Profession(s) : Mercière (probable)
Note(s) : Occurrence : Harelles (Epitaphe)
Carmes de la place Maubert. Epitaphium.
Cy dessous repose le corps de MARIE HARELLES , jadis femme
de Gilles Corrozet , laquelle décéda le 4e. jour de mai , l'an
de grâce 1562.
Source : Aubin Louis Millin, " Antiquités nationales, ou recueil de monumens, etc. ". Paris : Drouin, 1792, t. IV, p. 44.
Autre version (:reprise par Jean-Pierre Nicéron, " Mémoires pour servir à l'histoire des hommes illustres, etc ". Paris : Briasson, M. DCC. XXXIII. (1733), p. 151)
Cy dessous repose le corps de MARIE HARELLE, iadis
Femme de GILLES CORROZET, laquelle deceda le qua-
trième iour de May 1592, par ladite misericorde de Dieu l'âme
soit en Paradis.
Source : Rev. T. F. Dibbin, " The bibliographical Decamon, etc. ". London, W. Bulmer & Co., 1817, Vol. II, p. 71.

Profession(s) : Lingère
Note(s) : 19 février 1564 (n. st.). _ Gilles Corrozet, libraire, et Catherine Cramoisy, sa femme, propriétaires d'un banc au Palais, au premier pilier devant la chapelle de la grand'salle (ARch. Nat., Y 105, fo 19 v°.)
29 juillet 1567. _ Catherine Cramoisy, femme de Gilles Corrozet, libraire, fille de Philippe Carmoisy [drapier] et de Catherine Bérangeon [alias Béranjon] , sa femme, fait donation à Jeanne Cramoisy, sa soeur (Arch. Nat., Y 108, fo 173.)

Note(s) : « Pierre Sergent est un libraire et imprimeur français du XVI siècle qui a exercé de 1533 à 1547. Il a repris l'enseigne « Sainct Nicolas » de Jehan Sainct-Denys à la mort de sa veuve, Claude. Cette enseigne était située rue Neufve Nostre Dame à Paris (cette rue située face à Notre-Dame a disparu en 1865 et elle est désormais englobée dans le parvis de la cathédrale, son emplacement historique est marqué par des gros pavés de couleur claire).

Outre l'enseigne, Pierre Sergent a également repris le quatrain qu'utilisait Jehan Sainct-Denys :

Enseigne moy mon dieu
Que ton vouloir ie face
Tat que au céleste lieu

Jehan Sainct-Denys explotait l'enseigne Sainct Nicolas en association avec Jehan Longis, Pierre Sergent continuera cette association jusqu'en 1540. Certains livres font apparaître les nom des deux associés, tandis que d'autres utilisent uniquement l'un des deux noms. Certaines publications portent même la marque de Jehan Sainct-Denys en 1533 et jusque en 1537 ».
Source : http://fr.goldenmap.com/Pierre_Sergent_%28imprimeur%29

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
Profession(s) : Libraire, puis libraire-imprimeur à partir de 1554
Note(s) : Occurrence latine : Ruellius, Joannes. N'imprime qu'à partir de 1554. Sa veuve Geneviève Boisset lui succède...

A notamment publié :
Auteur : Ruscelli, Girolamo
Titre long : Epistres des Princes, lesquelles, ou sont addressees aux Princes, ou traittent les affaires des Princes, ou parlent des Princes. Recueillies d'Italien par Hieronyme Ruscelli, & mises en François par F. de Belle-forest, Commingeois.
Adresse typograhique : A Paris, par Jean Ruelle Libraire, demeurant en la rue saint Jaques, à l'enseigne saint Jerosme, 1572.

Devise(s) : Quaere adolscens, utere senex. In pace ubertas
Dates d'exercice : 1538-1571 ; En la rue Saint-Jacques, à l'enseigne de la Queue de renard ; à l'Image / l'enseigne Saint Nicolas.

18 juillet 1549. ù Jean Ruelle, marchand libraire et bourgeois de Paris, est ensaisiné pour un demi-quarteron de vignes à Massy, lieu-dit les Sablons, acheté le 18 février précédent, pour 15 l. t., à Pierre de Laistre, libraire à Paris, et à Geneviève Grancher, sa femme, qui en était propriétaire en vertu du testament de feu Jean Grancher (Arch. Nat., S 2173, fo 7 v°.)
22 mai 1565. ù Jean Ruelle, libraire, bourgeois de Paris, poursuit les vente et criée d'une maison rue du Mirouer, à Gentilly, appartenant à noble homme Julien Bouju, pour 15 l. t. de rente qui lui sont dus en vertu d'une obligation du 20 septembre 1563 (Arch. Nat., Y 3466, fo 52.)
27 juin 1566. ù Jean Ruelle, libraire, en vertu d'un transport de Jacques Thavenot , marchand à Troyes, poursuit les vente et criée du quart de la maison des Sagittaires, rue de la Juiverie, appartenant à Philibert Gentien et Ysabeau Eustace sa femme. Le 23 novembre 1566 la maison est mise aux enchères et lui est adjugée pour 300 l. t. (Arch. Nat., Y 3467, fo 264.)
13 août 1569. ù Jean Ruelle, marchand libraire imprimeur, par transport de François Le Gendre [marchand] et d'Alizon Maheu sa femme, poursuit les vente et criée de la maison de l'image Saint-Nicolas, rue Saint-Jacques, appartenant à Jean Ducloz, bonnetier, et Huguette Maheu sa femme, pour 18 l. t. restant de 60 l. t. dues en vertu d'une obligation du 30 décembre 1568 (Arch. Nat., Y 3469, fo293.)
Source : Philippe Renouard, " Documents sur les imprimeurs, libraires, etc., ayant exercé à Paris de 1450 à 1600 ". Paris : H. Champion, 1901, p. 250-251.

Note(s) : 30 juin 1574. ù Geneviève Boisset, veuve de Jean Ruelle, libraire, demeurant rue Saint-Jacques, vis-à-vis Saint-Benoît, achète pour 500 l. t. le quart d'une maison, rue de la Juiverie, à l'enseigne des Sagittaires, dont elle possède déjà une partie ; entre les Quatre-fils-Hémon et la Roue-de-Fer, contiguë par derrière au Château. (Arch. Nat., S 1653, fo 187, 3e série.)
28 mai 1575. ù Geneviève Boisset, veuve de Jean Ruelle, libraire, comme tutrice de ses enfants mineurs, et Etienne Maheut, archer du guet à cheval, passent titre nouvel pour la maison des Sagittaires, rue de la Juiverie, entre la maison des Quatre-fils-Emon, à la veuve de Jean de Bénigne, et la maison de la Roue-de-Fer, à Jacques Fiesfé, orlogeur, tenant par derrière à la maison du Château. (Arch. Nat., S 1085 A.)
4 septembre 1577. ù Titre nouvel passé par Geneviève Boissel, veuve de Jean Ruelle, libraire, en son nom et à celui de ses enfants mineurs, de la maison de l'image Saint-Nicolas, rue Saint- Jacques, achetée pour un quart par Jean Ruelle, le 25 mai 1554, à Vincent Bagres, marchand au faubourg Saint-Jacques, et Nicolle Maheu, sa femme, pour 27 l., 3 s., 4 den. de rente; pour un autre quart, le 1er décembre 1569, au Châtelet, pour 450 l. t. ; pour la seconde moitié, le 18 novembre 1570, au Châtelet, pour 750 l. t. (Arch. Nat, Q 1 1099/206 B, fo 8.)
8 novembre 1602. ù Geneviève Boisset, veuve de Jean Ruelle, libraire, fait donation à René Ruelle, libraire, d'une maison rue Saint- Jacques, à l'enseigne Saint-Nicolas, et d'une rente. (Arch. Nat., Y 141, fo 265 v°.)
6 septembre 1603. ù Titre nouvel passé par Geneviève Boisset, veuve de Jean Ruelle, pour la maison de l'image Saint-Nicolas, rue Saint-Jacques. (Arch. Nat, Q 1 1099/207, fo 65 v°.)
Source : Philippe Renouard, " Documents sur les imprimeurs, libraires, etc., ayant exercé à Paris de 1450 à 1600 ". Paris : H. Champion, 1901, p. 251-252.

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Curé d'Antony

Profession(s) : Marchand drapier

Profession(s) : Libraire-imprimeur
Note(s) : René Ruele était libraire rue Saint Jacques à Paris.
Voir, Les cris de Paris que l'on crie journellement par les rues de ladite ville (...).
Paris, R. Ruelle, 1613, in-24, 80 p. (BHVP 8° 1803 (3)).

 

Profession(s) : Maître quincailler

Note(s) : 13 octobre 1576. _ Nicolas Bonfons, marchand libraire, Claude Bizart, veuve de feu Nicolas Jacques (sic, pour Jacqueminet), Jehan Racine à cause de Catherine Bonfons, sa femme, louent à Nicolas Gontier, porteur de bled, une maison, rue Fromentel, autrement appelée les trois pas de degrés contenant : corps d'hôtel, cour, puits et jardin, tenant d'une part aux offices du Louvre, pour 6 ans, à 86 l. par an. (Arch. de Cothereau, not. au Châtelet de Paris.).
14 mai 1584. _ Nicolas Bonfons, libraire, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve Notre Dame, en son nom et comme procureur de Claudine Bizart, veuve de Nicolas Jacqueminet, tailleur d'habits, et Jean Racine, maître quincailler, demeurant sur le pont Saint Michel, passent titre nouvel pour la maison de la Croix de fer, rue de Seine (Arch. Nat., S 1858.).

Profession(s) : Marchand libraire et imprimeur

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024