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Note(s) : « Benoît Le Grand, seigneur du Plessis et Charles Le Grand son fils, sont reçus maîtres des Comptes en survivance... »
Source : Emile Raunié, " Epitaphier du vieux Paris ". Paris : Impr. Nationale, 1989, Vol. 6, p. 254.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Chevalier; Sieur du Bourg-le-Roi, gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître; Praticien au Palais à Paris; Procureur en la Cour de Parlement à Paris
Note(s) : Source : AN, Y//110, fol. 369 - Acte du 17/07/1569. _ Contrat de mariage entre Jean Boiscourjon, praticien au Palais à Paris, - et Marie Rossignol fille de François Rossignol, notaire au Châtelet de Paris et de Marie Le Moyne, sa femme, lesquels promettent de payer aux futurs époux, la veille de leur mariage 600 livres tournois, de lui donner une rente de 50 livres tournois, de fournir à leur fille des habillements conforme à son état. A la suite, acte du 21/11/1569. _ Quittance pasée par Jean Boiscourjon, de la somme de 600 livres tournois et de la rente de 50 livres tournois mentionnés au contrat.
En 1593, lors ses Etats généraux, Jean de Boiscourjon, procureur au Parlement de Paris, est chargé de représenter la ville de Montargis.
Source : Auguste Bernard, " Procès-verbaux des Etats généraux de 1593 ". Paris : Impr. Royale, 1842, p. 815.
Autre relation.
Source : AN, Y//141, fol. 73 v° - Acte du 16/03/1602. _ Vente par Denis Rossignol, praticien en cour laie, demeurant au village de « Lespine » près Marseille en Provence, actuellement logé à Paris rue des Poulies, près de la maison portant pour enseigne le Bois-Ardent, -- à Jean Boiscourjon, procureur en la cour de Parlement à Paris, demeurant rue « Garnier Sainct-Ladre », paroisse Saint-Nicolas des Champs de droits successifs.
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Note(s) : [Parmi les maisons autour du Collège des Bernardins à Paris]
« A la mort de François Oudineau, devenu procureur, l'immeuble passa à ses fils François et Jacques, qui le mirent en licitation, et, le 11 décembre 1615, le collège s'opposa aux criées pour la réserve de quatre années d'arrérages qu'on lui devait. Le 9 avril 1616, la maison fut adjugée à François Chalumeau, avocat au Parlement (2), qui la laissa, avant 1638, à Marguerite Boiscourjon, sa veuve, laquelle la louait au sieur Joisel, banquier. Elle fut héritée par sa fille Marguerite, qui la vendit, le 17 janvier 1641, devant Gautier, à Charles Poulet, auditeur aux Comptes... », etc.
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(2) Chalumeau possédait aussi une maison de l'autre côté de la rue (voir l'Appendice).
« Maison saisie sur le collège de Laon et adjugée, le 1er avril 1615, pour 5 400 livres, à François Chalumeau, avocat (2), déjà rencontré (page 38), et revendue par sa fille Marguerite, le 17 janvier 1641, pour 9 000 livres, à son oncle Charles Boiscourjon, procureur (3), lequel la laissa à ses enfants, qui la vendirent, le 15 avril 1662, à Aimé Gouret, avocat. »
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(2) AN, S 1656, fol. 170.
(3) AN, S 1657, 2e partie, fol. 269.
Source : Bulletin de la Société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France. Paris : H. Champion, 62e année, 1935, p. 38 et 91.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Avocat au Parlement de Paris
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Noble homme et sage; Seigneur de Sansac et de La Lande en Poitou; Conseiller du Roi et maître ordinaire en sa Chambre ds Comptes
Note(s) : NB : Attention à ce qui suit, il y a de quoi se fourvoyer si on ne prend pas la peine de bien lire les commentaires au sujet d'Eustache Ier de Sansac + avant le 19/03/1499, car l'épitaphe ci-dessous concerne Eustache II de Sansac, fils de Jehan de Sansac...
« EUSTACHE DE SANSAC + ANTOINETTE BOUVE [apparemment BOUVE est une erreur pour BONNÉ]
Tombe devant la chapelle de Saint-Roch, au seuil de la chapelle d'Aligre.
2 140. ù CY GIST NOBLE HOMME ET SAGE || MESSIRE || EUSTACHE DE SANSAC (1), VIVANT SEIGNEUR || DUDIT SANSAC (2) ET || DE LA LANDE EN POITOU, CONSEILLER DU ROY || ET MAISTRE ORDINAIRE EN SA CHMBRE DES COMPTES ||, QUI TREPASSA LE 13e JOUR DE FEVRIER L'AN 1518 ||. »
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1. Le 16 février 1499, un service solennel était célébré au choeur de Saint-Germain l'Auxerrois pour Eustache de Sansac, ancien Général des finances d'Outre-Seine et maître extraordinaire des Comptes (voir G. DUPONT-FERRIER, Etudes sur les institutions financières..., Paris, in-8°, t. I, 1930, p. 264, et JASSEMIN, La chambre des Comptes de Paris au XVe siècle, Paris, 1933, in-8°, p. 347), et le 19, ses héritiers et exécuteurs testatmentaires versaient quatre écus « pro terra sive inhumatione cadaveris dicti defuncti... ante et juxta altare capelle sanctorum Petri et Pauli » (Arch. nat., LL 399, fol. 141 et suiv.). Le 26 octobre 1501, le chapitre permettait à sa veuve de placer une tombe de pierre sur cette sépulture (ibid., id., fol. 194). Le 17 août 1509, Jean de Sansac, clerc de la Chambre des Comptes (COUSTANT D'YANVILLE, op. cit. p. 769), donne au chapitre deux parements de damas vert pour le maitre-autel, et, en reconnaissance, le chapitre l'autorise à inhumer sa femme et lui-même « quam primum ab humanis decesserit » dans l'église, à l'endroit où sont enterrés son père et sa mère. La présente épitaphe concerne vraisemblablement un fils de Jean de Sansac, Eustache II, petit-fils d'Eustache Ier, cité en tête de cette note. COUSTANT D'YANVILLE, op. cit. p. 657, mentionne le grand-père, mais ignore le petit-fils. C'est sans doute le premier qui avait été autorisé par le chapitre, le 7 décembre 1479, à racheter moyennant 15 écus la moitié, soit 20 sols parisis, d'une rente de 40 s. p. dont était chargée une maison sise rue Daveron [auj. rue Bailleul] à l'enseigne du fer à cheval (Arch. nat., LL 398, fol. 266). Il n'est pas sans intérêt de noter à ce propos la fréquence, à cette époque, de tels rachats de rente dans les registres du chapitre de Saint-Germain-l'Auxerrois.
2. Sansac, Charente, arr. de Confolens, cant. de de Saint-Claud-sur-le-Son, comm. de Beaulieu.
Source : André Lesort, Hélène Verlet, " Histoire générale de Paris - Epitaphier du vieux Paris ". Paris : Impr. Nationale, MCMLXXIV (1974), t. V, fascicule premier, Saint-Germain-L'Auxerrois, Nos 2054 à 2243, p. 80.
Cf. Henri Coustant d'Yanville (Comte), " Chambre des Comptes de Paris : essais historiques et chronologiques, privilèges et attributions nobiliaires et armorial ".Paris : Dumoulin, 1866-1875, p. 657, 769.
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Note(s) : [Les exécuteurs testamentaires de Simon Bonnet, évêque de Senlis]
« Transaction entre les exécuteurs testamentaires de Simon Bonnet et Michel Compoing, tuteur et curateur de Jeanne de Camperel, nièce du défunt, se portant comme son héritière, par laquelle lesdits exécuteurs promettent de donner à Jeanne de Camperel 100 écus et 6 tasses d'argent, pesant chacun 1 marc, afin d'aider à la marier, à condition qu'ils seront quittes de toute obligation envers Antoinette Bonnet, veuve d'Eustache de Sansac et soeur du défunt, et envers Marguerite de Sansac, femme d'Oudart de Camperel, voyer de Mantes dont ladite Jeanne était fille. »
Source : AD 60, G 613 (Liasse.) -- 6 pièces, parchemin, 10 pièces, papier ; d'après Gustave Desjardins, Armand Rendu, " Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Oise, Archives ecclésiastiques, Série G ". Beauvais : Impr. D. Père, 1878, t. I (G1 à G 2352)- Evêché de Senlis, p. 94.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Seigneur du Pin (Puy du Lac en-Saintonge)
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Curé de Luché
Note(s) : Aymar de Sansac apparaît avoir été marié avant d'entrer en religion ; il eut aussi un fils bâtard qui fut prénommé Jehan comme son fils légitime décédé auparavant lui.
« -- testament d'Aymar de Sansac, curé de Luché, qui demande à être inhumé eu l'église de la Résurrection de Poitiers, dans la fosse de Jean et d'Hilaire de Sansac, ses enfants, donne ses biens immeubles à Antoine de Sansac, son frère, et à Me Louis de la Barre, et ses biens meubles à Jean de Sansac, son fils bâtard, pour faire ses études en l'université de Poitiers; -- sentence des requêtes du palais condamnant Eustache de Sansac, maître des comptes du Roi, à payer aux chapelains sa portion dans une rente de 100 s. t. qu'Aymar de Sansac, son frère, leur avait constituée sur tous ses biens ». »
Source : AD 86, G 1059 ; d'après " Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Vienne / Archives ecclésiastiques, Série G ". Poitiers : Impr. Tolmer, 1883, t. I à II, p. 185.
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