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Profession(s) : Brodeuse
Note(s) : Signe " G. Thévenin " à l'acte de son mariage...
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Profession(s) : Ajusteur
Note(s) : Signe " R Vénache " à l'acte de son mariage en 1926 ; demeurait à Auvers-sur-Oise, rue de la Gare, 74.
Figure dans le fichier des électeurs de Paris en 1937 ; y demeurait rue Balard, 100.
Source : AD 75, D4M2 885 - Fichier des électeurs de Paris : 1921-1939.
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Profession(s) : Employé de la Socitété des Grands Moulins d'Angers
Note(s) : En 1924 et 1925, Marcel Boulvert avait traité 189 marchés "spéculatifs" sur les blés exotiques portant sur plusieurs millions. Ces opérations étaient faites sur le couvert de la Société des Grands Moulins d'Angers, mais à l'insu de celle-ci, et qu'elles n'ont pas été à sa comptablité.
Source : Journal de jurisprudence commerciale et maritime, t. CVI, 1929, Première partie, p. 115.
En 1926, il est arrêté à Nice, alors qu'il préparait sa défense avec ses avocats, à la suite d'une plainte en abus de confiance ouverte depuis le mois janvier.
Source : La Gazette de Château-Gonthier, 49e Année, N° 24, Dimanche 13 juin 1926, p. 2/6.
La même année, Joseph Boulvert son père exerce son droit de réponse en adressant une lettre au directeur de la Gazette de Château-Gonthier ; il explique les choses comme étant d'effroyables malentendus, pour ne pas dire plus.
Source : La Gazette de Château-Gonthier, 49e Année, N° 24, Dimanche 20 juin 1926, p. 2/6.
En 1930, il perd son procès en cassation contre un arrêt le déclarant en état de faillite.
« (Boulevert c. Poisson-Bosse.) LA COUR, Sur le premier moyen (sans intérêt) ; -- Sur le second moyen pris de la violation des articles 437 du Code de commerce et 7 de la loi du 20 avril 1928, défaut de motifs et manque de base légale, en ce que l'arrêt a déclaré en état de faillite Marcel Boulvert, alors qu'il n'avait traité avec les tiers que comme mandataire de la Société des grands moulins d'Angers et que ses dettes personnelles n'avaient pas été l'objet de litiges résolus : Mais attendu, d'une part, que l'arrêt attaqué déclare que l'ensemble des circonstances relevées à la charge de Marcel Boulvert démontre que, au même titre que son père, il s'est « constitué » commerçant ; que ses opérations commerciales ont été consenties sous le couvert de la société ; qu'il s'est fait ouvrir des comptes personnels qui étaient alimentés par les bénéfices réalisés à l'occasion de ces opérations, bénéfices qu'il ne portait pas au compte de la société, qu'il a emporté à Nice, où on les a retrouvés lors de l'apposition des scellés, les lettres et contrats relatifs à ses marchés ; -- Attendu, d'autre part, que l'arrêt ajoute que son état de cessation de paiements se trouve établi par tous les éléments de la cause qu'il précise et spécialement par les nombreuses productions des tiers non réglés qui ont demandé leur admission au passif de la société à l'occasion des opérations faites par Marcel Boulvert, qui n'a pas rempli ses engagements ; -- Attendu que ces constatations et déclarations, qui échappent au contrôle de la Cour de cassation , la Cour d'appel a décidé à bon droit que Marcel Boulvert avait bien fait le commerce en son nom personnel ; d'où il suit que l'arrêt attaqué qui est motivé, a justifié légalement sa décision ; PAR CES MOTIFS, rejette.
Source : Journal des sociétés civiles et commerciales - 1930/01 (Année 51, N°1) -1930/12 (Année 51, N°12), p. 210.
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