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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Notaire et secrétaire du Roi
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Notaire et secrétaire du Roi
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Notaire et secrétaire du Roi (1414 ; charge qu'il quitte le 22/04/1418)
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Profession(s) : Diplomate
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Commis au greffe du Châtelet de Paris
Note(s) : « Le goût de la noblesse vint plus tard aux Neufbourg, et on leur composa alors une invraisemblable généalogie. Tandis que notre Rolland ne pouvait se réclamer que d'obscurs aïeux, bourgeois de Tours ou de Paris, d'un père commis au greffe du Châtelet ... Tandis que la généalogie « fausse et impudente » donnait à Rolland pour père Claude de Neufbourg, écuyer, sieur de la Motte-Robeline, et pour mère Louise Gentien, le correcteur anonyme y introduit ce changement : « Claude fut d'abord simple commis au greffe du Châtelet, et s'avança depuis dans les finances. » Dans la véritable généalogie « cette Louise Gentien est appelée [s'appelait en réalité] Louise Barbedor, fille de Jean Barbedor, maître à la Monnoye du Roy. »
Source : Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise. Versailles : Léon Bernard, Vo. 13, 1911, p. 185, 186 (Tableau généalogique).
NB : Cependant il appert que Rolland de Neufbourg et Marthe Leroy sa femme, étaient cousins d'un certain Nicolas Gentian écuyer, sieur " dudit lieu " et de la Queue située à Tremblay près Gonesse.
Source : AN, MC/ET/Y//48 - Acte du 07/03/1609. _ Donation par Nicolas Gentian écuyer, sieur dudit lieu et de la Queue, située à Tremblay [près Gonesse], et Marguerite de Lorme sa femme, -- à Raoulland de Neufbourg conseiller du Roi et maître ordinaire en la chambre des Comptes, et à Marthe Le Roy femme dudit de Neufbourg, leurs cousin et cousine, d'une ferme et ses appartenances située tant au village de Tremblay, qu'entre Tremblay et Villepente.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Noble homme; Conseiller du Roi; Trésorier provincial de la gendarmerie de France autrement dit Trésorier et payeur de la gendarmerie du Roi; Contrôleur à faire les montres des compagnies des sieurs prévôt de l'Ile de France, et lieutenant criminel de robe courte à Paris
Note(s) : « Puis voici que le 16 mars 1641, deux mois à peine avant la mort de Guillaume Dupré, Marguerite Desmarets au nom de son mari « absent » ou peut-être, plus exactement malade --- passe une transaction avec deux de ses oncles maternels : Javques de Neufbourg, payeur de la gendarmerie du roi, et Claude Guilloire, « contrôleur ordinaire et général provincial de l'extraordinaire des guerres en Picardie, etc. (...) La mère de la fiancée était Jeanne de Neufbourg, veuve de Jean Desmarets. »
Source : Françoise Lehoux, " Cadre de vie des médecins parisiens ". Paris : A. & J. Picard, 1976, p. 421.
Contrat de mariage.
Source ; AN, Y//185, fol. 229 - Acte du 03/06/1646. _ Contrat de mariage entre Jacques de Neufbourg, conseiller du Roi, trésorier de la gendarmerie de France, contrôleur à faire les montres des compagnies des sieurs prévôt de l'Ile de France, et lieutenant criminel de robe courte à Paris, demeurant rue et proche le carrefour du chevalier du Guet paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, et Marie de Massac, veuve de Gilles Dauboard, secrétaire du Roi et avocat au conseil, demeurant à Paris rue et sur le quai d'Alençon, paroisse Saint-Louis en l'Ile.
Le décès de Jacques de Neufbourg est survenu avant le 30/04/1653, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AN, Y//190, fol. 108 v° - Acte du 30/04/1653. _ Constitution de rente faite par Les maîtres et gouverneurs de l'Hôtel-Dieu de Paris, -- à Marie de Massac, veuve de Jacques de Neufbourg, conseiller du Roi, trésorier et payeur de la gendarmerie de France, demeurant à Paris dans le petit Arsenal, paroisse Saint-Roch ; moyennant une somme de 450 livres tournois dont ladite de Massac fait donation audit hôtel Dieu de Paris.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Garde de la Monnaie de Paris, trésorier des cent gentlhommes de la Maison du Roi
Note(s) : Jean Barbedor est autrement qualifié Maître « à la monnoye du roy ».
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Note(s) : « . -- Bail pour six ans, par Jeanne Gilbert, veuve de Jean du Prat, trésorier de la vénerie et fauconnerie du Roi, à Françoise de Poisieux, dame de Villethierry, au bailliage de Sens, femme de Mérault du Fay, seigneur de Saint-Jean-de-Bournay en Dauphiné et « du Vauldequin en Lyonnais, l'un des cent gentilhommes de la maison du Roi, sous Louis de Nevers ; à Jean Barbedor, garde de la Monnaie de Paris, trésorier des cent gentlhommes, marié à Marie de Betombes ; et à Nicolas Barbedor, grenetier de melun, frère de Jean Barbedor, marié à Perrette Augirard, de six muids de grain, blé froment, mesure de Paris, de champart, et de 20 l. t. de cens, faisant partie de plus grande quantité de chamapart et de cens », etc.
Source : Ernest Coyecque, " Recueil d'actes notariés relatifs à l'histoire de Paris et de ses environs au XVIe siècle ". Paris : Impr. Nationale, MCCCCV (1905), p. 233.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Sarcelles; Conseiller du Roi en ses Conseils d'Etat et privé
Note(s) : Occurrence : de Neubourg (Antoine Dulaure, op. cit. infra, p. 423)
Roland de Neufbourg demeura rue de la Verrerie, paroisse St Médéric (AN, ET/LIX/58 - Acte du 04/04/1624), puis rue Saint-Antoine, paroisse Saint-Paul, dans l'hôtel inachevé au coeur du Marais qu'il venait d'acquérir, et que ses héritiers devaient revendre après l'avoir terminé, en 1634 au duc de Sully (cf. Alexandre Gady, " L'hôtel de Sully au coeur du Marais ". Paris : Ed. du Patrimoine, 2002, p. 6).
Il se trouve être qualifié seigneur de Cercelles (dont graphie malhabile) dans un acte de tutelle concernant les enfants de sa défunte soeur, Eslysabel de Neufbourg, femme de noble homme Maître Gilles Bry, sieur de La Clergerye, avocat au Parlement.
Cercelles, du lat., Cercella qui a donné le nom de Sarcelles, dont Roland de Neufbourg était seigneur. [NB : Jean Leboeuf, p. 271, a écrit : « J'ai parlé de Roland de Neubourg Seigneur de Cercelles »]
Source : AN, Y3893 (Registre de tutelles de janv. à sept. 1629).
Source Internet : http://www.geneanet.org/archives/registres/view/1642/396 (lien permanant)
Les de Neufbourg, seigneurs de Sarcelles, portaient : « D'or à trois merlettes d'azur ».
Le décès de Roland de Neufbourg est survenu en juillet 1629 ; il fut inhumé dans l'église de Sarcelles.
« Rolland de Neufbourg, mort en juillet 1629, reçut une magnifique sépulture dans l'église de Sarcelles. »
Source : Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise. Versailles : Léon Bernard, Vo. 13, 1911, p. 187.
« Dans l'aile méridionale du choeur a été enseveli Roland de Neubourg, fait conseiller d'Etat par Louis XIII, et dont l'épitaphe porte qu'il concourut au traité de Loudun, en 1616. Ce personnage, mort en 1629, était représenté en marbre, à genoux sur sa tombe. »
Source : Antoine Dulaure,, " Histoire physique, civile et morale des environs de Paris ". Paris : Guillaume, Ponthieu, Peytieux, 1825, t. III, SARCELLES, p. 425.
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