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Note(s) : Occurrences : Campie, Decamp, Decan, Dechamps (actes de baptêmes de ses enfants), prénommée Anne (baptême de sa fille Anne), Dequan (acte notarié)
Signe " claude camps " à l'inventaire après décès de son mari.
Source : AD 95, 2 E 10/644 - Acte du 02/12/1630, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Inventaire après décès de Denis Caffin, vivant laboureur à Hérouville, à la requête de Claude De Camp sa veuve, dame de soy demeurante à Hérouville, et de Pierre Caffin, laboureur demeurant à Hérouville, tuteur des enfants mineurs du défunt et de sa femme, et à présent de Michel Caffin, laboureur demeurant à Hérouville, aïeul des mineurs et curateur au posthume.
Signe de même " claude camps " au contrat pour son second mariage.
Source : AD 95, 2 E 10/286 - Acte du 09/10/1632, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Claude Choucquet laboureur demeurant à Héreville paroisse d'Arronville d'une part, et Claude Decamp veuve de feu Denis Caffin, vivant laboureur à Hérouville, d'autre part ; en présence de Catherine Hardy veuve de Charles Decamp demeurante à Mézières, mère de ladite Decamp, François Chéron laboureur demeurant à Valengoujar son frère, Gaultier Hauvis laboureur demeurant à Auvers, son beau-frère, André Chéron laboureur demeurant à Valengoujar, son cousin, Loys Choucquet laboureur demeurant à Margicourt, frère dudit Claude Choucquet, Eustache Choucquet laboureur demeurant à Arronville, son cousin germain, Pierre Caffin laboureur demeurant à Gérocourt, beau-frère de ladite Decamp, Pierre Decamp laboureur demeurant à Mézières, son frère.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Note(s) : Signe au contrat de mariage de sa nièce Nicolle Caffin (fa Anthoine et Mathurine Chantepie).
Source : AD 95, 2 E 10/45 - Acte du 12/07/1631, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Quentin Lescuyer fils de Ferry Lescuyer marchand demeurant à Valmondois d'une part, et Nicolle Caffin fille de défunt Anthoine Caffin et de Mathurine Chantepie ses père et mère, dont le droit est stipulé par André Caffin laboureur demeurant à Hérouville, son frère, d'autre part ; en présence de Quentin Lescuyer laisné, Jean Lescuyer et André Lescuyer frères du futur époux, Hubert Bernay et Cler Aubert beaux frères, Gervais Caffin, Charles Chéron, André Chéron oncles de la future épouse, et de Séraphin Caffin son beau frère.
NB : Charles Chéron et André Chéron ne sont pas frères ; s'ils sont dits être oncles de la future mariée c'est par alliance car Charles Chéron a épousé Guillemette Caffin soeur de Louise Caffin épouse d'André Chéron. Guillemette et Louise Caffin ont pour parents Jehan Caffin et Guillemmette Edeline !
On retrouve ces deux soeurs devenues veuves parmi les intervenants dans un acte notarié, mais cet acte est piégeux car il n'y a aucune fratrie entre les dénommés Chéron ! Tous sont cousins descendants d'Henry Chéron et d'Anthoinette Mesnet auxquels appartenait apparemment la maison vendue. Assurément c'est par le jeu des successions que chacun d'eux s'est retrouvé propriétaire en indivision.
Source : AD 95, 2 E 10/62 - Acte du 01/10/1644, par devant Claude Fredin notaire à Pontoise. _ Bail : furent présents Mathieu Chéron laboureur demeurant à Gérocourt, Louisse (sic) Caffin veuve de feu André Chéron, Guillemette Caffin veuve de feu Charles Chéron, Thomas Chéron fils de défunt Jehan Chéron se faisant et portant fort de ses fères et soeurs, héritiers avec lui dudit défunt ; lesquels confessent avoir baillé et délaissé à titre de loyer pour le temps et espace de six ans consécutifs, commençant le jour St Martin d'hiver prochain venant, et promettent ledit temps durant garantir de tous troubles et empêchements quelconques, chacun pour leur regard, -- à Jean Duval laboureur demeurant à Berval paroisse de Grisy, à ce présent et ce acceptant pour lui, ses hoirs ; c'est à savoir une maison, cour, grange et lieu comme il se comporte, assis à Rus [hameau d'Epiais] lieu-dit " la Rue qui conduit a valiautan goujart (sic, pour Vallangoujard) ", etc.
Ne peut plus signer, fait sa marque à son testament et autre acte de dernière volonté.
Source : AD 95, G Sup 98. Gérocourt - Acte du 16/12/1632, par devant Jehan Prévost curé de Gérocourt. _ Testament de Charles Chéron : « Je Charle Cheron estant au lict malade sain toutefoys de ma pensée & entendement recognoissant quil nest rien plus certain que la mort ny rien plus Incertain que lheure dicelle , et ne desirant partir de ce monde , sans avoir disposé de si peu de biens quil a pleu a dieu me doner , fais et ordonne mon testament et derniere volonté , ainsi quil ensuit », etc. « je veux que mon corps apres mon decez soit Inhumé en leglise de nostre dame de Gerocourt ... », etc. « Item je donne a ma tante Denise Boulanger tout ce quelle me peust devoir de reste de mes services a elle faictz par moy jusques a mon trespas... », etc. « et pour executer et accomplir de poinct en poinct tout Le contenu en ce present testament m(aistr)e Berteran Cheron curé de lesglise nostre dame de Livillier que je prie affectueusement daccepter ceste charge , ainsi quil desireroit estre faict en pareil cas pour luy , et executer ce present testament selon sa forme et teneur , sans y rien diminuer , ains plustost L'augmenter s'il veoit que bien soit... », etc. « faict et passé pardevant m(aistr)e Jehan prevost Curé de la paroisse de n(ost)re dame de Gerocourt ce joudhuy 16e decemb(re) 1632 en la presence de Anthoine Bazin Louys Berthelot et Jehan Cheron laisné et André hamel tesmoings a ce apellés... », etc.
A la suite - Acte du 18/12/1632, par devant le même curé. _ Déclaration et donation : « et depuis Le testateur a declaré que pour accomplir son testament quil luy est deu cinquante livre en Interest par mathieu Cheron a cause de La donation a luy faicte par venerable et discrette personne m(aist)e Berteran Cheron p(re)b(st)re Curé de leglise de Livillier pour la motyé des Immeubles qui luy pouroit apartenir de la succession de deffunct Charle Cheron son frere Lesquelz Immeubles Les coheritiers dudict testateur ont vendu audict mathieu Cheron de l'Interest desquelz cinquante Livre ledict testateur a declaré avoir receu trente solz tournois dudict mathieu Cheron et treize livre pour un manteau quilz a eu dudict Cheron et se Ledict testateur a declaré que Ledict mathieu Cheron La nourri sep sepmaines estant blessé pour Laquelle nourriture Ledict mathieu Cheron a cy a eu de prix avec Ledict testateur a six livres pour moys et en oultre Ledict testateur a declaré Luy estre deu La motyé dune septiesme partie de dix boisseaulx et un pichet de bled de rente du douaire deu a deffunct Charle Cheron a Luy donné par le susdict sieur Curé de livillier Laquelle motyé de La septiesme partye desdicts dix boisseaulx de bled # \ (en marge) # et un pichet / Ledict testateur a declaré quil veust et entend Le donner et Le donne a Lesglise et fabricque de Gerocourt a La charge que les marguilliers de Ladicte esglise seront tenuz de faire chanter un libera avec une antienne de la vierge le dimanche dapres son trespas tous les ans et ce qui restera de tout ce qui luy apartient de bien tant meubles que Immeubles apres son testament accompli et ses debtes payés Ledict testateur a declaré qui Le donne a Louys her filz de Louys her afin quil prie dieu pour luy et pour Laffection qui Luy porte en tesmoing de quoy Je curé dudict Gerocourt ay ay (bissé) signé de mon sein manuel cy mis avec Claude Landrin andré hamel et Jehan Cheron laisné appellés avec Le testateur Charles Charles (bissé) Cheron apres que la presente declaration et donaison Leur a esté Leue et releue et que Le testateur a declaré estre sa derniere volonté faict ce dixhuictiesme decembre mil six cens trente deux »
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Laboureur; Receveur de la terre et seigneurie de Fercourt (hameau de Cauvigny) ; Receveur de la terre et seigneurie de
Note(s) : Occurrence Nom : Moucy (acte de baptême de son fils Louis)
Occurrence Prénom : Pasques (acte notarié), Pasqué (actes de décès de ses fils Gilles et Hiérosme)
En 1628, Pasquier De Mouchy esti laboureur à Ivry-le-Temple ; à partir de 1632, il est receveur de la terre et seigneurie de Fercourt (hameau de Cauvigny), et demeure au château dudit lieu ; en 1650, il estt receveur de la terre et seigneurie de Trégny, paroisse d'Ivry-le-Temple.
« Pasquier fils de Pasquier de mouchy receveur demeurant au chasteau de fercourt, est decedé le mesme jour de son baptesme fait a l'Eglise et enterré le 30 jan. 1638 . »
Source : AD 60, 3E135/2 (Cauvigny).
Signe avec paraphe à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 22/10 - Acte du 08/02/1650, par devant Robert Ladmiral notaire et tabellion à Marines. _ Contrat de mariage entre honnête personne Louis De Machy laboureur demeurant à Amblainville d'une part, et Louise Caffin fille d'honnête personne Jean Caffin, laboureur demeurant à Cormeilles en Vexin, et Adrianne Chéron, ses père et mère d'autre part, c'est à savoir que par le moyen d'icelui ledit Louis De Machy, par l'avis, du consentement et autorité de honnête femme Léonore Lefebvre, veuve de défunt honnête personne Anne De Machy, vivant laboureur demeurant audit lieu d'Amblainville, sa mère, et de honnête personne Pasquier De Mouchy, receveur de la terre et seigneurie de Trégny paroisse d'Ivry le temple, demeurant audit lieu d'Ivry, son oncle du côté maternel, a promis et promet de prendre pour femme et légitime épouse ladite Louise Caffin / Comme par semblable ladite Louise Caffin par l'avis, du consentement et autorité dudit Jean Caffin et Adrianne Chéron, ses père et mère, honnête personne Phlippes Caffin, receveur de la terre et seigneurie de Bréanson, son cousin, honnête personne Nicolas Hadancourt, receveur de la terre et seigneurie de Marines, aussi son cousin, à ce présent, et pareillement a promis et promet de prendre pour mari et légitime époux ledit Louis De Machy, etc.
Peu de temps après, un autre acte notarié le dit défunt et fait état de ses héritiers. Son décès est donc survenu entre le 8 février et le 22 novembre 1650 à Ivry-le-Temple, hameau de Trégny ; non retrouvable car lacune in RP d'Ivry-le-Temple de 1631 à 1667.
Source : AD 95, 2 E 8/212 - Acte du 22/11/1650, par devant Paul Richardière notaire à Labbeville. _ Vente par François Caffin laboureur demeurant à Mézières, à François Caffin laboureur demeurant à Hébouvillé (= Ibouviller), son père, avec promesse de lui livrer la quantité de 4600 gerbes de blé méteil, savoir 2200 gerbes de blé, plus ou moins, qui sont engrangées dans une grange appartenant audit Caffin père, assise à Hérouville, et 2400 gerbes de blé méteil, plus ou moins, engrangées dans une grange appartenant à François Chéron, à Vallengouiard (= Vallangoujard). L'estimation de la quantité de gerbes a été faite par Adrian de Meulan, Claude Partois et François Chéron, demeurant à Vallangoujard. Il est précisé dans l'acte que François Caffin fils, tient des terres à ferme de son père et des héritiers de défunt Pasques De Mouchy ; fait et passé en présence de Claude Bouliette et de Charles Richardière, demeurant à Labbeville.
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Note(s) : Benoist aussi à Gérocourt pour Benoiste à Hérouville...
Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 15/41 - Acte du 10/05/1599, par devant Piere Dupré notaire à Pontoise. _ Constitution d'un procureur : Magdeleine Benoiste femme de Thomas Chéron laboureur demeurant à Gérocourt, à ce présente et de lui autorisée pour faire et passer ce qui ensuit ; laquelle fait et constitue son procureur ledit Chéron son mari auquel ladite constituante a donné pouvoir et puissance en son nom et avec lui, de vendre et constituer « promectre faire garendir lun pour laultre lun seul pour le tout sans division ne discution renonceant au benefice de division ordre de discution mesmes aux droictz de Cenatus Consul velleyan a lautentique sy qua mullier leffect desquels luy ont esté donnés a entendre estre telz que une femme qui soblige respond ou Intercedde pour aultrui signament pour et avec son mary peult facillement estre rellevée & restituée de ses droictz sy par expres elle ne y renonce laquelle y renonce garendir de tous troubles fournir et faire valloir » à vénérable et discrète personne Me Hervieu « prebstre » chanoine en l'église monsieur St Germain de Lauxorois (sic) à Paris et y demeurant, la somme de huit écus un tiers d'écu sol de rente, icelle avoir droit de prendre, et au paiement et continuation de laquelle rente par chacun an, y obliger tous et chacun les biens et héritages de ladite constituante avec ceux dudit Chéron son mari, en quelques lieux qu'ils soient assis et situés, une pièce partie et portion répondant pour l'autre seule pour le tout sans division « ne discution », et sans que la générale déroge à la spéciale ni la spéciale à la générale, et ce moyennant la somme de cent écus sol que pour ce ladite constituante a donné aussi pouvoir et puissance audit Chéron son mari de recevoir dudit Hervieu et de ce « soy en tenir pour Contant et de tout ce que dessus en passer telles lettres tant & telles et pardevant telles personnes que ledict Cheron verra bon estre et generallement » / Si comme / promettant / obligeant biens / renonçant / fait et passé à Ponthoise en l'étude de Dupré le dixième jour de may mil Vc IIII XX dix neuf avant midi, et que ladite constituante « a declairé ne scavoir escrire ny signer neantmoings faict la marque Icy Cottée » [transcription in extenso en avantageant le français moderne pour une meilleure lisibilité et compréhension]
NB : Exemple caractéristique du contenu des actes notariés de l'époque faisant alors état du « Sénatus-consulte Velléien et de l'authentique si qua mulier ». En effet, tout en paraissant se borner à limiter l'aptitude civile de la femme en un cas spécial : celui où la femme aurait pris un engagement pour autrui, le Sénatus-consulte avait en réalité posé un principe nouveau de droit social et d'organisation de la famille, et la solution qu'il avait donnée à ce problème difficile, avait été adoptée par divers peuples modernes, gardiens du souvenir de l'administration romaine, ou qui lui avait emprunté ses traditions et ses pratiques (cf. Paul Gide, " Etude sur la condition privée de la femme dans le droit ancien et moderne : et en particulier sur le Sénatutus-consulte velléien ". Paris : Durand et Pédone-Lauriel & Ernest Thorin, 1867, Livre IV, Chap. III, p. 503-504)
Fait de même sa marque à son testament.
Source : AD 95, G Sup. 98 Gérocourt - Acte du 15/01/1601, par devant Jehan Prévost curé de Gérocourt. _ Testament de Magdeleine Benoiste.
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Profession(s) : Receveur des terres et seigneuries de Génicourt et Gérocourt
Note(s) : Signe au contrat pour son mariage et au contrat de mariage entre Charlotte Caffin (fa Nicolas Caffin et Jehanne Bouticourt) sa belle-soeur, et Pierre De Camp...
En 1639, Mathieu Chéron et son frère Thomas rendent la foi et hommage du fief de Marianville sis à Gérocourt, à Charles de La Fontaine seigneur de Cormeilles-en-Vexin.
Source : AD 95, 2 E11/105 - Acte du 28/06/1639, par devant Jehan Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Foi et hommage : sont comparus en personnes Mathieu Chéron receveur de la terre et seigneurie de Génicourt, y demeurant, et Thomas Chéron son frère laboureur demeurant à Gérocourt, « Lesquels Confeste quilz tiencte & advoutte tenir En plain fief En unne Seulle foy & hommage aulx us & Coustumes du vexsin le francoys » de messire Charles de La Fontaine chevalier, seigneur de « Cormailles en vexsin » , un fief assis au terroir de Gérocourt au lieu-dit " Les Sablons appelé le fief de Marianville ", consistant en sept arpents de terres labourables ou environ, en une pièce tenant d'un côté à Charles Chéron et autres, d'autre part à Me Gabriel De Saint Denis, d'un bout à Me Nicolas Titolat, et d'autre bout au chemin de Grisy, chargé à relief de toutes mutations par « pretextasion » faite par lesdits reconnaissants de pouvoir augmenter ou diminuer si faire se doit, etc. ; lequel fief appartient aux dits reconnaissants au moyen de l'acquisition qu'ils en ont faite de Esmé Ravière conseiller du Roi et lieutenant au grenier à sel de Montceau fault Yonne, et secrétaire de monseigneur le prince de Condé, et de Agnès Tubeu sa femme, fille unique et seule héritière de défunt Vincent Tubeu son père, donataire de Me Charles Hervieu vivant conseiller et aumônier du Roi, et chanoine de l'église de St Gervain de l'Auxerrois, etc.
NB : Charles Hervieu, aumônier du roi, chanoine de St-Germain-l'Auxerrois (Y 158, fol. 106, 245 v°, 1627 ; Y 164, fol. 150 v°, 1624, etc.) [AN, Registres des insinuations du Châtelet de Paris]
Source : Alexandre Piny, " Lettres spirituelles 1683-1686 ". Jérôme Million, Grenoble, 2000 ; p. 305 in note 143.
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 8/44 - Acte du 16/01/1669, par devant Estienne Romaru notaire à Auvers-sur-Oise. _ Bail à titre de ferme et prix d'argent fait par Perrette Chéron veuve d'Antoine Caffin, demeurant à Valmondois, de tous ses biens immobilers à Nicolas Caffin son fils ; en présence de Roch Caffin et Louis Caffin enfants de ladite veuve Caffin.
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
Profession(s) : Fermier et receveur de La Villetertre en 1645, de la terre et seigneurie d'Ableiges en 1649
Note(s) : Signe " fransois Cheron " aux actes notariés.
L'ascendance paternelle et maternelle de François Chéron est attestée par un acte notarié.
Source : AD 95, 2 E 11/107 - Acte du 23/09/1646, par devant Jean Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par François Chéron, Thomas Chéron, frères, en leurs noms, Denis Caffin, Gervais Caffin, Anthoine Caffin à cause de leurs femmes, et Catherine Chéron veuve de Pierre Caffin, tous héritiers avec Mathieu Chéron leur frère, de défunts Jehan Chéron vivant demeurant à Gérocourt et de Marie Hardy leur père et mère, -- audit Mathieu Chéron leur frère, à ce présent et ce acceptant, tous les droits, parts et portions à eux afférents et appartenant en la somme de trente sols tournois de rente foncière, à eux dus par Clément Mallet demeurant à Espiest au moyen du bail à rente à lui fait par ledit Mathieu Chéron ayant charge de ses cohéritiers ès susdites successions, de trente perches de terre ou environ assises au terroir dudit Espiestz lieu-dit " le beau van ", à plein déclaré ès le bail à rente de ce fait entre les parties par devant le notaire soussigné le dix septième juin mil six cent quarante trois, signé More, dont ledit acheteur a dit être porteur, en cédant tous droits, ensemble les arrérages qui se trouveront dus et échus, subrogeant pour en jouir ; cette « vendition » faite moyennant et pour demeurer par les vendeurs quittes vers l'acheteur « de pareille somme quil leur appartient au sort principal de ladicte rente » qui monte à trente livres tournois de rachat, qui est chacun d'une septième partie sur quelques fermes que ledit acheteur a fait pour leur communauté, etc. ; présents Mellon Quatrelivres et Nicolas Bertheuille sergent, témoins
Autre relation.
Source : AD 95, 2 E 11/107 - Acte du 03/10/1649, par devant Jean Moreau (le jeune) notaire à Pontoise. _ Vente par honnête personne François Chéron receveur de la terre et seigneurie d'Ableiges, -- à honnête personne Thomas Chéron, son frère, laboureur demeurant à Gérocourt, à ce présent, acheteur et ce acceptant pour lui, ses hoirs ; c'est à savoir tous les droits, parts, portions, noms, raisons et actions que ledit vendeur peut avoir et prétendre « en une maison court lieu ainsy quil sestant & comporte de toutes parts » qui fut donnée à feu Jehan Chéron et où est à présent ledit acheteur, sise audit Gérocourt ; Item par les droits audit vendeur appartenant en « la bourgongne » et la petite cour, sise audit Gérocourt derrière le lieu susdit et y tenant ; Item par les droits audit vendeur appartenant en la " chennée " sise audit Gérocourt, autrement dit le gros ormeteau ; Item par les droits à lui afférents au jardin de " cabel aultrement dict le chasteau clos de vives hayes " ; le tout sis audit Gérocourt, ensuivant ; subrogeant pour en jouir par l'acheteur conformément aux partages faits entre les parties et leurs cohéritiers, en la succession de leurs feus père et mère, chargés lesdits lieux et héritages de tels cens, droits seigneuriaux et que se peut devoir, et rentes seigneuriales vers lesdites personnes dont lesdits lieux et héritages se trouveront être tenus et mouvants, que les parties n'ont pu à ce dire ni déclarer de vrai, sommés une fois pour toutes, et sans autres charges, et encore à la charge de par ledit acheteur acquitter ledit vendeur des redevances, tant rentes seigneuriales que droits pour ses années « cy acquittées a esdicts gens » ; cette « vendition » faite aux charges susdites et outre moyennant la somme de 800 livres tournois, argent franc pour le principal et « demye pistolle au vin du marché » argent franc audit vendeur ; présents Mathieu Chéron et maître Claude Roblot, témoins
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Note(s) : Baptisée " le mardy Vie jour de septembre " [1611]
Ne sait pas signer, fait sa marque à son contrat de mariage.
Source : AD 95, 2 E 10/39 - Acte du 11/03/1628, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Mathieu Chéron fils de honnête personne Jehan Chéron, marchand et laboureur demeurant à Gérocourt, stipulant le doit et intérêt de son fils d'une part, et Anthoinette Caffin fille de Nicolas Caffin, aussi marchand et laboureur, aussi stipulant le droit et l'intérêt de son fils ; en présence de Mathieu Chéron et Michel Caffin oncles du futur époux, Pierre Caffin et Anthoine Caffin beaux frères du futur époux, « maistre » Scipion Dauvrau procureur, Meullon Lefebvre apothicaire et Jehan Crabot, amis dudit Jehan Chéron, discrète personne « maistre » Noël Dousseur « prebstre » curé de Valmondois, Guillaume Bouticourt et Quentin Le Moyne (beaux) frères dudit Caffin, et Guillaume Caffin beau frère de la future épouse.
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Signe avec paraphe, à son contrat de mariage.
Source : AD 95, 2 E 11/135 - Acte du 21/03/1602, par devant André Prévost notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Mathieu Chéron et Perrette Pouchet : furent présents honnêtes personnes Thomas Chéron laboureur demeurant à Géraucourt, en son nom et encore stipulant le droit et intérêt en cette partie, de Mathieu Chéron son fils et de Magdaleine Benoiste sa mère + \ (en marge) + à ce présent et de son consentement / d'une part, et Guillaume Pouchet laboureur demeurant à Grisy, en son nom et comme tuteur de Perrette Pouchet fille de défunt Robert Pouchet, lui vivant laboureur demeurant audit Grisy, et de défunte Jehanne Maistre d'autre (part) ; lesquelles parties volontairement, pour parvenir au mariage qui au plaisir de dieu sera de « brief » fait et solennisé en face de sainte église d'entre ledit Mathieu Chéron et ladite Perrette, et par l'avis et consentement de Jehan Chéron laboureur demeurant audit Géraulcourt, frère dudit Mathieu, et de Guillaume Pouchet le jeune, laboureur demeurant audit Grisy, frère de ladite Perrette, et de Robert Maistre laboureur demeurant audit lieu, oncle et tuteur honoraire de ladite Perrette, reconnurent et confessèrent, et par ces présentes confessent avoir fait et font entre elles les accords, traités, promesses, dons, obligations et conventions matrimoniales qui ensuivent, etc.
Signe de même au testament de Marie Hardy sa belle-soeur...
Signe de même à un acte notarié, suivi d'un jugement d'autorisation de vente dans lequel il est fait mention de son âge.
Source : AD 95, 2 E 10/41 - Acte du 17/03/1629, par devant Jacques François notaire à Pontoise. _ Bail à titre de rente foncière, annuelle et perpétuelle, de bail d'héritage, fait par Pierre Louvet et Louis Louvet, enfants de défunts Adréan Louvet et de Jehanne Fournier, majeurs d'ans jouissant de leus droits, franchises et libertés comme ils ont dit, sous l'autorité toutefois de André Louvet laboureur de vignes demeurant à Grisy, leur oncle et curateur, et ledit André Louvet au nom et comme tuteur de Charles et Jehan Louvet enfants mineurs desdits défunts Adréan Louvet et de ladite Jehanne Fournier ; lesdits Pierre et Louis Louvet autorisés par jugement d'autorisation donné par monsieur le prévôt en garde de Pontoise, -- à honnête personne Mathieu Chéron laboureur demeurant à Gérocourt ; c'est à savoir une travée de maison et lieu toute en ruine et décadence, et héritages y tenant, contenant le tout neuf perches ou environ, le lieu comme il s'étend et se comporte sis audit Grisy, tenant d'un côté et d'un bout audit preneur, d'autre côté la rue, d'autre bout Gilles Blondeau ; moyennant la somme de 100 sols tournois de rente foncière, annuelle et perpétuelle, de bail d'héritage que pour ce ledit preneur sera tenu en bailler et payer aux dits bailleurs, le premier jour d'avril « que l'on contera mil six cens trente » et ainsi continuer par an ledit jour à toujours ; ladite rente sera néanmoins rachetable par ledit preneur, ses hoirs, desdits bailleurs, « fors et au temps et au fur et a la mezure quils se pourvoiront en mariage ou aultrement et non plustost en leur baillant et peyant en un seul peyement et chacun la quatriesme partye les quatre faisant le tout » de la somme de 90 livres tournois, qui est à chacun 22 livres 10 sols tournois pour le sort principal de ladite rente, de 100 sols tournois les arreraiges dicelle a prorata ensemble tous fraictz et loyaulx coustz raisonnables le tout argent francqs ausditz bailleurs et sy a payé ledit preneur » la somme de 4 livres tournois pour le vin du marché, etc.
NB : Acte auquel fait suite la teneur d'un jugement d'autorisation de vente, en date du 06/03/1629, suite à la requête faite à Nicolas Deslyons, seigneur de Theuville, « conseiller du roy nostre sire prevost vicomtal en garde doffice pour ledict sieur en la ville et chastellenye de Ponthoise » ; l'avis de parents et amis a été demandé et les suppliants ont fait comparaître devant ledit prévôt vicomtal en garde, « les personnes cy apres nommez assavoir Mathieu cheron laboureur demeurant a gerocourt aagé de cinquante cinq ans / charles gosse laboureur demeurant a grisy aagé de cinquante six ans / Lois porcher laboureur demeurant a berval aagé de trente trois ans / Jehan estienne marchant plastrier demeurant a grisy aagé de vingt huict ans / pierre Lorget mareschal demeurant a fremecourt », etc.
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Note(s) : Perrette Pouchet étant fille mineure de défunt Robert Pouchet, son père, avait un tuteur honoraire, Robert Maistre, son oncle.
Source : AD 95, 2 E 11/135 - Acte du 21/03/1602, par devant André Prévost notaire à Pontoise. _ Contrat de mariage entre Mathieu Chéron et Perrette Pouchet : furent présents honnêtes personnes Thomas Chéron laboureur demeurant à Géraucourt, en son nom et encore stipulant le droit et intérêt en cette partie, de Mathieu Chéron son fils et de Magdaleine Benoiste sa mère + \ (en marge) + à ce présent et de son consentement / d'une part, et Guillaume Pouchet laboureur demeurant à Grisy, en son nom et comme tuteur de Perrette Pouchet fille de défunt Robert Pouchet, lui vivant laboureur demeurant audit Grisy, et de défunte Jehanne Maistre d'autre (part) ; lesquelles parties volontairement, pour parvenir au mariage qui au plaisir de dieu sera de « brief K fait et solennisé en face de sainte église d'entre ledit Mathieu Chéron et ladite Perrette, et par l'avis et consentement de Jehan Chéron laboureur demeurant audit Géraulcourt, frère dudit Mathieu, et de Guillaume Pouchet le jeune, laboureur demeurant audit Grisy, frère de ladite Perrette, et de Robert Maistre laboureur demeurant audit lieu, oncle et tuteur honoraire de ladite Perrette, reconnurent et confessèrent, et par ces présentes confessent avoir fait et font entre elles les accords, traités, promesses, dons, obligations et conventions matrimoniales qui ensuivent, etc.
NB : D'après la date de naissance de son premier enfant, le 18 mars 1607 à Gérocourt, il semblerait que son contrat de mariage en 1602 ait été fait par anticipation ; en effet, selon toutes apparences, le mariage n'aurait eu lieu qu'en 1606 !
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Maître
Profession(s) : Prêtre curé d'Hérouville
Note(s) : En 1637, son père lui constitue une rente viagère afin qu'il puisse parvenir aux Saints Ordres de prêtrise.
Source : AD 95, 2 E 11/104 - Acte du 17/03/1637, par devant Jehan Moreau (le jeune) notaire à Pontoise . _ Constitution de rente viagère : fut présent honnête personne Charles Chéron receveur de la terre et seigneurie de Gérocourt, et y demeurant, de présent à Pontoise, lequel de son bon gré et volonté, pour la bonne et vraie amour naturelle qu'il a et porte à la personne de maître Jehan Chéron, écolier, étudiant en l'Université de Paris, son fils, absent, acceptant par les notaires soussignés, reconnut, confessa et confesse par ces présentes avoir constitué, assis et assigné, constitue, « assis (sic, pour assois) » et assigne, pour et au profit dudit maître Jehan Chéron, la somme de cent cinquante livres tournois de rente viagère annuelle, à les prendre, cueillir, recevoir et percevoir dorénavant par chacun an à pareil jour et date des présentes - premier paiement échéant un an après que ledit maître Jehan Chéron aura célébré la sainte messe - en et sur les lieux et héritages ci-après déclarés ; premièrement une maison contenant plusieurs travées, tant en « fouier (sic, pour foyer) » que étable, écurie et grange, portion de cour et jardin planté en arbres contenant quarante cinq perches ou environ, clos de haies vives, assis au village dudit Gérocourt devant l'église dudit lieu, tenant de toutes parts à Mathieu Chéron ; Item sur cinq quartiers de terre, assis au terroir dudit Gérocourt lieu-dit " la mine ", tenant d'un côté et d'autre Jehan Chéron, d'un bout la chaussée, et d'autre bout messire Bertherand Chéron curé de Livillier ; Item (sur) un arpent de terre, assis audit terroir lieu-dit " proche la maladrie ", tenant d'un côté Jehan Chéron, d'autre côté Mathieu Chéron, d'un bout la chaussée, et d'autre bout à Denis Le Vasseur ; Item sur un arpent et demi quartier de terre, assis audit terroir lieu-dit " le boulleau ", tenant des deux côtés Jehan Chéron, d'un bout monsieur Ravannes, et d'autre bout aux héritiers à ladite Vaillant ; Item sur un arpent de terre, assis audit terroir de Génicourt lieu-dit " la maison du bout ", tenant d'un côté Jehan Chéron, d'autre côté Maître Dorvalle, d'un bout la chaussée, et d'autre bout à (blanc) ; Item sur deux arpents demi quartier de terre, assis audit terroir de Gérocourt lieu-dit " les testes vins ", tenant d'un côté le sieur de Puisieulx, d'autre côté et d'un bout Jehan Chéron, et d'autre bout monsieur Favier ; et généralement sur tous et chacun les biens, tant meubles que immeubles qui de présent appartiennent audit constituant, peuvent et pourront appartenir ci-après ; l'une, pièce, partie et portion répondant pour le tout, l'une seule pour le tout sans division « ne discution », etc. ; cette constitution et rente viagère faite pour les causes susdites et encore à ce que ledit messire Jehan Chéron puisse parvenir « aulx saintes ordres de prestrise » auxquelles il espère, moyennant la grâce de dieu, y parvenir « en brief », et y étant parvenu, vivre honorablement et soit entretenu selon sa qualité, sujet et obligé de prier dieu pour ledit Chéron, sa femme et famille ; fait et passé à Pontoise ce dix septième mars mil six cent trente sept avant midi en l'étude de Moreau ; notifié aux parties de faire insinuer ces présentes suivant l'ordonnance
Présent lors de la rédaction du contrat de mariage, en date du 30/11/1650, entre son frère Claude Chéron et Marguerite Chouquet.
Source : AD 95, 2 E 8/122.
Présent lors de la rédaction du contrat de mariage, en date du 13/09/1672, entre sa nièce Marie Chéron et Denis Valentin.
Source : AD 95, 2 E 10/99.
Le décès de Jean Chéron est survenu le 15 octobre 1687. On sait en effet que son successeur Jean Baptiste Besle commença ses fonctions curiales à Hérouville vers 1688, d'après le temps d'exercice mentionné dans l'acte de son décès. D'après l'une des deux dalles tumulaires de l'église Saint-Clair, Jean Chéron décéda un 15 octobre 1[effacé], et assurément en l'an 1687 vu la date du bail des terres et novales - en date du 16 septembre 1688 - que le curé J.-B. Besle fait à Nicolas Caffin, fils de Gervais, laboureur demeurant à Hérouville (cf. AD 95, 9 H 54 (1), Abbaye de St Martin de Pontoise : Hérouville, Liasse n° 6 ; Intitulé : Procédures avec Maubuisson et divers particuliers au sujet des dîmes, XVIe-XVIIIe siècles (cf. « Bail des terres & novalles de la cure d'herouville passé à Nicolas Caffin le 16 7bre 1688. Cotte 40).
Le corps de Jean Chéron paraît avoir été inhumé dans la croisée d'ogives de l'église Saint-Clair d'Hérouville, à droite de celui du vicaire Mathias Laurens, en mémoire et à l'effigie duquel il fit graver une dalle tumulaire dont l'épitaphe mentionne leur date commune de décès : « CY DESSOUBZ GIST MESSIRE MATH[IAS LAVRENS] .................... LEQVEL TRESPASSA LE 15 OCTOBRE 1[6..] COMME AUSSY MESSIRE [IEAN] CHERON » ; cf. Roger Descamps, " Hérouville en Vexin français au temps jadis : compléments et correctifs à l'histoire de la seigneurie (village, terre, château) et de l'église ". Aix-en-Provence : DFS Plus, éd. ASE Hérouville, 2015, p. 33-38).
« GRAND VICARIAT ET OFFICIALITÉ DE PONTOISE. -- HÉROUVILLE. -- Procédures : (...) contre le curé d'Hérouville, qui ne faisait aucune résidence en sa paroisse, pour qu'il fût requis de la desservir et d'y faire sa résidence, 1687. »
Source : AD 95, G. 216. (Liasse.) -- 25 pièces, papier. In : Émile Couard, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1789. Seine-et-Oise. Archives ecclésiastiques - Série G. -- Articles 1-1167. Versailles : Cerf & Cie, 1895, p. 125.
NB : C'est quand même très bizarre que Jehan Chéron ne desservait pas sa paroisse et qui plus est qu'il n'y résidait pas en 1687 ! Certainement qu'il était alors malade et qu'il demeurait ailleurs... peut-être à Gérocourt d'où il était natif ? De surcroît il apparaît bien qu'il soit décédé le 15 octobre 1687, d'après la pierre tombale de Mathias Laurens et de lui, située très précisément à l'entrée de la croisée du transept de l'église Saint-Clair d'Hérouville-en-Vexin.
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Profession(s) : Laboureur
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