Nicolas Thomas DanconnierMarie-Françoise Henriette NotteAntoine Jacques SiroyMarie Louise Allais
Ascendor Arcole DanconnierMarie Antoinette Alexandrine Louise Siroy
Marie-Alice Danconnier
°13 août 1879
Livilliers (Val-d'Oise)
+05 juin 1970
Pontoise (Val-d'Oise)

x 12 juillet 1902 Livilliers (Val-d'Oise)
Charles Albert Botel
Laurence Botel  Désiré Botel*   Marcel Botel  Georgette Botel 

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Charles Albert Botel
°25 mai 1877
Livilliers (Val-d'Oise)
+15 avril 1949
Ennery (Val-d'Oise)

x 12 juillet 1902 Livilliers (Val-d'Oise)
Marie-Alice Danconnier
Laurence Botel  Désiré Botel*   Marcel Botel  Georgette Botel 
Profession(s) : Maçon

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Nicolas Thomas DanconnierMarie-Françoise Henriette NotteAntoine Jacques SiroyMarie Louise Allais
Ascendor Arcole DanconnierMarie Antoinette Alexandrine Louise Siroy
Henri Danconnier
°27 octobre 1880
Livilliers (Val-d'Oise)
+06 octobre 1914
Le Four de Paris, Saint-Hubert (Marne)

x 22 septembre 1906 Villetanneuse (Seine-Saint-Denis)
Amélie "Virginie" Leclercq
Henriette Amélie Danconnier   Lucien Raymond Danconnier*  
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Mort pour la France en 1914
Profession(s) : Cultivateur
Note(s) : Henri Danconnier, 2e classe, 72e RI, matricule No 11244 au Corps, Classe 1900, et No 649 au recrutement à Versailles, tué à l'ennemi, est mort pour la France le 6 octobre 1914, au Four de Paris à Saint Hubert *, en forêt d'Argonne.
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* Saint-Hubert : lieu-dit qui était situé au nord-est du hameau alors nommé Le Four de Paris, dépendant de Vienne-le-Château (Marne) ; ces lieux ont été détruits pendant la première guerre mondiale, 1914-1918. On trouvera sur des cartes militaires : Saint Hubert Pavillon (lieu-dit autrement appelé Ferme ou Fontaine St Hubert), mais aussi et surtout " le ravin Saint-Hubert " d'où le nom donnée à la tranchée : Saint Hubert, dans le bois de la Gruerie.

« De septembre 1914 à janvier 1915, le 72ème RI tient dans la forêt d'Argonne les positions du Bois de la Gruerie que l'armée du Konprinz impérial attaque sans trêve. En face de lui, des troupes aguerries, pourvues de moyens matériels puissants; de notre côté, peu ou pas d'engins de tranchées, peu de mitrailleuses, une artillerie obligée à l'économie de munitions; comme théâtre de combat, une forêt accidentée, touffue, dont le sol argileux se détrempe à la moindre pluie.C'est dans ces conditions que le 72ème RI fait l'apprentissage de la guerre de tranchées, car, pour se défendre, il faut organiser et manier l'outil autant que les armes. C'est une lutte incessante de mines, de grenades, de crapouillots, lutte acharnée, harassante mais néanmoins glorieuse. Il faut cependant en retenir que malgré des efforts incessants pour atteindre la route de Vienne Le Chateau et le Four de Paris, les forces allemandes ne passeront pas. »

« Extraits des mémoires de Casimir Combes 72ème RI : Du 2 octobre jusqu'au 11, " le 1er bataillon commandé par le capitaine Martel, dans ses positions du bois de la Gruerie en avant de St Hubert subit un bombardement terrible et de nombreuses attaques d'infanterie sans céder de terrain."
Le mauvais temps de l'automne accompagne les longues stations dans les tranchées, dans l'anxiété d'attaques localisées, dans le bruit parfois continu des tirs. La vermine s'attache à la peau quand il est impossible des semaines durant de se laver le corps. L'intendance n'avait pas prévu la prolongation des combats jusqu'aux périodes froides, aussi l'équipement des soldats est très insuffisant. Avant que cette erreur soit corrigée, les soldats souffriront beaucoup de l'humidité et du froid précoce. »
Source : http://laurent59.canalblog.com/archives/2005/04/25/458940.html

« Dès le 1er octobre, le 72e RI quitte le secteur de le Rondchamp pour la Placardelle et la Renarde. Le 2 octobre 1914, le régiment s'installe à La Harazée vers 8 h du matin. Le 3octobre, le 1er bataillon sous les ordres du 91e RI est violemment bombardé sur ses positions et subit sur la journée quelques attaques qui occasionnent des pertes sensibles. Le 5 octobre, le bataillon Martel (commandant du 1er bataillon) occupe des positions en avant de St Hubert en forêt d'Argonne.
Le 6 octobre 1914 [jour où Henri Danconnier est tué], nouvelle disposition des bataillons du 72e RI en forêt d'Argonne. Le 1er bataillon est toujours en avant de St Hubert. Le colonel commandant en recevant l'ordre à 11 h 30 (1), le PC du 72e RI est déplacé vers le point " Marie Thérèse " sur le chemin de la Harazée à St Eugène. Au 3e bataillon, la 11e Cie se rend à Fontaine Madame, les 12e et 4e Cie sont aux points " Marie Thérèse " où le colonel prend le commandement du secteur compris entre le sentier qui passe par la Fontaine Madame et le ravin de la Fontaine du Mortier exclus. »
Sources : http://72emeri.pagesperso-orange.fr/crbst_36.html ; (1) http://laurent59.canalblog.com/archives/72eme_ri/p40-0.html

« Batailles dans la forêt : la configuration du terrain, à savoir une forêt constituée de fourrés presque impénétrables, donne un caractère particulier à la guerre de position quíest la Première Guerre en Argonne. Dès octobre 1914, les soldats français et allemands síinstallent dans un décor qui, pour beaucoup, deviendra un linceul. Líépaisseur de la végétation empêche líartillerie de tirer à vue. Pourtant, la fusillade est continuelle: les mitrailleurs tirent sans relâche, au jugé, de jour comme de nuit, pour parer contre toute attaque surprise de líadversaire. Dans la journée les tirs des mitrailleuses sont doublés par les jets de grenades et díexplosifs. Des centaines de morts et de blessés sont dénombrés chaque jour. Sous terre, de part et díautre des galeries creusées, des mines sont placées afin de faire sauter des points stratégiques de líadversaire et occuper le terrain.

Le Four de Paris : situé dans la vallée de la Biesme, entre deux rangées de collines, est alors un hameau paisible dépendant de la commune marnaise de Vienne-le-Château.
Dès octobre 1914, les Allemands du commandant Von Mudra síemparent de Bagatelle et de Saint Hubert. Fin novembre, la route reliant le Four de Paris à Varennes est abandonnée par les troupes françaises. »
Source : +15 avril 1971
Butry-sur-Oise (Val-d'Oise)

x 24 juillet 1909 Livilliers (Val-d'Oise)
Louis Victor Danconnier
Maurice Louis Danconnier* 

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Ascendor Arcole DanconnierMarie Antoinette Alexandrine Louise SiroyFirmin Jean Baptiste PiscotPascaline Louise Notte
Louis Victor DanconnierJulia Aglaé Piscot
Maurice Louis Danconnier
°1909
+23 avril 1971
Jouy-le-Comte, auj. Parmain (Val-d'Oise)

x
Simone Boucher
Thérèse Danconnier 

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Nicolas Thomas DanconnierMarie-Françoise Henriette NotteAntoine Jacques SiroyMarie Louise Allais
Ascendor Arcole DanconnierMarie Antoinette Alexandrine Louise Siroy
Rosine Antoinette Danconnier
°14 avril 1884
Livilliers (Val-d'Oise)
+20 juin 1974
Pontoise (Val-d'Oise)

x 17 août 1907 Livilliers (Val-d'Oise)
Henri Louis Emile Faucheur
Emile Faucheur* 

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Henri Louis Emile Faucheur
°1886
+13 janvier 1940
Livilliers (Val-d'Oise)

x 17 août 1907 Livilliers (Val-d'Oise)
Rosine Antoinette Danconnier
Emile Faucheur* 
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Conseiller municipal
Profession(s) : Employé de culture

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Ascendor Arcole DanconnierMarie Antoinette Alexandrine Louise Siroy
Henri Louis Emile FaucheurRosine Antoinette Danconnier
Emile Faucheur
°1907
+1979

x
Madeleine X.
Liliane Faucheur 

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Madeleine X.
°
+

x
Emile Faucheur
Liliane Faucheur 

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Henri Boulay
°
+14 décembre 1968
Montrouge (Hauts-de-Seine)

x 23 mai 1936 Pontoise (Val-d'Oise)
Solange Marie-Louise Eugénie Pincemaille
Geneviève Boulay  Marie Laure Boulay  Mireille Boulay*  

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