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Note(s) : Occurrence : Lavouer (acte de baptême de sa fille Jeanne)
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Syndic perpétuel
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Profession(s) : Laboureur; Receveur de la terre et seigneurie de Cormeilles-en-Vexin
Note(s) : Occurrence : Caphin (acte de son baptême)
Signe au contrat pour le mariage de son fils Charles...
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Note(s) : Ne sait pas signer, fait sa marque à l'acte de son mariage....
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Titre(s) et/ou Qualité(s) : Bourgeois de Pontoise (1719), de Paris (1747)
Profession(s) : Receveur d'Osny
Note(s) : Signe aux actes de sépulture/décès de ses soeurs Louise et Anne...
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Occurrence : Gouys (acte de son baptême)
En 1713, Barthélemy Gouy était laboureur au " Bouilliaume " d'après un acte paroissial du 18/08/1713 à Cormeilles-en-Vexin...
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Profession(s) : Laboureur
Note(s) : Occurrences : Gouis, Gouys (acte de son décès)
Pol, forme anc. de Paul (acte de son mariage, dans lequel il est dit d'Osny)
Son asendance maternelle est attestée par un acte notarié auquel il signe " paoul gouis ".
Source : AD 95, 2 E 15/53 - Acte du 17/12/1618, par devant François Turpin notaire à Pontoise. _ Inventaire après décès : « de tous les biens, tiltres et aultres choses trouvez en lhostel mortuaire » de défunte Loyse De Vicques, vivante femme en dernières noces de honnête personne Pierre Benoiste laboureur demeurant au village de Hérouville, en secondes noces de Pierre Douaire, et en premières noces de Jehan Dubray ; lesdits biens meubles et autres choses ci-après déclarés étaient communs entre ledit Benoiste à présent vivant, et ladite défunte De Vicques lorsqu'elle vivait ; iceux biens meubles prisés et estimés par Françoys Le Vasseur, sergent royal priseur et vendeur de biens en ladite ville et châtellenie, mandé audit lieu pour ce faire, le tout transcrit par ledit notaire en la présence et sur la requête de honnêtes personnes Jehan Benoiste laboureur demeurant à Ennery, à cause de Margueritte Douaire, Hubert Benoiste laboureur demeurant à Hérouville, à cause de Marye Douaire sa femme, Paoul Gouis laboureur demeurant à Génicourt, en son nom comme fils de défunte Margueritte Douaire qui était fille de la défunte De Vicques, de Denis Benoiste laboureur demeurant audit Hérouville, tuteur de Pierre et Martine Benoiste, enfants de lui Denis et de défunte Magdalaine Douaire sa femme, petit-enfants d'icelle De Vicques, et lesdits Jehan, Hubert et Denis Denis les Benoiste exécuteurs du testament d'icelle défunte De Vicques, et encore en la présence dudit Pierre Benoiste et de Ambroise Benoiste son fils, laboureur demeurant à Hérouville, etc.
Signe " paul gouis " à un acte notarié. Source : AD 95, 2 E 15/53 - Acte du 30/11/1617, par devant André Le Cousturier (le jeune) notaire à Pontoise.
Signe de même à son testament.
Source : AD 95, G Sup. 97 Génicourt - Acte du 12/03/1625, par devant Antoine Bradel prêtre vicaire de Génicourt. _ Testament de Pol Gouy laboureur demeurant à Génicourt ; il veut et entend que son corps soit enterré en l'église de Génicourt ; il nomme pour exécuteurs testamentaires Jean Benoiste laboureur demeurant à Annery, et Regnaulde Hullin sa femme ; en présence de Me Nicollas Maistre (S) prêtre chapelain de l'église St Pierre dudit Génicourt, et Anne Theuré (S) laboureur demeurant à Génicourt.
Bien qu'il ait testé le 12 mars 1625, son décès est survenu après le baptême de son fils Jean, en date du 30 août 1627 à Génicourt.
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Note(s) : Hulin (acte de son baptême), Hullin (acte de son mariage)
Occurrence Prénom : Renée (acte notarié)
Ne sait pas signer, fait sa marque à des actes notariés, dont : Source : AD 95, 2 E 15/53 - Acte du 30/11/1617, par devant André Le Cousturier notaire à Pontoise.
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Note(s) : Ne sait pas, fait sa marque au contrat pour son second mariage.
Source : AD 95 2 E 21/4 - Acte du 02/06/1681, par devant François Delacroix notaire à Cormeilles-en-Vexin (voir in Notice biographique de Anthoine Caffin, son second mari).
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Profession(s) : Laboureur; Fermier de la ferme de Château à Cormeilles [-en-Vexin] de 1700 à 1723
Note(s) : Signe à l'acte de son mariage...
Denis Caffin devint fermier malgré lui de l'une des trois principales fermes de Cormeilles-en-Vexin, celle appelée la ferme dite de Château (acquise en 1534 par Alexandre Château). En 1700, à la signature du bail de la ferme de Château par Denis Caffin et Charles Delacroix, les trois fermes appartiennent toutes à la Maison de Saint-Louis. Par malchance, les difficultés se succédant, et malgré la patience et l'estime des dames de St Cyr, bailleresses, Denis Caffin se trouve entraîné dans une spirale sans fin qui va le mener à la ruine. On perd sa trace jusquíà son décès en 1747, à Cormeilles-en-Vexin. Seuls les rôles de la taille nous montrent sa déchéance, puisqu'il passe de 200 livres en 1725 à deux livres líannée suivante.
Source : Jean-Philippe Gérard, " Les malheurs de Denis Caffin, fermier à Cormeilles-en-Vexin " ; in Bulletin de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, t. LXXXII, 1999.
Source Internet : http://www.brin-de-feuille.fr/le-vexin-autrefois/
NB : Excellent article de Jean-Philippe Gérard. Toutefois l'auteur aurait dû s'abstenir d'énoncer que Denis Caffin devint fermier malgré lui. En effet, personne ne force Denis Caffin pour prendre à bail la ferme de Château à Cormeilles. Les aléas possibles étaient bien connus de tous les fermiers et fermiers-receveurs au temps jadis. La ruine du fermier Denis Caffin ne fut pas un cas isolé sous l'Ancien Régime, d'autres que lui se sont trouvés entraînés dans la même spirale dangereuse des défauts de paiement. Les mauvaises récoltes étaient déjà pour tout fermier la plus grande cause de ruine.
Les ancêtres de Denis Caffin, originaires d'Hérouville-en-Vexin depuis le XVe siècle (1), ont tous été fermiers, voire fermiers-receveurs de terres et seigneuries... et lui l'aurait été malgré lui (!)
Certains naissent sous une mauvaise étoile, ils n'ont pas de chance, le sort est contre eux...
Un handicap de départ fut déjà certainement le prix du bail à payer chaque année. En effet, la plupart des baux de l'époque avaient atteint des sommets vertigineux, étant toujours pour lors attribués aux plus chers enchérisseurs, et nécessitant pour les montants les plus importants, un plaige(= caution) au minimum. Mais, c'était sans compter avec les phénomènes météorologiques arrivant de manière brutale, avec une intensité imprévisible et très localisée, telle la grêle. En lui rajoutant les pluies diluviennes, les périodes de très fortes gelées, la sécheresse, et autres calamités : insectes et champignons, il y a là suuffisamment de quoi être conduit à la ruine quand de mauvaises années de récoltes consécutives annihilent le revenu de trop rares bonnes années.
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(1) Roger Descamps, " Hérouville en Vexin français au temps jadis : compléments et correctifs à l'histoire de la seigneurie (village, terre, château) et de l'église ". Aix-en-Provence : DFS Plus, éd. ASE Hérouville, 2015, p. 11-12).
L'acte de son décès, le 22 mars 1747, précise qu'il a été inhumé le 23 dans l'église (St Martin) de Cormeilles-en-Vexin ; il lui restait donc encore quelque argent, pour peu qu'il est fait aussi un testament de 5 sols et une constitution de rente d'à peu près autant pour une fondation de messe. Vu les témoins à son inhumation, il apparaît ne pas avoir été méprisé, écarté du noyau familial.
« Ce vingt trois mars mil Sept Cens quarante Sept Le Corps de denis Caffin
Cy devant Laboureur en Cette paroisse decedé d'hier agé de soixante et dix
sept ans ou Environ , a eté inhumé par moy pretre Curé de Cette paroisse
Soussigné dans Léglise de Ceans En presence de Nicolas Caffin Bourgeois de
paris d'antoine Caffin Laboureur demeurant a mongeroult Son fils
d'antoine Caffin receveur En partye de Cette Seigneurie et autres parens
qui ont Signez »
NB : Le curé aurait quand même pu préciser que Nicolas Caffin, bourgeois de Paris, est frère de Denis, et que Antoine Caffin receveur en partie de la seigneurie, est son neveu [fils de son frère Antoine x Catherine Fournier]. On notera particulièrement la belle ascension sociale de Nicolas Caffin qui ne pouvait pas être impacté par la ruine de son frère consanguin, puisque Jeanne Chartier, mère de Nicolas, avait refusé de s'obliger avec Denis Caffin, son beau-fils, au paiement des valeurs stipulées dans le bail à ferme en 1700 ! Et bien lui en a pris...
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Note(s) : Marie Jean décèdera des suites de l'accouchement de son fils Ambroise Caffin (o/b 27/11/1709 Cormeilles-en-Vexin).
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