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Note(s) : En 1556, Charles Maistre était encore mineur, et avait pour tuteur son frère Simon.
Source : AD 95, 2 E Sup 146 - Registre contenant dans le désordre des déclarations censières de 1510, 1556 (selon toute apparence), 1552, 1554 et 1553. Ces déclarations interviennent notamment lors de fois et hommages avec aveux et dénombrements, faits aux seigneurs successifs du fief de Grisy à Cormeilles en Vexin, par plusieurs vassaux dont Jehan Chesnu en 1510, puis Louis de La Fontaine en 1556 selon toute apparence ; suivent des déclarations de terres cultivées, en jachères, du fief de Cormeilles par André de Dampont en 1552, 1553, et 1554 par le même seigneur (en 1552, le Connétable Anne de Montmorency échange le fief de Grisy autrement appelé fief Dardel, pour lors lui appartenant, contre des héritages à Livilliers possèdés par André de Dampont).
En 1556 (fol. 73) Simon Maistre déclare à Loys de La Fontaine, seigneur de Cormeilles-en-Vexin, sept pièces de terre sises au terroir de Cormeilles-en-Vexin :
« Cest la declaration que baille Symon maistre laboureur demourant a grisy comme tuteur de Xpofle (= christofle) maistre charles maistre et guillemette maistre enfans myneurs de deffunctz philippes maistre et de jehanne vincent pour noble homme messire loys de la fontaine chevalier de lordre du Roy seigneur de lesches et de cormeilles en velquessin a cause de sa seigneurie dudict cormeilles portant Lotz ventes saisynes et amendes quant Le cas y eschet », etc. ; il déclare en son nom la septième pièce, un arpent de terre assis au lieu-dit " fresnay", et signe " simon maistre ".
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Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/55 - Acte du 08/05/1575, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Constitution d'un procureur : Symon Maistre en son nom, Robert Pouchet et Jehanne Maistre sa femme, Guillaume Pouchet et Catherine Maistre sa femme, + \ (en marge) + aussi en leurs noms et encore ledit Symon Maistre au nom et comme tuteur et curateur de Christofle, Foy, Charles, Robert et Guillemette Maistre, enfants mineurs d'ans de défunt Phlippes Maistre et de Jehanne Vincent sa femme /, tous demeurant à Grisy, font et constituent leur procureur maître Henry Decoulomp procureur au Châtelet de Paris, pour plaider, opposer, approuver, renoncer, substituer et par eux et au nom desdits constituants « esdits noms » comme héritiers de défunt Philippes Maistre, accorder à Roch Tuquet maître boulanger à Paris et Jehanne Maistre sa femme les termes « des lectres royaulx » par eux obtenus du roi notre sire en sa chancellerie à Paris, le XVII e jour de mai mil cinq cent soixante et quinze, et suivant icelles que lesdits Tuquet et sa femme soient reçus à demander la reddition du compte de la « tuition » qu'a eu ledit défunt Philippes Maistre de ladite Jehanne Maistre femme dudit Tucquet, et même leur accorder la reddition dudit compte en leur donnant terme et délai pour dresser et rendre ledit compte, en payant et rendant par iceux Tuquet et sa femme audits constituants la somme de 200 livres tournois, par ledit défunt Philippes Maistre, baillés en mariage aux dits Tuquet et sa femme, ou bien qu'ils pourraient toucher ladite somme en dépens dudit compte qui leur sera alloué, en payant par ledit Tuquet et sa femme les dépens de l'instance des dits [à], etc.
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Nicolas Maistre était le gendre de Pierre Chéron [x Jehanne Benoiste], comme l'atteste un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/36 - Acte du 04/05/1563, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise._ Vente par Valentin Chéron marchand potier d'étain demeurant à Pontoise, en son nom, -- à maître Pierre Benoiste prêtre, Loys Benoiste, Jehan Laurence, demeurant à Mézières, Jehan Benoiste demeurant à Boizemont, Françoys Fanoullet demeurant à Annery, Pierre Chéron tuteur des enfants de lui et de feue Guillemette Benoiste jadis sa femme, tant pour lesdits mineurs que pour Nicolas [bissé] Maistre gendre dudit Chéron, demeurant à Boissy Lallery, acheteurs et tous présents, reste ledit Chéron et son dit gendre, c'est à savoir tous les droits, noms, raisons, actions, fonds et propriété que ledit veuf a et lui appartiennent en toutes les terres et autres héritages que défunte Allizon Chéron, lors de son trépas veuve de Jehan Benoiste, père et mère desdits les Benoistes, et des femmes desdits Laurence et Fanoullet, aïeul et aïeule desdits mineurs & femme dudit Nicolas Maistre, tenait et possédait lors de son trépas en douaire par elle acquis avec ledit défunt Jehan Benoiste son mari, lequel Benoiste était aussi aïeul dudit veuf, assis tant village et terroir de Hérouville que ès environs, sans aucune chose en excepter, aux cens, rentes et charges dont lesdits terres et héritages sont chargés, tant envers les seigneurs dont ils sont tenus et mouvant, que autres personnes que lesdits acheteurs acquitteront pour le regard desdits droits, etc. ; moyennant la somme de 45 livres tournois, argent franc
La filiation paternelle et maternelle de Nicolas Maistre est attestée par un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/50 - Acte du 24/06/1570, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Echanges et permutations entre Phlippes Maistre laboureur demeurant à Grisy, Simon Gillocques dudit état demeurant audit lieu et Marion Mesnet sa femme, de lui autorisée, Clément Dubray et Jehanne Hullin sa femme, aussi de lui autorisée, demeurant à Génicourt, Michel Gosse à cause de Jacqueline Maistre sa femme, demeurant à Cormeilles en Veulxin, Jehan Maistre hôtelier demeurant à Pontoise, Christofle Maistre demeurant à Ymarmont, en leurs noms, et encore Collette Fournier veuve de feu Eustace Maistre, et Pierre Mesnet son fils, demeurant audit Ymarmont, comme eux faisant fort de Nicolas Maistre fils dudit défunt Eustache Maistre et de ladite femme, par lequel |} lui venu en âge, ledit Dubray comme se faisant fort de Anceaulme & Barthélemy les Hullins, frères de sa dite femme d'une part, -- et Roger Feulagne laboureur demeurant aux Groues paroisse de Liencourt d'autre part, etc. ; ès présences de Nicolas Jorel, Robert Pouchet et Jehan Mesnet, témoins
NB : Bien que déjà marié le 4 mai 1563, il n'a pas encore atteint à ce jour du 24 juin 1570, l'âge légal de 25 ans pour être majeur, puisque l'acte précise : « par lequel |} luy venu en aage », formulation abrégée de : « par lequel il promect faire ratiffier le contenu en ces presentes luy venu en aage ». Mais, toutefois cela ne devait tenir qu'à une question de jours, voire de mois, car sans nul doute, en 1563, Nicolas Maistre était âgé de 18 ans quand il a pris pour femme Barbe Chéron ; il a donc atteint l'âge de majorité en 1570, entre le 24 juin et le 31 décembre.
Signe " ni/as maistre " avec paraphe, à un acte notarié qui le mentionne parmi les héritiers de Jacqueline Ravoisier [x ?... Maistre], sauf que cet acte est piègeux car en fait il n'est pas le fils, mais le petit-fils de Jacqueline Ravoisier, dont il est bien cependant héritier, mais à cause de son défunt père.
Source : AD 95, 2 E 11/58 - Acte du 11/06/1580, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Cession et transport sans aucune garantie de deniers par honnêtes personnes Symon Gillocques en son nom, Symon Maistre aussi en son nom, demeurant à Grisy, Clément Dubray et Nicolas Maistre demeurant à Osny, et Michel Gosse laboureur demeurant à Cormeilles en Veulxin, en leurs noms, et encore ledit Maistre comme se faisant fort de ses cohéritiers en la succession de feu Philippes Maistre, et ledit Gosse des cohéritiers de défunt Françoys Maistre, tous héritiers de feue Jacqueline Ravoisier leur mère, -- à Pierre Gauldré, Pasquier Gauldré et Martin Guériboust demeurant à Cormeilles en Veulxin, pour ce présent et acceptant tous et « chacunes les arreraiges » de grain de rente que lesdits cédants ont et leur peuvent être déchus, échus depuis le jour St Martin d'hiver mil cinq cent soixante huit (1568) jusqu'à ce jour, tant par lesdits acceptant que par Pierre Guériboust le jeune, Nicolas Guériboust, André Guériboust, Guillaume Gauldré et Pierre Guériboust leurs hoirs et ayants cause demeurant à Cormeilles en Veulxin, à cause de la rente à eux due comme héritiers d'icelle défunte, que ladite veuve avait droit de prendre et percevoir chacun an sur lesdits acceptants et autres, moyennant ce que lesdits acceptants ont promis payer audits cédants au jour St Martin d'hiver prochain, la somme de 33 écus et un tiers, à condition expresse que la ou il se trouve que ledit Gillocques et ses dits autres dessus nommés en aient reçu desdits arrérages, que icelles arrérages autrement seront déduits sur ladite somme ; fait en présence de Robert Gauldré, Martin Gauldré et André Beurellier demeurant à Cormeilles en Veulxin, témoins
La filiation paternelle de Nicolas Maistre est encore attestée par un acte notarié, auquel il signe de même.
Source : AD 95, 2 E 11/60 - Acte du 03/02/1582, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Simon Gillocques laboureur demeurant à Grisy, en son nom et comme se faisant fort de Henry Leroux laboureur demeurant à Sagy, son gendre, d'une part, et Nicollas Maistre laboureur demeurant à Osny, d'autre part, « lesdites partyes mesmes ledit Gillocques que cy devant et ledit Leroux » ont été mis en cause par devant monsieur le prévôt en garde de Pontoise, par les marguilliers de l'église et fabrique Notre Dame de Pontoise pour le paiement et continuation de certaine quantité de grain que lesdits marguilliers prétendent et demandent sur plusieurs héritages assis au terroir d'Osny et ès environs, partie desquels et entre 7 quartiers d'un côté et neuf quartiers cinq perches d'autre, assis audit terroir lieu-dit " familleuze ", appartiennent audit Gillocques ou bien audit Leroux et pour ce que ledit Nicollas Maistre jouissait de partie desdits 9 quartiers comme prétendant lui appartenir par la succession de feu Eustace Maistre son père, lesdits Gillocques et Leroux auraient appelé à garantie ledit Nicollas Maistre, tant procédé audit procès que les parties auraient entré en « enifveslement » pour raison de ladite jouissance, etc. ; et ledit Gillocques était encore sur le point de faire poursuite contre ledit Maistre pour raison de la jouissance qu'il a ci-devant faite de 7 quartiers de terre assis en ce même lieu proche et au tenant desdits neuf quartiers cinq perches qui appartiennent audit Gillocques et sa femme tant par les successions de défunt Thibault Mesnet que de défunte Jacqueline Ravoysier père et mère de la femme dudit Gillocques, etc. ; ils se seraient condescendus et mis sur l'avis et l'arbitrage de honnête personne Jehan Maistre marchand potier demeurant à Ruz [= Rhus, hameau d'Epiais], honnête personne Michel Béranger maire de Cergy, pour juger en leur devoir leurs différents, etc.
En 1587, Nicolas Maistre était laboureur demeurant à Immarmont, paroisse d'Osny, comme il appert par un autre acte notarié auquel il signe de même, et dans lequel est consigné le nom de sa femme, qui n'était pas dénommée dans l'acte du 4 mai 1563 (ut supra).
Source : AD 95, 2 E 11/64 - Acte du 25/06/1587, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Vente par Nicolas Maistre laboureur demeurant à " Imarmont " paroisse d'Osny et Barbe Chéron sa femme, -- à Nicolas Le Sueur seigneur d'Osny et de la Souche, conseiller, notaire et secrétaire du roi, et greffier en sa Cour des Aides à Paris, d'un arpent demi quartier de terre à prendre en la quantité de deux arpents et demi, faisant portion de quatre arpents de terre en plusieurs pièces, assis au terroir d'Osny, ci-devant aliénés par noble homme maître Jehan Varrellet seigneur de Gérocourt, à défunte Collette Fournyer mère dudit Nicolas Maistre, en échange de certain pré assis audit Osny ; moyennant la somme de 37 écus et demi d'or sol, argent franc pour le principal.
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Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/30 - Acte du 25/04/1560, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise. _ Vente par Simon Gillocques laboureur demeurant à Grisy et Marion Mesnet sa femme, de lui autorisée, -- à Perrette Maistre veuve de Guillaume Hullin, en son vivant laboureur demeurant à Génicourt, présente, « achepteresse », tant pour elle que pour les enfants dudit défunt et elle, leurs hoirs, c'est à savoir un arpent de terre ou environ, la pièce ainsi; assis au terroir dudit Génicourt au lieu-dit " le boursault de la mareschalle ", tenant d'un côté et d'un bout à ladite « achepteresse », d'autre côté aux hoirs feu Monjavoult, d'un bout à la veuve Anthoine Dubray et d'autre bout au seigneur Dessoulefour & à « l'achepteresse », mouvant des dames de Chelles Sainte Baulteur (sic, pour Bautour) à la charge de II deniers parisis de cens payable chacun an le jour St Lucien, pour arpent, pour toutes charges, aux dits vendeurs appartenant à cause de ladite femme comme ils disent, pour en jouir, cette vente faite à ladite charge et outre moyennant la somme de 55 livres tournois pour le principal et X sols tournois au vin (du marché), que pour ce & dont & quittant & dessaisissant & si comme obligeant biens & l'un seul et sans division « ne discution », renonçant ; présents Loys Aubery demeurant à Pontoise et Pierre Mouton, témoins.
Source : AD 95, 2 E 11/50 - Acte du 24/06/1570, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Echanges et permutations entre Philippes Maistre laboureur demeurant à Grisy, Simon Gillocques dudit état demeurant audit lieu et Marion Mesnet sa femme, de lui autorisée, Clément Dubray et Jehanne Hullin sa femme, aussi de lui autorisée, demeurant à Génicourt, Michel Gosse à cause de Jacqueline Maistre sa femme, + \ (en marge) + demeurant à Cormeilles en Veulxin /, Jehan Maistre hôtelier demeurant à Pontoise, Christofle Maistre demeurant à Ymarmont, en leurs noms, et encore Collette Fournier veuve de feu Eustace Maistre, et Pierre Mesnet son fils, demeurant audit Ymarmont, comme eux faisant fort de Nicolas Maistre fils dudit défunt Eustache Maistre et de ladite femme, par lequel &c lui venu en âge, ledit Dubray comme se faisant fort de Anceaulme & Barthélemy les Hullins, frères de sa dite femme d'une part, -- et Roger Feulagne laboureur demeurant aux Groues paroisse de Liencourt d'autre part, etc. ; ès présences de Nicolas Jorel, Robert Pouchet et Jehan Mesnet, témoins.
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Guillaume Hullin était laboureur demeurant à Génicourt ; son décès est survenu avant le 25 avril 1560.
Source : AD 95, 2 E 11/30 - Acte du 25/04/1560, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Perrette Maistre, sa femme).
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Note(s) : La filiation paternelle et maternelle de Jehanne Hullin est attestée par un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/30 - Acte du 25/04/1560, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de Perrette Maistre, sa mère).
En 1570, Jehanne Hullin a deux frères encore mineurs, dont le tuteur est Clément Dubray, son mari, comme il appert d'un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/50 - Acte du 24/06/1570, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise. _ Echanges et permutations entre Philippes Maistre laboureur demeurant à Grisy, Simon Gillocques dudit état demeurant audit lieu et Marion Mesnet sa femme, de lui autorisée, Clément Dubray et Jehanne Hullin sa femme, aussi de lui autorisée, demeurant à Génicourt, Michel Gosse à cause de Jacqueline Maistre sa femme, + \ (en marge) + demeurant à Cormeilles en Veulxin /, Jehan Maistre hôtelier demeurant à Pontoise, Christofle Maistre demeurant à Ymarmont, en leurs noms, et encore Collette Fournier veuve de feu Eustace Maistre, et Pierre Mesnet son fils, demeurant audit Ymarmont, comme eux faisant fort de Nicolas Maistre fils dudit défunt Eustache Maistre et de ladite femme, par lequel &c lui venu en âge, ledit Dubray comme se faisant fort de Anceaulme & Barthélemy les Hullins, frères de sa dite femme d'une part, -- et Roger Feulagne laboureur demeurant aux Groues paroisse de Liencourt d'autre part, etc. ; ès présences de Nicolas Jorel, Robert Pouchet et Jehan Mesnet, témoins.
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Note(s) : Source : AD 95, 2 E 11/50 - Acte du 24/06/1570, par devant Jehan Moreau (l'aîné) notaire à Pontoise (voir in Notice biographique de jehanne Hullin, sa femme).
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Note(s) : Occurrences Prénom : Anseaulme (acte paroissial, 1556), Anceaulme (acte notarié, 1560)
Acte paroissial.
b16/09/1556 Génicourt : Bachelier (un fils), fs Jehan
p/m : Anseaulme fils de Guill(aum)e Hullin lesné, Agnès femme de Pierre Bachelier
Acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/30 - Acte du 25/04/1560, par devant Pierre Moreau notaire à Pontoise.
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Note(s) : b03/01/1580 Génicourt : Anthoynette Dennery, fa Guill(aum)e
p/m : Anthoyne Dennery, Marguerite Caffin femme d'Anseaulme Hullin & Françoyse fille de défunt Nicolas De Montpellier
Marguerite Caffin femme d'Anceaulme Hullin, était manifestement une soeur de Nicolas Caffin, puisque Catherine Douaire sa veuve et ses enfants sont hériters des meubles; acquêts et conquêts, immeubles de défunt Guillaume Hullin.
Source : AD 95, 2 E 11/123 - Acte du 09/09/1594, par devant André Prévôt notaires à Pontoise. _ Indemnité : furent présents en leurs personnes Berthelmy Hullin laboureur demeurant à Génicourt d'une part, et Catherine Douaire veuve de feu Nicolas Caffin, dame de soi usante, demeurant à Hérouville, et héritiers à savoir ledit Hullin des propres, et ladite veuve avec les enfants d'elle et dudit défunt, héritiers des meubles, acquêts et conquêts, immeubles de défunt Guillaume Hullin, fils mineur de défunt Anceaulme Hullin et Marguerite Caffin sa femme, disant que ci-devant ledit défunt Anceaulme Hullin avec Berthelmy Hullin, auraient vendu et constitué à défunt Pierre Vauguet, lui demeurant " es faulx bourgs " de Ponthoise ", la somme de vingt cinq livres tournois de rente rachetable de la somme de cent écus sol ; de laquelle somme toutefois ne serait tourné au profit dudit Anceaulme Hullin que la somme de seize écus dus, pour raison desquels il devait lors de son décès et de son dit mineur, la somme de vingt écus trente trois sols quatre deniers tournois de rente par chacun an, au mois de mai ; duquel mineur les dessus-dits sont héritiers, et à cette cause doivent chacun moitié de ladite somme de vingt écus trente trois sols quatre deniers tournois ; partant a ladite veuve, promis et promet audit Hullin présent, ce acceptant pour lui, ses hoirs, # \ (en marge) # l'acquitter, quérir et dédommager, rendre quitte et indemne à toujours / de la moitie dudit écu XXXIII S IIII d tournois de rente due aux dits héritiers Vauguet, et tellement faire que pour ladite moitié il n'en ait aucune perte ni dommage, et à faute de ce faire et avoir fait, lui payer toutes pertes, dépens, dommages et intérêts ; et en ce faisant sera tenu ledit Hullin payer le surplus de ladite rente aux dits héritiers Vauguet, etc. ; fait, présents Guillaume Brullier et Jacques Françoys, demeurant à Ponthoise, témoins
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Pierre Cauchon (né en 1371 à Reims - mort en décembre 1442 à Rouen), évêque de Beauvais, est surtout connu pour avoir été l'ordonnateur du procès de Jeanne d'Arc à Rouen. Son nom n'avait rien à voir avec les cochons, malgré les plaisanteries faciles qu'il a permises, mais était simplement la forme normande ou picarde du mot « chausson ».
Source Internet : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Cauchon
A savoir : lors de la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, une paix fut signée à Pontoise (juillet 1413), mais la lutte ne tarda pas à reprendre, et, en 1417, la ville fut prise par le duc de Bourgogne (Jean Sans Peur). Sur ces entrefaites, la guerre de Cent Ans s'aggrava, et après s'être emparés de Rouen, les Anglais prennent la ville de Pontoise en 1419. Libérée en 1436, la cité est reprise par les Anglais l'année suivante. Le roi de France (Charles VII) ne reprendra définitivement Pontoise qu'en 1441 (19 septembre), après un siège éprouvant de trois mois.
Pierre Cauchon était au service du roi d'Angleterre ; il pourrait avoir facilité l'implantation de familles Cauchon en Normandie, notamment pendant la guerre de Cent ans ! Le Vexin français ayant été sans cesse ravagé durant cette terrible période, il est vraisemblable qu'après... la paix étant revenue... un dénommé Jehan Cauchon venant de Normandie, se soit posé à Génicourt. Cette hypothèse est fondée sur le fait que ledit Jehan Cauchon, avec Cardin Sèqueville (nom d'origine : Secqueville-en-Bessin, Calvados, Basse-Normandie), et [sic, au lieu de Guillaume Le Vasseur] Guillaume de Vavasseur (terme désignant quelquefois, notamment en Normandie, le titulaire d'un fief plus petit que celui d'un chevalier), sont les laboureurs les plus anciens connus à Génicourt, par un document datant de 1483 (voir infra).
Jehan Cauchon laboureur, demeurait à Génicourt en 1483 ; comparaissant en tant que témoin, il est dit âgé de 58 ans ou environ, c.-à-d. né vers 1425, pendant la guerre de Cent ans !
Source : AD 95, 9 H 64, Abbaye de St Martin de Pontoise / Terrier d'Osny, 1167-1787. Copie collationnée d'un extrait du Cartulaire de l'abbaye de Chelles. _ « Lan mil quatre cens quatre vingtz // et troys le vendredy treiziesme jour de febvrier // Pour aschever et obvier aux debatz et procez // qui estoient meus ou aspectz a mouvoir Entre // les Religieux abbe et Couvent de sainct martin // lez pontoise Comparans Cest ascavoir par Reverand pere // en dieu monsieur pierre du moustier abbé dudict // sainct martin en sa propre personne et Religieuse // et honneste personne damp thomas Rinot (sic, lequel signe Thinot) prieur // du couvent dicelle abbaye dune part et les Religieu(ses) // abbesse et Couvent de Chelles saincte baupteur // comparans par maistre Jehan le tellier licencier // en droict preb(st)re leurs (sic) procureur et les doyen // et chapittre de sainct pierre de Beauvais par icelluy // le tellier desquelz il cest faict fort daultre part // touchant la division et separa(ti)on des dismaiges // dosny appertenans ausdictz religieuses de Chelles // pour les deulx pars et sainct pierre de Beauvais // pour laultre thiers et aussy du dismaige de // genicourt appertenant ausdictz de sainct martin // lhostel dieu de ponthoise et labbe de marcheraoul // chacun pour son thiers fut faict ce quil sensuict // par le tesmoignage des laboureurs et eusd(ict)s // dudict lieu Cest asscavoir Jehan cauchon aage // de Cinquante huict ans ou environ guillaume de // vavasseur aage de Cinquante ans ou environ // cardin sequeville aage quarente ans ou environ // tous manans et Residant audict lieu », etc. [NB : // = saut de ligne in texte original]
Pour rappel, Pierre Cauchon est né à Reims, en Champagne, tout comme plus tard, Marie Cauchon dame de Sillery et de Puisieux (en Champagne), qui épousa le 30 novembre 1543, Pierre III Brulart, seigneur de Berny, Président en la troisième chambre des enquêtes du Parlement de Paris, dont Nicolas Brulart, marquis de Sillery, seigneur de Berny et de Puisieux (en Champagne), de Marines, de Génicourt, de Gérocourt et de Livilliers (près de Pontoise).
Pierre Cauchon l'évêque, et Marie Cauchon dame de Sillery et Puisieux, avaient comme plus lointain ancêtre commun connu, Robert Cauchon, décédé en 1185, membre de la chambre capitulaire de Notre-Dame de Reims (maire du chapitre).
Source Internet : http://racineshistoire.free.fr/LGN/PDF/Cauchon.pdf
La Champagne, La Normandie, le Vexin français à cause de Génicourt : ainsi apparaissent vaisemblables l'origine et les implantations successives de la présente famille Cauchon.
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Note(s) : Ne sait as signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 85; 2 E 21/ 1 - Acte du 28/10/1626, par devant Pierre Jehan greffier et tabellion à Cormeilles-enVexin. _ Vente par Nicole Hadancourt veuve de feu Anceaulme Cauchon, demeurant à Espiedz, -- à Jacques Gouys laboureur demeurant audit lieu ; c'est à savoir trente deux perches et demie de terre labourable assise au terroir dudit Espieds au lieu-dit " la grande borne ", tenant d'un côté Michel Caffin de Hérouville, d'autre côté aux héritiers Vallentin Galloys, d'un bout Monsieur Chateau, et d'autre bout les héritiers Jehan Maistre de Ponthoise et autres, etc. ; à ladite « venderesse » appartenant de son propre comme elle a déclaré, etc. ; moyennant et parmi la somme de trente livres tournois au sort principal achat, argent franc à ladite « venderesse », etc., et trente sols au vin du marché, etc.
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Pacquier Richer, le jeune, était laboureur demeurant au Mesnil St Denis ; son décès est survenu avant le 14 juin 1661 comme il appert d'un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 2/25 - Acte du 14/06/1661, par devant Nicolas Roze notaire à Beaumont-sur-Oise.
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Profession(s) : Maçon
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