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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Gentilhomme ordinaire de la grande Fauconnerie de France
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur de Châteaupré, de Menouville et de Launay; Gentilhomme ordinaire et écuyer d'écurie de Diane l"gitimée de France, duchesse d'Angoulême
Note(s) : de Cassant / de Cassan, selon les actes...
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur de Château du Pré / Châteaupré, paroisse de L'Isle-Adam
Note(s) : de Cassant / de Cassan, selon les actes...
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Note(s) : Magdelaine Ozou était de petite noblesse normande.
Source :Frédéric Chappey, " Fragonard et le voyage en Italie 1773-1774 : les Bergeret, une famille de mécènes ". Paris : Somogy éditions d'art, 2001, p. 99.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur de Châteaupré (paroisse de l'Isle-Adam)
Note(s) : de Cassant / de Cassan, selon les actes...
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Note(s) : Source : AN, Y//211, fol. 467 v° - Acte du 18/02/1667. _ Donation par Jean de La Personne, prêtre demeurant à Paris, rue des Deux Portes, paroisse Saint Sauveur, d'une somme de huit mille livres tournois, -- à Elisabeth de Villette, sa nièce, veuve de François de Cassan, écuyer, sieur de Château du Pré, demeurant audit Château du Pré, paroisse de l'Isle-Adam, actuellement logée à Paris au grand cul de sac de la rue Beaubourg.
Source : AN, Y//227, fol. 179 - Acte du 07/08/1673. _ Elisabeth de Villette, veuve de François de Cassan, écuyer, seigneur de Châteaupré, paroisse de l'Isle-Adam, se trouvant actuellement à Paris, fait substitution à ses autres autres enfants de la part et portion qui pourra revenir en sa succession future, à Marie de Cassan sa fille.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Dame de Menouville
Note(s) : du Perthuis, forme plus ancienne du nom (de Perthuis)
Le décès de Marie de Perthuis est survenu en 1642 à Brécourt, paroisse de Labbeville, selon toute apparence.
« C'est à Labbeville que se retira Marie de Perthuis, Dame de Menouville (+ 1642) chez son beau-frère Guillaume de la Marre, Seigneur de Brécourt, après la mort de son mari, Philippe, Seigneur de Cassant... », etc.
Source : Louis Massignon, " Opera minora ". Paris : PUF, 1969, t. III, p. 326.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, seigneur de Chauldry (lieu-dit de Vienne-en-Arthies) et de Callandre (fief d'Hérouville-en-Vexin); Conseiller du Roi; Vice bailli du bailliage de Gisors et lieutenant des maréchaux de France à Pontoise (autrement dit lieutenant criminel de robe courte à Pontoise, Chaumont et Magny)
Note(s) : « Du 26. Février 1616. -- Sur la Requête presentée au Roy en son Conseil , par Guillaume Ozou , Ecuyer sieur de Chaudery , Conseiller du Roy , Lieutenant Criminel de Robbe-courte ès Sièges Royaux de Pontoise, Chaumont & Magny, Maître Estienne Gruel, Assesseur de sa Compagnie , Loüis Petit , Exempt , Pierre Guerin , Greffier , Denis Bruner , dit la Riviere , Gerard Aubert , dit la Fleur , Charles Hadancourt , Simon Pique , dit la Chenaye , Gabriel Quesnel , dit la Treille , Thomas de Lhuits , dit la Vallée , Denis Mouschon , dit la Tour , Charles Carthery , dit Duval , Archers de ladite Compagnie : Contenant , que par les Edits de Creation de leurs Charges , Arrests & Reglemens faits en consequence , les Lieutenans Criminels de Robbe-courte soient entierement exempts de Tailles , Subsistances & autres Impositions , de Logemens de Gens de Guerre », etc.
« Du 2. May 1663. -- Louis, &c. Comme par Arrest ce jourd"hui donné en nôtre Grand Conseil , entre nôtre bien amé Guillaume Ozou , Ecuyer , Sieur de Chaudry & de Caleandre (sic) nôtre Conseiller, Vicebaily du Bailliage de Gisors , & Lieutenant de Robe-courte à Pontoise , Chaumont & Magny , demandeur & requerant l'enterinement des Requêtes par lui presentées à nôtre Grand Conseil le 28. Mars & 15 Decembre 1662. tendantes afin que toutes les Sentences & Ordonnances rendües ar les Officiers dudit Bailliage de Gisors , & Siege Presidial d'Andely , dans lesquelles il se trouvera qu'ils ont prononcé par renvoy , en declarant ledit Ozou incompetent , & où ils auront aussi prononcé par injonction , ou ordonné que les minutes d'informations & procedures criminelles seront portées pardevant les Juges ausquels la connoissance en est délaissée , seront cassées , revoquées & annulées... », etc.
Source : Guillaume Saugrain, " La maréchaussée de France ou Recueil des ordonnances, édits, etc. ". Paris : G. Saugrain, M. DC. XCVII. (1697), p. 778, 837 et sqq.
En 1677, Guillaume Ozou épouse Marguerite De Torcy, veuve de Martin De Chérance, marchand bourgeois de Paris.
Source : AN, Y//233, fol. 123 - Acte du 05/03/1677. _ Contrat de mariage entre Guillaume Ozou, écuyer, conseiller du Roi, vice-bailli du bailliage de Gisors, lieutenant criminel de robe courte à Pontoise, Chaumont et Magny, demeurant audit Gisors et actuellement logé à Paris rue Montorgueil, paroisse Saint-Sauveur, -- et Marguerite De Torcy, veuve de Martin De Chérance, marchand bourgeois de Paris, demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache ; par lequel il est établi que la future épouse apporte une somme de 6000 livres tournois à laquelle est estimée la moitié d'un office de juré chargeur de bois sur les ports de Paris qui lui appartient par suite de la succession de son premier mari.
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Profession(s) : Tailleur d'habits (flam., kleermaker)
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat au Parlement; Huissier ordinaire et Garde-meubles ès Conseils d'Etat et privé du Roi; Chef de Bureau de la Police
Note(s) : Demeurait rue Baillette à Paris, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, comme il appert d'un acte des registres du Châtelet de Paris, auquel il signe " Spire " avec paraphe.
Source : AN, Y//5084A - Acte du 04/08/1781, par devant les Conseillers du Roi, notaires au Châtelet de Paris. - Avis de Parents et amis de Antoine Louis Marie Arnaud âgé de 15 ans passé, et de Charles François Arnaud âgé d'environ 12 ans, enfants mineurs de défunt François Arnaud, secrétaire de Mr le lieutenant de Police et de dame Thérèse Ollive Louise Viel son épouse. Parmi les parents et amis qui ont comparu : « M. Charles Louis Spire avocat au parlement huissier ordinaire du Roi en ses conseils demeurant à Paris rue Baillette paroisse S. Germain l'auxerrois ».
En 1788, résignation d'une de ses charges.
« Mutations. Sceau du 26 Mai 1788. M. Jean-Baptiste-Louis Rebut a été pourvu de l'Office d'Huissier ordinaire & Garde-meubles ès Conseils d'Etat & privé du Roi , au lieu de m. Charles-Louis Spire. »
Source : Journal de Paris, Numéro Ier, 1788, p. 647.
Le 14 septembre 1793, Charles Louis Spire est en possession d'une carte de sûreté ; il demeure à Paris rue Baillette, et demeurait anciennement rue de la Coutellerie ; âgé de 53 ans, il est employé à la Trésorerie nationale.
Source : AN, F/7/4801. Muséum / Enregistrement des cartes de sûreté 1 délivrées par la section du Muséum, à Paris de 1792 à 1795.
NB : La carte de sûreté est une particularité parisienne, de septembre 1792 à début 1795 chaque parisien du sexe masculin âgé de plus de quinze ans devait être en possession d'une carte de sûreté, sorte de carte d'identité avant l'heure.
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