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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Paris
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Ecuyer, sieur de Chaslus; Conseiller et secrétaire du Roi, Maison et Couronne de France, et de ses finances du Collège ancien
Note(s) : De La Chesnaye Desbois (t. VII, p. 225) le qualifie Conseiller et et secrétaire du Roi, Maison et Couronne de France, et de ses finances, et lui donne pour femme Marie Le Vasseur ; tous deux père et mère de Anne de Villiers x Louis Girard !
Or, Marie Le Vasseur était la belle-mère et non la mère de Anne de Villiers.
Nicolas de Villiers épousa en premières noces, Anthoinette Bordier, qui lui donna deux filles : Anne et Marie de Villiers, puis en secondes noces, Marie Le Vasseur, qui lui donna un fils unique : Nicolas Emmanuel de Villiers, comme il appert d'un acte des registres de tutelles du Châtelet de Paris.
Source : AN, Y//3968B - Acte du 12/11/1671. _ Avis de parents : par devant nous Jean Le Camus est comparu Me Pierre Capperon procureur de dame Marie Le Vasseur, veuve de défunt Nicolas de Villiers, écuyer sieur de Chaslus, conseiller et secrétaire du Roi, Maison et Couronne de France, et de ses finances du Collège ancien, tutrice de Nicolas Emanuel (sic) de villiers mineur, fils unique dudit défunt et d'elle ; lequel Capperon audit nom nous a dit que ledit défunt sieur de Villiers s'étant rendu adjudicataire par décret au Parlement, dès le premier février mil six cent soixante sept, des terres de Chaslus, Achon et Cours [paroisse de Saint-Sauveur-la-Sagne], dépendances situées en Auvergne, moyennant soixante dix mil livres pour en consigner le prix, il aurait emprunté, savoir quarante mil livres de Messire Pierre Fournier, et trente mil livres de Messire Jaques Marie Pardeux, obligations passées par devant notaires le vingt deux mars audit an ; desquelles terres ledit défunt sieur de Villiers a eu grande difficulté pour en prendre possession et pouvoir entrer en jouissance d'icelles, tant parce qu'elles sont éloignées de plus de cent lieues de toute ville, qu'à cause que les titres ont été retenus pendant plus de trois ans par des personnes qui s'en étaient saisis, contre lesquels (sic) il y a eu plusieurs procès qui ont été terminés par divers arrêts portant adjudication de dépens, dommages et intérêts ; le bail qui en a été fait à raison de deux mil sept cent cinquante livres par an expirant au jour de Noël prochain, de sorte que ladite dame tutrice qui n'a aucune habitude sur les lieux, serait obligée d'y envoyer une personne experte à ses frais et dudit mineur, et parce qu'elle a « sceu » dudit feu sieur de Villiers lesdites terres lui avoir été à charge pour n'avoir pu jouir la première année à cause que les mêmes personnes auraient retiré les titres et enseignements desdites terres qu'ils auraient retenus d'ailleurs ; il en convient faire plusieurs réparations et en reste encore de considérables à faire, et qu'il n'a rien reçu des fermiers sur le prix dudit bail qui est à beaucoup moins que ne montent l'intérêt desdites obligations de soixante dix mil livres pour le prix de l'adjudication ; étant pousuivie pour le paiement dsdites deux obligations de soixante dix mil livres et des intérêts, il se présente une personne qui lui a offert d'acquérir et de prendre la subrogation de ladite adjudication, et d'acquitter la succession dudit défunt sieur de Villiers desdits soixante et dix mil livres et des intérêts, ensemble des frais ordinaires des criées, voyages d'huissiers et de tous frais en lui faisant le délaissement et vente desdites terres, ensemble du prix dudit bail et des condamnations de dommages, intérêts et dépens obtenus par ledit sieur de Villiers et le subrogant au lieu d'icelui sieur de Villiers en toutes les actions qu'il pourrait avoir comme adjudicataire et propriétaire desdites terres ; à quoi elle est résolue pour l'intérêt qu'elle y a en son nom, d'autant plus que cela lui est avantageux et pour son dit mineur ; mais pour ce qui est au sujet de l'intérêt dudit mineur il est besoin d'avoir l'avis de ses parents ; ladite dame veuve nous a baillé sa requête expositive de ce que dessus, et en vertu de l'ordonnance étant au bas d'icelle, a requis les parents dudit mineur « de comparoir ce jourdhuy » par devant nous pour donner leurs avis aux fins de la requête ; lesquels sont comparus, savoir Messire Louis Girard chevalier, seigneur de la Cour des Boys, conseiller et secrétaire du Roi en tous ses Conseils, maître des requêtes ordinaire de son hôtel, oncle paternel à cause de Anne de Villiers son épouse, et subrogé tuteur dudit mineur, Me Pierre Girardin avocat en Parlement, François Darly marchand bourgeois de Paris cousin paternel, Jaques Le Vasseur bourgeois de Paris oncle maternel, Me Jean François Le Vasseur avocat en Parlement aussi oncle maternel, Armand Le Vasseur marchand bourgeois de Paris, et Me François Pillon procureur au Châtelet de Paris, cousins maternels, tous par Me (blanc) Duchesne procureur au Châtelet de Paris, fondé de leur procuration passée par devant Quarré et son compagnon, notaires audit Châtelet, le neuf des présents mois et an ; auquel Duchesne pour et en l'âme desdits parents ses constituants, ce requérant ledit Capperon audit nom, avons fait faire le serment de donner bon et fidèle avis sur ce que dessus, etc. [l'avis donné est de faire la vente, délaissement et subrogation au profit de telle personne qui se présentera]
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois d'Amiens; Echevin d'Amiens (1592 et 1595)
Note(s) : de Villiers / de Villers
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable homme; Greffier et commis à la charge des décrets du Châtelet de Paris
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Note(s) : Isabele forme dérivée d'Elisabeth
Occurrence Prénom : Ysabel (acte notarié)
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chevalier, seigneur de La Cour des Bois, reçu Conseiller du Roi au Grand-Conseil le 9 janvier 1645, , Maître des Requêtes de l'hôtel le 3 avril 1654, dont il devint le doyen en 1704
Note(s) : « Louis Girard, chevalier, seigneur de la Cour des Bois, conseiller d'Etat et maitre des requêtes, était époux, sans communauté de biens, d'Anne de Villiers, veuve de Pierre Girardin, écuyer, conseiller-secrétaire du roi ; elle avait eu de son premier mariage : 1° Jean-Louis Girardin, chevalier, seigneur de Vauvray, intendant de la marine du Levant ; 2° Jean Girardin, chevalier, sieur des Préaux (Arch. Nat. S 1016). Le sieur d la Cour des Bois, habitait rue du Parc-Royal, dans une grande maison, portant aujourd'hui le n° 10, tandis que son beau-fils, Giradin de Vauvray, avait son hôtel au n° 6 ; le n° 7 servait d'écurie à ce dernier, et le n° 9 à la Cour des Bois (Voir le Terrier du Roy, de 1700, Arch. Nat. Q/1* 1099/10). »
Source : Comte d'Haucourt, " Anciens hôtels de Paris : nouvelles recherches historiques, topographiques et artistiques ". Paris : H. Champion, 1910, p. 18 note 38.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Auditeur des Comptes
Note(s) : « D'autres branches cousines de Dom Eustache confirment la venue en mouvance mystique des hommes de finances. Soit Guillauame Sevin, auditeur des comptes, mari d'Anne Le Fèvre. Ses enfants : Jacques, trésorier des finances en Auvergne, Michel, dont le mariage avec Madeleine de Fortia donne accès au réseau des Le Bis, des Forget et de son issue Janséniste ; Geneviève qui épouse Nicolas de Villiers, avocat au parlement, d'une famille de haute finance, en relation avec les Feydeau et les Hennequin ; Marie, enfin, épousant François de Longuejoue, associée par là au baron de Montglas, héritier des biens de Jean Hennequin le décapité. »
Source : Daniel Vidal, " Critique de la Raison Mystique : Benoît de Canfield : possession et dépossession au XVIIe siècle ". Grenoble : Jérôme Millon, 1990, p. 122.
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Note(s) : Le Feuvre / Le Fèvre
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Trésorier des finances en Auvergne
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