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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Sieur de la Monnaye; Conseiller du Roi et lieutenant particulier en la vicomté d'Orbec
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur du Saussay, Boscotru / Boscostres et autres lieux
Note(s) : Prénommé Grégoire (dispense de bans pour le mariage d sa fille Marie-Françoise en 1716).
Source : Léopold Ferdinand Désiré Piel (Abbé), " Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l'ancien diocèse de Lisieux (1692-1790) ". Lisieux : Impr. E. Lerebour, 1892, t. II, Registre XI, n° 448, p. 284.
NB ; apparamment il s'agit d'une erreur.
Prénommé Georges (mariage de sa fille Marie-Adrienne avec César Auguste de Sandret par contrat du 21 juillet 1731).
Source : Nicolas Viton de St Allais, " Nobiliaire universel de France ". Paris : Chez l'Auteur, 1840, t. XIX, p. 184-185.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Noble dame
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Courtonne
Note(s) : Binot et Binet sont des aphérèses de Robinot et de Robinet, diminutifs de Robert.
Dans le Registre de la Charité de Honfleur figure en 1468 un Robinet Paulmier, parent du navigateur Binot Paulmier, dit de Gonneville. D'autres Paulmier sont inscrits sur le Registre de la Confrérie : Richard (1471), un autre Robinet (1513), et Nicolas (1530).
La famille Paulmier était propriétaire du fief du Bucquet, à Gonneville-lez-Honfleur, et non du fief de Gonneville, qui existait aussi dans la région. Le fief du Bucquet appartenait, au début du XVIe siècle, à Jean de Bellemare, écuyer et lieutenant du bailli de Rouen, lequel en aurait hérité lors de son mariage avec Françoise Le Paulmier (ou Louise, selon d'autres sources). Ainsi, le « de Gonneville » accolé au nom du capitaine n'est pas à l'origine un nom de famille mais celui de sa ville natale : Gonneville-lez-Honfleur, au bailliage de Rouen, et diocèse de Lisieux.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de La Rozière
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Conseiller du Roi; Président des trésoriers de France en Provence
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Marquise
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de La Barben, de La Goy, d'Eguilles, de Suze et d'Auron; Gouverneur de la ville d'Antibes
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Note(s) : Occurrences Prénom : Essemeric, Essomric, Essomerich, Essomericq (selon les ouvrages publiés)
Au XIXe siècle, l'historien Ramiz Galvao a consulté un illustre spécialiste, le docteur Almeida Nogueira qui a proposé l'hypothèse suivante : Essomeric serait une déformation de Iça-miri, signifiant en Tupi « petit chef ».
Source 1 : Carlos da Ponta Pereira, " Historia de Sao Francisco do Sul ". Ufsc, 1984, p. 21.
Source 2 : Leyla Perrona-Moisés, " Le voyage de Gonneville (1503-1505) & la découverte de la Normandie par les indiens du Brésil ". Lisbonne : Editions Chandeigne, 1995, p. 64.
-- Passage emprunté à l'ouvrage de 1984.
Pour d'autres il s'agit d'une déformation de Içá-mirim, signifiant « petite fourmi ».
Source 1 : Geraldo Gustavo de Almeida, " Heróis indígenas do Brasil: memórias sinceras de uma raça ". Rio de Janeiro : Livraria Editora Cátedra, 1988, p. 78.
Source 2 : Revista do Instituto Histórico e Geográfico Brasileiro, Nos 408 à 409, 2000, p. 440.
-- Passage emprunté à l'ouvrage de 1988.
Force est donc de constater que le language Tupi fourmille... de subtilité !
« Parmi les subdivisions des Tupis, on comptait, à l'époque de la conquête, les Carijos, qui occupaient la côte au sud de Saint-Vincent de l'île Sainte-Catherine ».
Source : Baron Henrion, " Histoire générale des missions catholiques depuis le XIIIe siècle jusqu'ànos jours. t. I, Liv. I, Chap. XXXV, p. 367.
Essomeric baptisé du nom de Binot.
Filleul et légataire du marin et capitaine normand Binot Paulmier, dit de Gonneville. Lors du voyage de retour du Brésil, tombé dangereusement malade pendant la traversée, par une pieuse précaution il est baptisé en mer le 14 septembre 1504, et le capitaine de Gonneville lui donne son prénom de Binot. Plus tard, se voyant dans l'impossibilité de le reconduire à son père, ainsi qu'il l'avait promis, le bon gentilhomme qui n'avait pas d'enfants, assura une partie de ses biens, son nom et ses armes à son filleul, en le mariant à une riche héritière de sa parenté, sa nièce, Marie Moulin, laquelle lui donnera 14 enfants ; sa seconde épouse, une autre jeune fille de Honfleur, lui donnera 7 filles.
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Note(s) : Nièce du capitaine Binot Paulmier, dit de Gonneville, étant natif de Gonneville-lez-Honfleur. N'ayant pas de descendance, Binot Paulmier maria sa nièce avec son fils adoptif Essoméric, fils du Roi Arosca, qu'il ne put ramener au Brésil dans sa tribu des Cajiros, malgré sa promesse de le faire dans un délai de 20 lunes (20 mois).
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Cacique (chef de tribu) des indiens Carijòs au Brésil
Note(s) : Au XIXe siècle, l'historien Ramiz Galvao a consulté un illustre spécialiste, le docteur Almeida Nogueira qui a proposé l'hypothèse suivante : Arosca serait une déformation de N Arô içá, signifiant en Tupi « chef de guerre ».
Source 1 : Carlos da Ponta Pereira, " Historia de Sao Francisco do Sul ". Ufsc, 1984, p. 21.
Source 2 : Leyla Perrona-Moisés, " Le voyage de Gonneville (1503-1505) & la découverte de la Normandie par les indiens du Brésil ". Lisbonne : Editions Chandeigne, 1995, p. 64.
-- Passage emprunté à l'ouvrage de 1984.
Arosca était âgé d'environ 60 ans en 1503 ; rien de sauvage ou inquiétant chez ce garnd chef (cacique) des indiens Carijos du Brésil. C'est un père de famile nombreuse
« Et maintenant, puisque la terre où l'on accosta était au sud du Tropique, et qu'on y parvint au sortir des calmes, il devient évident que l'atterrage dut avoir lieu sur la côte du Brésil, entre les latitudes de 24° d'une part, et de 27° à 30° de l'autre. Or, dans une latitude moyenne entre ces deux termes, par 26° 10' sud, débouche la rivière de San Francisco do Sul, dans le pays habité jadis par Les Carijos, anciens possesseurs indigènes de la contrée qui s'étend depuis la rivière de la Cananéa, d'un côté, jusqu'à celle des Canards (dos Patos) de l'autre, ayant pour voisins au nord les Goyanàs, et au sud les Tapuyas. Tel est le point qui qui nous semble répondre à la solution cherchée. »
Source : Marie-Armand Pascal d'Avezac, " Campagne du navire L'Espoir de Honfleur, 1503-1505. Relation authentique du voyage du capitaine de Gonneville ès nouvelles terres des Indes ". Paris : Challamel aîné, 1869, p. 72.
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