Sosa : 25637, 26765

 

 

Note(s) : b15/05/1553 Génicourt : Une fille Faguet, fa Anthoyne
p/m : Anthoyne fils de And(r)y Sèqueville, Perrette fille de Bartherand Cauchon & Catherine fille d'Anthoyne Bachelier
b02/12/1553 Génicourt : Un fils Vaillant, fs Gille
p/m : Anthoyne et Andry Vaillant, Catherine fille d'Anthoyne Bachelier

Note(s) : De Bellay
b05/08/1561 Génicourt : Une fille Bachelier, fa Françoys
p/m : Anthoine Bachelier, Regnaulde femme de Nicolas Douère d'Espies & Colette Douère femme de Jehan Maistre de Gérocourt

Son beau-frère Anthoine Douaire, prêtre, lui fait un legs d'un écu dans son testament.
Source : AD 95, G -Sup 86 Epiais-Rhus - Acte du 09/02/1606, par devant Jacques Mouette prêtre curé d'Epiais. _ Testament de vénérable et discrète personne messire Anthoine Douaire prêtre demeurant à Espiez ; « veult quil soit inuhmé & ensepulturé en terre sainte en leglise dudit espiez » ; « Item ledit testant a doné a anthoine douaire filz de clemen douaire son filleul la some dung escu pour une foys payer plus a doné a regnaulde de bellay sa belle soeur pareille some dung escu », etc. ; « & affin que ce que dessus soit accompli retient pour ses meilleurs amys & executeurs clemen douaire son nepveu & ladite barbe douaire sa soeur », etc. ; ès présence de Isaac Allain et Loys Despins; témoins, etc.

Ne sait pas signer, fait sa marque à son testament.
Source : AD 95, G -Sup 86 Epiais-Rhus - Acte du 21/03/1606, par devant Jacques Mouette prêtre curé d'Epiais. _ Testament de Regnaulde De Bellay veuve de défunt Barthélemy Sèquevile, demeurant à Espiez ; « quand a son corps veult quil soit ensepulturé en terre sainte au cimetiere dudit espiedz proche la pettite croix proche son premier mari nicollas doire », etc. ; « plus a donné a la veufve anceaulme cauchon ses graces moyres les meilleures pour le plaisir quelle luy a faict & affin quelle prie dieu pour son ame & affin que ce dessus soit accomply retient pour ses meilleurs amys & executeurs Jehan de bellay & guillaume lambert ses nepveux », etc. ; ès présence de Clémen Estienne (sic) et Pierre Lambert, témoins, etc.

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Procureur fiscal
Profession(s) : Laboureur à Messy
Note(s) : Source : AD 60, G 3441 - Acte du 18/05/1700. _ Dispense de consanguinité obtenue et concernant seulement Pierre Delacour, à cause du lieu où il demeure, Maffliers, dépendant de l'évêché de Beauvais, alors que Marie Gouffet sa promise demeure à Gonesse dépendant de l'évêché de Paris : « Soit le supliant & deux temoins de foy ouïs par nous fust exposé en la presente Requeste pour ce fait ordonner ce que de raison : donné a Beauvais le 18 . may mil sept cens // » (Signé : Le Barbier) // Dudit jour 18 mai 1700 par devant nous Pierre Le Barbier, prêtre, docteur en théologie de la faculté de Paris, chanoine de Beauvais, vicaire général de monseigneur révérendissime cardinal de Sanson Forbin, évêque, comte de Beauvais // Sont comparus Jean Masson, agent des affaires de monsieur le président Boulenger en sa terre de Fercourt, demeurant audit Fercourt, paroisse de Cauviguy, âgé de 68 ans, et Louis Musnier, charon demeurant à Mafflers (sic, pour Maffliers), âgé de 55 ans ou environ // Lesquels après serment par eux fait, ont dit bien connaître Pierre Delacour, garçon demeurant en la paroisse de Mafflers qui a fait promesse de mariage à Marie Gouffet, fille, demeurant en la paroisse de Gonesse, diocèse de Paris, de son bon gré et du consentement de ses parents, mais qu'il y a empêchement entr'eux au quatrième degré de consanguinité provenant de ce que ledit Pierre Delacour est fils de Jean Delacour issu d'Antoine Delacour fils d'Anne Ferry, soeur de Jacqueline Ferry, et de ladite Jacqueline Ferry est issue Adrienne Chartier, et de ladite Adrienne est issue Magdeleine Delamare, mère de ladite Marie Gouffet ; disent les déposants que ledit Delacour est pauvre, n'ayant pour son bien qu'un arpent de terre de valeur de cent cinquante livresen principal, à cause de quoi il ne peut vivre que du seul travail de ses mains et de son industrie, qu'il est de la religion catholique, apostolique et Romaine, n'a encouru aucunes censures ecclésiastiques et ne savoir autre empêchement, etc. (Signé : J Masson et L Musnier) // Dudit Jour est comparu Pierre Delacour qui nous a dit après serment par lui fait, être garçon demeurant à Mafflers, âgé de 27 ans, et après lecture à lui faite de la requête de l'autre part, a dit qu'elle contient vérité et qu'il y persiste, qu'il est de la religion catholique, apostolique et Romaine , n'a encouru aucunes censures ecclésistiques, ne savoir autre empêchement entre lui et Marie Gouffet que celui du quatrième degré de consanguinité, et qu'il ne s'est passé entr'eux que bien et honneur ; lecture faite et a signé (Signé Le Barbier, P Delacour) // Le promoteur de la cour ecclésiastique de Beauvais qui a vu la requête de l'autre part, l'enquête et l'interrogatoire étant au bas, consent que ledit Pierre Delacour soit dispensé de l'empêchement du quatrième degré qui est entre lui et Anne (sic) Gouffet, qu'il lui soit permis de contracter mariage avec ladite Anne (sic) Gouffet, les solennités de l'église gardées et observées, après que ladite Gouffet aura été dispensée dudit empêchement par monseigneur l'archevêque de Paris ; et que les enfants qui naîtront dudit mariage soient déclarés légitimes ; conclu à Beauvais le 18 mai 1700 // (Signé : De Tende)
In fine, le tableau généalogique mentionne Jean (sic, au lieu de Claude) Ferry comme étant la tige commune... mais force est de constater que déjà l'exactitude du prénom de ladite Gouffet laisse à désirer, puisque Marie devient Anne lorsque le promoteur de Beauvais conclut en donnant l'autorisation de se marier à Pierre Delacour ! La présente dispense ne concernant que Pierre Delacour, car d'après la condition posée par le promoteur de Beauvais, il appert que Marie Gouffet devait de son côté obtenir, une dispense de consanguinité au même 4e degré, de l'archevêque de Paris, du fait que l'église Notre-Dame de Gonnesse dépendait de l'archevêché de Paris, et non de la cour ecclésiastique de Beauvais. NB : Seule les dispenses au 2e degré étaient délivrées par la cour de Rome, pour les autres degrés elles étaient délivrées par les évêchés.

Note(s) : Occurrence : Gouffet (dispense de consanguinité)
Source : AD 60, G 3441 - Acte du 18/05/1700. _ Dispense de consanguinité obtenue et concernant seulement Pierre Delacour, à cause du lieu où il demeure, Maffliers, dépendant de l'évêché de Beauvais, alors que Marie Gouffet sa promise demeure à Gonesse dépendant de l'évêché de Paris (voir in Notice biographique de Pierre Delacour, son mari).

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Officier de la Grande Vénerie du roi
Profession(s) : Laboureur

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Montceaux; Scribe de la conservation des privilèges apostoliques de l'Université de Paris
Note(s) : Source : AN, MC/ET/XXXIII/13, fol. 524 - Acte du 05/03/1529, par devant Piere Crozon notaire au Châtelet de Paris. _ Marché entre Richard Verdier et Jean Lecoq, maçons, à Arcueil, -- et Arthus Saligot, seigneur de Monceaux, scribe de la conservation des privilèges apostoliques de l'Université de Paris, pour la façon d'une muraille de terre et moëllon, de deux pieds de large en terre et d'un pied et demi hors terre, 'et de six piedz en six piedz faire des chesnes de plastre et enchappronner lad. muraille par le hault et crespir de costé et d'autre aussi de plastre' ; à faire pour le 15 avril, les matériaux étant fournis par le seigneur de Monceaux ; prix : 5 s. t. la toise.

Source : AN, MC/ET/XIX/70 - Acte du 25/01/1532, par devant Guillaume Payen notaire au Châtelet de Paris. _ Partage : Claude Foucault, veuve d'Artus Saligot, seigneur de Monceaux, scribe de la conservation des privilèges apostoliquesd e l'Université de Paris fait le partage des biens acquis en communauté avec son époux, entre elle et Marie Saligot, épouse de Jean Laguette, seigneur de Gonneville, notaire et secrétaire du roi, sa fille.

Note(s) : Source : AN, MC/ET/XIX//91 - Acte du 30/05/1542, par devant Guillaume Payen notaire au Châtelet de Paris. _ Transaction entre Jean Laguette, et Marie Saligot, sa femme, héritière simple de Claude Foucault, sa mère, et héritière par bénéfice d'inventaire de Jacques Boucher, son frère utérin d'une part, -- et Charles de Hacqueville, notaire et secrétaire du roi, et Louise Du Drac, sa femme, auparavant femme dudit feu Jacques Boucher, et quittance de leur part dans les deux successions.

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur d'Armentières

 

Titre(s) et/ou Qualité(s) : Notaire et secrétaire du Roi; Seigneur de Taners

Créé par Gedail V2.11 le 25/1/2024