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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Monfort, Boscotru, Valrhumbert, La Minière; Conseiller au Parlement de Normandie en 1765
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Note(s) : Occurrence : Desmollières (acte de son mariage)
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Laumondière
Note(s) : Prénommé Robert Georges : « au 4e degré, Marie Anne Thérèse des Mollières de la Mondière, fille de Robert Georges et de Françoise Le Portier du Saussay (Bulletin du CGHN, 7) »
Source : G. d'Arundel de Condé, Les anoblis par charge en Haute-Normandie de 1670 à 1790 ". Paris : P. Du Puy, 2006, p. 65.
« Robert des Mollières de Laumondière époux de Françoise Le Portier du Saussay, sa cousine germaine. »
Source : Emile Boissais, " Binot Paulmier dit le capitaine de Gonneville, commandant le navire L'Espoir, 1503-1505 ; ses origines - son voyage - sa descendance ". Caen : H. Delesques, 1912, p. 5.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Sieur de Laumondière; Chevalier de l'ordre militaire de Saint-Louis; L'un des 200 chevaux-légers de la Garde du Roi (1698), puis l'un des 8 sous-brigadiers de la compagnie des chevaux-légers de la Garde du Roi Louis XV en 1722, puis l'un 4 brigadiers de cette même compagnie en 1727.
Note(s) : Occurrences : des Molières, Desmollières (dispenses de bans en 1698 et en 1716)
Sous brigadier des chevaux-légers de la Garde du Roi.
Source : Père Simplicien, " L'Etat de la France, contenant les Princes, le Clergé, les Ducs & Pairs (...) Avec les noms des Officiers de la Maison du Roy, leurs, fonctions, gages & Privileges ". Paris : Cie des libraires associés, 1722, t. II, p. 121.
Brigadier des chevaux-légers de la Garde du Roi.
Source : Père Simplicien, " L'Etat de la France, contenant les Princes, le Clergé, les Ducs & Pairs (...) Avec les noms des Officiers de la Maison du Roy, leurs, fonctions, gages & Privileges ". Paris : Cie des libraires associés, 1727, t. II, p. 144.
Dispense de bans pour son premier mariage en 1698.
« 253. -- Le 3 février 1698, vu l'attestation du s(ieu)r Pélerin, curé d'Orbec, et du s(ieu)r du Rouvray, curé de N. D. d'Aulnay, dispense de bans pour le mariage entre Jean Desmollières, l'un des deux cents cehevaux-légers de la garde du Roy, fils de feu Me Charles Desmollières, avocat, et de dam(oise)lle Marie Paulmier, de la parr(oisse)de N. D. d'Aulnay, d'une part, et dam(oise)lle Elisabeth Agnès Advenel, fille de M(essi)re Isule Advenel, s(ieu)r de la Monnaye, cons(eill)er du Roy, et lieutenant particulier en la vicomté d'Orbec, et d dam(oise)lle Françoise de Mailloc, de lad(ite) parr(oisse) d'Orbec. »
Source : Léopold Ferdinand Désiré Piel (Abbé), " Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l'ancien diocèse de Lisieux (1692-1790) ". Lisieux : Impr. E. Lerebour, 1892, t. I, Registre IV, n° 253, p. 288.
Autre relation faisant état d'une blessure à la jambe, au combat d'Oudenarde (Audenarde / Oudenaarde, en flamand : bataille de la guerre de sucession d'Espagne qui eut lieu aux abords de la ville flamande du même nom, en Belgique, le 11 juillet 1708. L'armée française du duc de Vendôme y fut battue par les impériaux du Prince Eugène et les Anglais du duc de Marlborough).
« 9957. MOLIÈRES (Jean des), seigneur de Laumondière, chevalier de Saint-Louis et sous-brigadier des chevaux-légers de la garde, fut dangeureusement blessé d'un coupde fusil à la jambe au combat d'Oudenarde en 1708. »
Source : François Louis D'Hozier, " L'impôt du sang ou la noblesse de France sur les champs de Bataille ". Publié par Louis Paris. Paris : Cabinet historique, et L. Techener, 1876, t. II, 2e partie, p. 263.
Dispense de bans pour son second mariage en 1716.
« 448. -- Le 5 février 1716, vu l'attestation du S(ieu)r de Lange, curé de Meulles, et du s(ieu)r Rouvray, curé de N. D. d'Aulnay, dispense de bans pour le mariage entre Jean Desmollières; Esc(uie)r , s(ieu)r de la Mondière, sous-brigadier de la compagnie de deux cents chevaux-légers de la garde du roi, chevalier de l'ordre ilitaire de St Louis, fils de feu M(essi)re Charles Desmollières, s(ieu)r de la Mondière, avocat, et de dam(oise)lle Marie Paulmier, demeurant à N. D. d'Aulnay, d'une part, et dam(oise)lle Marie-Françoise Le Portier, fille de Grégoire Le Portier, Esc(uie)r, seig(neu)r du Saussay, Boscotru et autres lieux, et de noble dame Françoise Le Bas, demeurant en la parr(oisse) de Maulles. »
NB : Variantes graphiques : Desmollières au lieu de des Mollières, et la Mondière au lieu de Laumondière.
Source : Léopold Ferdinand Désiré Piel (Abbé), " Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l'ancien diocèse de Lisieux (1692-1790) ". Lisieux : Impr. E. Lerebour, 1892, t. II, Registre XI, n° 448, p. 284.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chanoine de l'église cathédrale St Pierre de Lisieux; chanoine de La Pluyère; Prieur commendataire d'Orchagnes; Résident du roi de Danemark (Frédéric III)
Note(s) : Occurrence : Paulmyer (signature)
Jean Paulmier, chanoine de Lisieux, était aussi pourvu du canonicat de la Pluyère, dans le diocèse de Lisieux, et de l'abbaye d'Orchagnes au diocèse de Toul.
Source : Emile Boissais, " Binot Paulmier dit le capitaine de Gonneville Commandant du navire L'Espoir ". Caen : H. Delesques, 1912, p. 37.
NB : Sous l'Ancien Régime, un abbé ou prieur commendataire bénéficiait des revenus d'un prieuré sans jouer de rôle effectif dans son administration.
Jean Paulmier a publié un ouvrage intitulé " Mémoires touchant l'établissement d'une mission chrestienne dans le troisième monde : autrement appelé, la terre australe, méridionale, antarctique & inconnuë ", dans lequel il se déclare être l'arrière-petit-fils d'un indien ramené en France par le capitaine honfleurais Binot Paulmier, dit de Gonneville, en 1505. Il affirme que le patriotisme français avait alors été touché par les découvertes hollandaises et anglaises dans le Pacifique sud, et utilise le récit du voyage pour justifier l'installation des Français, et en revendiquer l'antériorité. Ce grief prit de l'ampleur au XVIIIe siècle et justifia les expéditions françaises de Bougainville et de Bouvet.
Les voyages de Cook dans les mers du Sud, dans les années 1770, ont mis en évidence que les Terres australes de Paulmier ne pouvaient pas exister.
Consensus : il apparaît aujourd'hui que les terres découvertes par le capitaine Binot Paulmier, dit de Gonnevile, n'étaient pas les légendaires Terra Australis, ou comme on le prétendit, Madagascar, mais bien une partie des côtes du Brésil, à - ou auprès de - l'île de Santa Catarina.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chanoine de Lisieux
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat
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