Note(s) : Signe au contrat de mariage de son neveu Jean Leroux [x Marie Oriot].
Source : AD 95, 2 E 8/53 - Acte du 25/11/1685, par devant Estienne Romaru notaire à Auvers-sur-Oise. _ Contrat de mariage entre Jean Leroux et Marie Oriot.

 

 

 

 
Sosa : 28932, 14964, 15348

Note(s) : Il appert, par un acte notarié, que Charlotte Garnier ait été sa mère (voir lin Notice biographique de Charlotte Garnier).

 
Sosa : 28933, 14965, 15349

Note(s) : claude romaru le jeune, tonnelier (en marge)
claude romaru ensaisiné pour soixante perches de terre lieu dit le
bray tenant dun costé a mellon dauvray , dautre aux hoirs maclou
bouillette dun bout au sr l'huillier acquises de catherine boucher
veufve de claude romaru le 4e avril MVI cents par devant hubert
boucher tabellion dauvers pour les ventes quatre francs...

Source : Archives Nationales : Auvers - Ensaisinements, S. 2458.

La filiation de Katherine Boucher est attestée par un acte notarié, ce indirectement par le biais de son mari Claude Roumaru, qui est dit gendre du père d'une future épouse.
Source : AD 95, 2 E 11/36 - Acte du 17/02/1563, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage : Christofle Cochegrue laboureur demeurant à Valmondoys, et Jacques Cochegrue son fils d'une part, et Michel Boucher laboureur demeurant à Auvers, et Jehanne Boucher sa fille & de feue Susanne Barnay sa femme d'autre part, lesquelles parties reconnaissent avoir fait et font entre elles traités, accords et convenances matrimoniales qui s'ensuivent ; c'est à savoir que lesdits Jacques Cochegrue et Jehanne Boucher - de l'autorité de leurs dits pères et en la présence & par l'avis de Jehan Boucher laboureur demeurant à Verville, fils dudit Michel, et de Claude Roumaru gendre d'icelui Michel, et maître Godegran Cochegrue prêtre demeurant audit Valmondoys, vicaire dudit lieu, fils dudit Christofle, présents - ont promis prendre l'un l'autre par lien de mariage, etc.

 

Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Signe " Barnabé Cherouyse " avec paraphe aux acte notariés.
Source : AD 95, 2 E 10/41 - Acte du 12/11/1629, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Continuation du paiement d'une rente annuelle et perpétuelle de 6 livres 5 sols tournois, payable le 7e jour de décembre, par Jean Romaru vigneron demeurant a Auvers à cause de Denise Oriot sa femme, (Lyenard Oryot -> biffé) Barnabé Chérouise laboureur demeurant audit lieu au nom et comme tuteur de Estienne et Jeanne Oryot enfants mineurs de défunt Ysaacq Oryot et de Françoise Cherouise leur père et mère, Noël Oryot vigneron demeurant audit lieu au nom et comme curateur de Launard (sic, pour Leonard) Oriot et Charlotte Oriot enfants desdits défunts Ysaacq Oriot et de ladite Cherouise, à ce présents, par laquelle ledit Noël Oryot sera tenu faire ratifier le contenu en ces présentes et « la faire dabondant obliger au payement et continuation de la rente cy apres déclarée quant requis en sera », et Anthoine Blanchart dudit état et lieu au nom et comme tuteur de Françoys et Marie Blanchart enfants mineurs de défunt Pry Blanchart et de Françoise Chérouise sa femme leur père et mère, tous lesdits Jean Romaru et lesdits mineurs héritiers de ladite défunte Françoise Cherouise leur mère, -- à Magdeleine Dunesme, fille de feu honorable homme maître Charles Dunesme vivant avocat en parlement demeurant à Pontoise, et de Fleurance Terrier ses père et mère, etc.

Source : AD 95, 2 E 15/65 - Acte du 15/01/1637, par devant François Turpin notaire à Pontoise. _ Titre nouvel de rente : Barnabé Chérouise laboureur demeurant à Auvers et Catherine Lemoine sa femme, ladite femme autorisée de son mari pour faire ce qui ensuit, et encore comme tuteurs et eux faisant et portant fort des enfants mineurs d'ans de ladite Lemoine et de Pierre Romaru fils de Claude / Jacques Boucher laboureur de vignes demeurant à Auvers, fils de Jacques, comme ayant épousé Nicolle Romaru fille héritière en partie dudit défunt Pierre Romaru ; lesquels susnommés « esdits noms » et comme ayant pris, de Jehan Cuvernon drapier demeurant à Ponthoise, à titre de quarante trois livres dix sols tournois de rente par an, une maison se consistant en cinq espaces de logis, grange, étables, cour, jardin, le tout contenant quatre vingt perches ou environ, sis à Auvers en la grande rue ou parquet, tenant d'un côté au prieur d'Auvers, d'autre côté Estienne Bouché, d'un bout par en bas la ravinière, et d'autre bout la rue ; Item de cinq quartiers ou environ de vignes, sis audit terroir et même lieu au-dessus de la maison, tenant d'un côté Estienne Bouché, d'autre côté monsieur Léger, d'un bout Noël Pinot, et d'autre bout la rue ; Item quatorze perches de vigne, sis lieu-dit " sur le moutié ", tenant d'un côté aux hoirs Nicolas Romaru, d'autre côté Jehan Laurence à cause de sa femme, d'un bout l'église d'Auvers, et d'autre bout aux hoirs Blaize Leschauguette et autres, et de tous les héritages obligés par ledit défunt, par le contrat de création d'icelle rente + \ (en marge) + datée du (blanc) /, qu'ils reconnaissants ont promis maintenir en bon état et bien entretenir ; sur tous et chacun leurs biens et héritages ils sont débiteurs et s'obligent les reconnaissants seul pour le tout sans division « ne discution », renonçant au bénéfice de division et de fidéjussion, de paier et continuer dorénavant par an, le jour St Martin d'hiver, à l'avenir à toujours, à l'oeuvre de l'église monsieur St Pierre de Ponthoise, ce acceptant par Nicolas Turpin receveur d'icelle église, la somme de quarante trois livres dix sols de rente foncière, de la nature qu'elle est, comme étant ladite église aux droits dudit Jehan Cuvernon ; tenus les reconnaissants de délivrer en forme ces présentes à leurs dépens, si comme promettant /) obligeant solidairement biens par les reconnaissants /) renonçant ; passé à Ponthoise le XVe janvier mil six cent trente sept, scellé

 
Sosa : 14526, 14542, 29198, 29426, 29618, 29682, 15026, 30450

Profession(s) : Vigneron
Note(s) : Prénommé Michault, anc. forme vocalisée de Michel (acte de baptême de ses fils Jehan et Anthoine)
b27/05/1575 Auvers : Guillaume Videcoq, fs + Guillaume Videcoq et Charlotte Périer
p/m : Liénart Olivet fs Pierre et Michel Périer, Tassine Aubert femme de Jehan Auferay

Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 8/4 - Acte du 10/061620, par devant Jehan de Jouy notaire et tabellion à Auvers-sur-Oise. _ Donation entre vifs : fut présent en sa personne Michel Périer vigneron demeurant à Auvers ; lequel considérant son ancien âge et la faiblesse et débilité de sa personne, et que dorénavant il ne pourrait pas peiner ni travailler et gagner sa vie comme il a fait le temps passé, désirant pourvoir à sa vie, état et nécessité « et soy occuper » dorénavant à servir dieu pour le salut de son âme, et se confiant à pleines personnes de Hiérosme Oriot son gendre et Jehanne Périer sa femme, fille dudit Michel, demeurant audit Auvers, qui toujours l'ont secouru et fait plusieurs services, plaisirs et douceurs et curialités ; pour ces causes icelui Michel Périer, de son gré, confesse « soy estre » donné et rendu, donne et rend avec tous ses biens, meubles, créances, héritages, rentes, revenus et possessions quelconques, fonds propres ou conquêts présents et à venir sans en rien excepter, retenir ni réserver, en pur et vrai don perpétuel et irrévocable fait entre vifs dès maintenant à toujours, sans rappel audit Hiérosme Oriot et sa dite femme, présents, prenant et acceptant pour eux, leurs hoirs, en les constituant par ledit Périer desdits biens, meubles, dettes et créances, vrais acteurs, et desdites rentes, héritages, possessions, immeubles, seigneur propriétaires et possesseurs pour en jouir ; ces présentes donation, reddition, cession et transport fait moyennant ce que lesdits mariés seront tenus et promettent quérir audit Michel Périer beau père dudit Hiérosme Oriot et père de ladite Périer sa femme, durant le cours de sa vie, boire, manger, feu, lit, hôtel, lumière, « vesture chausseure », draps, linge, lange, généralement toutes ses nécessités bien et honnêtement selon son état et en la sorte qu'il a été entretenu le temps passé, et le faire « pencer » sain et malade jusqu'à l'heure de son trépas, le faire enterrer honorablement et faire prier dieu pour le repos de son âme, et comme il verront qu'il conviendra équitablement faire, car ainsi a été accordé entre les parties, « Cy comme promettans obligeans biens Renonceans » ; ce fut fait et passé audit Auvers ès présence de Jacqu(s) Dupré et Quentin Le Grand, témoins demeurant audit Auvers

 
Sosa : 14527, 14543, 29199, 29427, 29619, 29683, 15027, 30451

 

Note(s) : Née le 24? janvier 1579

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Prêtre aumonier de la duchesse de Longueville
Note(s) : Signe " Le Moine " avec paraphe, à son testament olographe en 1644 et à son testament devant notaire en 1647.
« Nicolas Lemoine dont la plaque funéraire est conservée dans l'église (d'Auvers), était le fils de P. Lemoine de Butry; il fut confesseur de la duchesse douairière de Longueville (1), après la mort de laquelle il revint à Auvers, où il mourut le 29 septembre 1647, âgé de soixante-neuf ans. »
(1) Madame la duchesse de Longueville était Anne Geneviève de Bourbon, súur du Grand Condé)
Source : Henri Mataigne, " Histoire de la paroisse et de la commune d'Auvers ", p. 173.
NB : Toutefois il y a une erreur de la part d'Henri Mataigne, car le père de Nicolas Lemoine est Anthoine Lemoine et sa mère Hectore Caffin. Ce que confirme son testament.
Source : AD 95, 2 E 10/319 - Testament olographe du 02/12/1644 approuvé par l'acte qui suit du 16/09/1647, fait à Auvers par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Testament de vénérable et discrète personne messire Nicolas Le Moyne, prêtre, aumônier de madame la duchesse de Longueville, demeurant à Auvers, lequel estoit en son hostel au lict malade de son corps, sain d'esprit et entendement.

Le 24 septembre 1619, Nicolas Le Moyne prend possession du prieuré cure d'Auvers (succédant à Adrian Guinet), qu'il délaisse aussitôt pour le temps qu'il lui plaira à Pierre Chérouise prêtre vicaire dudit Auvers, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AD 85, 2 E 8/3 - Acte du 24/09/1619, par devant Jehan de Jouy notaire et tabellion à Auvers-sur-Oise. _ Accord : fut présent « dicrette personne Maistre » Nicolas Le Moyne « prebsre prieur Curé nostre dame dauvers vicariat de ponthoise », et maître Pierre Chérouise prêtre demeurant audit Auvers, auquel le sieur Le Moyne a délaissé entièrement la charge de déservir le prieuré cure dudit Auvers In divinis, tant et si longuement qu'il plaira audit sieur Le Moyne, ce que ledit sieur Chérouise aurait volontairement accepté et promis d'icelle charge bien et dûment déservir, faire les fonctions requises et nécessaires en telle sorte que le divin service y puisse être fait et accompli, et généralement toutes autres charges car ainsi a été accordé entre eux, le tout suivant la prise de possession ce jourd'hui faite d'icelui prieuré cure d'Auvers par ledit sieur Le Moyne, « Cy Comme promettans /) obligeans biens /) Renonceans ; ce fut fait et passé audit Auvers ès présence de François Hauvis et Louis de Jouy, temoins demeurant audit Auvers

 

 

Note(s) : b23/02/1598 Hérouville : Franscoyse Caffin, fa Jehan et Guilette (sic) Hedlinne
Guillemette Le Moyne, fa Anthoine, marraine de Fransçoise Caffin, fa Jehan Caffin et Guilette Hedlinne
p/m : Franscois Fremont, Line Bouticourt laquelle a donné le nom & Guillemette fille de Anthoine Le Moyne
L'acte de son mariage, avec Gabriel Pajot, est consigné dans le RP de Chauvry en date du « dernier juing mil six cens deux... » ; lequel mariage fut célébré à Auvers...
Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/93 - Acte du 24/05/1622, par devant Jehan Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente, cession et transport faits par vénérable et discrète personne Maître Nicolas Le Moyne, prêtre demeurant à Auvers, Quantin Le Moyne laboureur demeurant à Buthry (sic) paroisse dudit Auvers, Gabriel Pajot laboureur demeurant à Chauvry, Guillemette Le Moyne sa femme, Denis Romaru laboureur demeurant à Auvers, Charlotte Le Moyne sa femme, Barnabé Chérouise dudit état demeurant audit Auvers et Catherine Chérouise sa femme, etc., -- à honnête personne Nicolas Caffin marchand et laboureur demeurant au château de Valmondoys, présent, acheteur ; c'est à savoir une maison, cour, granges, étables, jardin planté en arbres fruitiers et autres, clos de hayes vives de toutes parts, contenant environ cinq quartiers, le lieu ainsi qu'il s'étend et comporte de toutes parts et de fond en comble, assis au village dudit Valmondoys près le château dudit lieu, tenant d'un côté et des deux bouts à monseigneur « ladmiral », d'autre côté à Pierre De Milly, la veuve Jehan Cochegrue et autres, etc. ; aux dits les Le Moyne appartenant ce que dessus vendu, de leur propre comme ils ont dit, etc. ; cette « vendition », cession et transport faits à la susdite charge de cens et rentes seigneuriales que ledit vendeur acquitera à l'avenir, même à la charge que ledit acheteur sera tenu acquiter lesdits vendeurs de la somme de trois cent livres tournois, que lesdits vendeurs -\ comme héritiers de feux Anthoine Le Moyne et Hectore Caffin, père et mère desdits vendeurs -/ doivent par chacun an le moyen donné, aux héritiers feu Maître (blanc) Libo, notaire royal au Châtelet de Paris, et pour eux en faire le rachat et amortissement, et outre moyennant la somme de trois cent livres tournois en quoi ils se sont trouvés redevables vers ledit acheteur par le compte qu'ils ont fait ce « Jourdhuy », tant ensemblement de toutes les affaires que ladite défunte Hectore Caffin eut affermée avec ledit acheteur, tant pour argent présent que pour le contenu en une obligation montant (à) neuf vingt (9 x 20 = 180) livres tournois, dont restaient à payer cent cinquante livres, datée du XXXe janvier mil six cent passé, par devant Jacob Le Vasseur, présentement rendue aux dits vendeurs dont content, quittant le tout, argent franc aux dits vendeurs, et six livres tournois au vin du marché, payés en dépense, etc.

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024