimanteau, 3) la maison de la Croix de fer, près Saint Nicolas du Louvre, 4) la maison du Mûrier, rue Frépault, 5) des terres à Louvres en Parisis (Arch. Nat., Y 102, fo 32 v°.)
De nombreux actes relatifs à ces immeubles sont donnés par MM. le baron Pichon et Vicaire.
21 septembre 1562. _ Nomination de Jean Bonfons [libraire] comme tuteur des enfants mineurs de feu Vincent Sertenas [libraire] et de Jeanne Bruneau : Catherine, âgée de 15 ans, Marguerite, de 8 à 9 ans, Jean, de 7 à 8 ans, et Vincent de 18 mois. Le conseil de famille se compose de Jeanne Bruneau, mère ; Jean Bonfons [libraire], oncle paternel ; Gilles Robinot [libraire] et Thomas Biétrix [tailleur], beaux-frères paternels ; Gillaume de La Croix; cousin maternel à cause de sa femme (Arch. Nat., Y 5250, fo 45 v°.)
11 mai 1568. _ Marie Bizart, veuve de Jean Guesdon, maître fripier, Claud Bizart, veuve de Nicolas Jacqueminet, maître tailleur d"habits, Catherine Sergent, veuve de Jean Bonfons, libraire, bourgeois de Paris, passent titre nouvel pour la maison de la Croix de fer, rue de Seine, contiguë à l'église Saint Thomas du Louvre. (Arch. Nat., S 1858.)
Source : Collectif, " Documents sur les Imprimeurs, libraires ". Genève : Slatkine, p. 18 et autre (voyez Sertenas) pour l'acte du 21/09/1562.

Occurrence ; Bonfon (acte de baptême de sa fille Catherine, à Pontoise / Notre Dame.

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Gilles CorrozetMarie Harelle
?... Corrozet
°
+

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Nicolas Bonfons

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Gilles Corrozet
°04 janvier 1510
Paris (Seine)
+04 juillet 1568
Paris (Seine)

x1
Marie Harelle
?... Corrozet 

x2 < 19/02/1563
Catherine Cramoisy
Galiot Corrozet 
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
Profession(s) : Ecrivain; Marchand libraire-imprimeur
Note(s) : « Gilles Corrozet (1510 - 1568, Paris) est un écrivain et imprimeur français.

Il est entré dans la librairie pour y publier ses propres ouvrages. Sa marque (une rose dans un coeur accompagnée de cette devise tirée du livre des Proverbes : In corde prudentis requiescit sapientia) se retrouve sur de nombreux textes importants de l'époque : Clément Marot, Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Pierre Belon. Veuf de premières noces de Marie Harelle, il épousa Catherine Cramoisy, qui appartenait à une famille de libraires célèbres. Deux de ses fils exercèrent la même profession que lui. Sa fille épousa le libraire-imprimeur Nicolas Bonfons qui ré-imprima son ouvrage Les Antiquitez et Singularitez de Paris entre 1586 et 1588, en y apportant quelques modifications.

Dès 1535, à vingt-cinq ans, on le trouve établi libraire et il publie une nouvelle édition des Antiques érections des Gaules. Comme beaucoup de confrères, il tient boutique dans la Grande salle du Palais. Ce fut le rôle de trois imprimeurs, Denis Janot, Étienne Groulleau et Gilles Corrozet, de répandre à profusion, sous un format commode, de petits textes classiques ou des livrets abondamment illustrés. Leurs vignettes élégantes et spirituelles, transmises ou copiées d'atelier en atelier, interprétées par les ciseleurs, les peintres verriers, les émailleurs et les faïenciers, contribuèrent pour une grande part à fixer les nouvelles formules décoratives au XVIe siècle. »
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Corrozet

Lacaille, p. 10 de " l'Histoire de l'imprimerie, etc. ", reproduit les épitaphes de Corrozet et de Marie Harelle, sa femme, qui se lisaient dans l'église des Carmes de la place Maubert.
Epitaphes relevées par Aubin Louis Millin, " Antiquités nationales, ou recueil de monumens, etc. ". Paris : Drouhin, 1792, t. IV, p. 44.

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