| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Profession(s) : Vigneron
Note(s) : Prénommé tantôt Louis, tantôt Jean (actes de baptêmes de ses enfants) ; prénommé Louis (acte de mariage de son fils Jean)
Dénommé Jean Legros laisné (acte notarié. Source : AD 95, 2 E 10/334 - Acte du 22/02/1655, par devant Pierre Dagneaux notaire à Pontoise)
Il est très probable que ce soit lui, prénommé Louis, dont il est question pour deux enfants baptisés en l'église St Pierre de Pontoise :
du ii jour de mars 1635 a este baptise
deux enfans a louis legros
dem(eurant) a la maison de la cherouyse
........................duo mortui sus [NB : Commentaire en latin = les deux sont morts]
Source : AD 95, AM RP Pontoise / St Pierre, GG60 1591-1693.
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Illustre Jésuite; Ecrivain; Controversiste; Poète; Orateur; Professeur de philosophie, puis de rhétorique au Collège de Clermont à Paris;( devenu le Collège Louis-le-Grand); Bibliothécaire dudit Collège
Note(s) : « COSSART (Gabriel), jésuite, né à Pontoise en 1615, mort à Paris le 16 septembre 1674, professa pendant sept années la rhéthorique au collége de Louis-le-Grand, etc. Le Père cossart avait établi, à l'entrée du faubourg St.-Jacques, une maison, qui sunsistait encore en 1720, pour recevoir et entretenir gratuitement de pauvres écoliers qui étaient connus sous le nom de Cossartins. »
Source : Joseph Fr Michaud, Louis Gabriel Michaud, " Biographie universelle, ancienne et moderne, etc. ". Paris : Michaud frères, 1813, t. X, p. 294.
« ...Gabriel Cossart (1615-1674), professeur d'humanités au Collège de Clermont de 1642 à 1656. »
Source : Pierre Clair, François Girbal, " Géraud de Cordemoy, úuvres philosophiques ", PUF : 1968, op. cit., p. 33.
« Auteur de divers Ouvrages et de la collection des Conciles avec le père Labbe ; mort à Paris 1674. En buste, dans le Frontispice de ses Oeuvres, Coffin, in-12. »
Sources : Jacques Lelong, Charles Marie Fevret de Fontette, " Historique de la France, contenant le Catlogue des Ouvrages, imprimés & manuscrits, qui traitent de l'Histoire de ce Royaume ou qui y ont rapport " . Nouvelle édition. Paris : Vve Hérissant, M. DCC. LXXV. (1775), t. IV, p. 174.
Il fut aussi bibliothécaire du Collège de Clermont à Paris.
« Cossart (Gabriel), bibliothécaire du collège de Clermont, H, 254, 258. »
Source : Alfred Franklin, " Les anciennes bibliothéques de Paris : églises, monastéres, colléges, etc ". Paris : impr. impériale, 1873, Vol. 3, p. 532.
Selon les sources, il est dit mort :
- le 10 septembre 1674 (André Baillet, " Jugemens des savans sur les principaux ouvrages des auteurs ", t. IV, p. 310) ;
- le 16 septembre 1674 (frères Michaud, " Biographie universelle ", p. 294) ; (Lalanne " Dictionnaire historique ", Vol. 1, p. 592) ;
- le 18 septembre 1674 (Louis Moréri, " Le grand dictionnaire historqiue, p. 171) ; (Ferdinand Bruno, Charles Bruneau, " Histoire de la langue française des origines à 1900 ", p. 11) ; (Chaudon et Delandine, " Nouveau dictionnaire historique ", p. 4) ; (Evrard Titon du Tillet, " Le parnasse françois ", Paris : Jean-Baptiste Coignard, 1732, p. 349) ; Pierre Roques, " Le grand dictionnaire historique ". Bâle : Jean Brandmuller, 1733, t. III, p. 380).
La date du 18 septembre 1674, pour son décès, peut apparraître être la bonne, car elle est la plus couramment reprise dans les catalogues des Bibliothèques, cependant il faut aussi considérer la date de décès retenue par la Société hist. et arch. de Pontoise :
« Le 14 octobre 1674, mourut à Paris, au Collège de France, un P. Jésuite, Ponoisien de naissance, et qui est une des illustrations de la Compagnie de Jésus. C'était le père Gabriel Cossart, né en 1615, fils de Gilles Cossart, avocat du roi, et de demoiselle Nicole Honoré. Il avait quatre soeurs dans les communautés religieuses de Pontoise ; entré à dix-huit ans dans l'ordre de Jésus, il acquit bientôt un grand renom par ses ouvrages et devint professeur de philosophie au Collège de Clermont, qui était, on le sait, la principale institution des Jésuites à Paris (actuellement le Lycée Louis-le-Grand). Mais ce qui contribua surtout à sa réputation et ce qui le fait classer parmi les érudits, c'est qu'il devint le collaborateur du P. Labbe dans sa Collection des Conciles ; après la mort de ce dernier, il continua l'oeuvre et fit paraître seul les huit derniers volumes ; le P. de la Rue, son confrère et ami, publia ses vers et ses discours en 1675. Le P. Cossart, dont la doctrine était pure et la charité très grande, avait fondé, dans le faubourg Saint-Jacques, une maison d'éducation pour les jeunes gens pauvres ; on les appelait Cossartins, en mémoire du nom de leur bienfaiteur. Cossart conserva de fréquents rapports avec ses Frères de la Résidence de Pontoise ; une place d'honneur toute spéciale devait lui être réservée dans notre publication. »
Source : Henri Le Charpentier, " Les Jésuites à Pontoise : recherches historiques sur l'établissement et la résidence de ces Pères et sur leur expulsion de cette ville en 1762, d'après des documents inédits " ; in Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin. Pontoise : A. Pâris, 1880, t. II, p. 72.
La date du 14 octobre 1674 est aussi celle retenue par l'Abbé Denis Trou, antérieurement à Henri Le Charpentier.
« Le père Cossart, dit Feller [in " Biographie universelle ", 1781], peut passer pour un des meilleurs poètes et orateurs que les collèges des Jésuites aient produits. Ce savant homme n'avait pas moins d'aménité dans ses rapports publics, que de piété dans sa conduite privée ! Sa doctrine était pure comme ses moeurs ; sa charité pour les pauvres était admirable ! Il institua, en faveur des jeunes gens indigents, une maison d'éducation dans le faubourg Saint-Jacques, à Paris ; et il en sortit un grand nombre de sujets distingués, appelés les Cossartins, du nom de leur bienfaiteur. La mort vint le frapper à Paris, le 14 octobre 1674, lorsqu'il méditait de nouveaux moyens de se rendre utile. Une foule de savants, Villiers, Commire, Duperrier, De la Baume, Delarue, ont célébré sa mémoire. Santeuil, dont il avait été le professeur, pleura sa mort, dans une élégie pleine de sentiments et d'images, et qui est une des meileures pièces de ce poète. »
Source : Denis Trou (Abbé), " Recherches historiques, archéologiques et biographiques sur la ville de Pontoise ", Pontoise : Impr. de Dufey, 1841, p. 203.
Difficile de départager les biographes et les érudits Pontoisiens !
Mais, force est de constater que seul Evrard Titon du Tillet a consigner dans son ouvrage, " Le parnasse françois " : GABRIEL COSSART, Jésuite, né le 2. Novembre 1615. à Pontoise dans le Vexin François d'une famille noble, mort à Paris le 18. Septembre 1674. (Poète Latin.) ; cet auteur appararâit digne de confiance... vu qu'il connaît aussi la date, qui est exacte, de la naissance du Père Jésuite.
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honnête personne
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Religieuse de la communauté des Ursulines de Pontoise
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
| ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Titre(s) et/ou Qualité(s) : Honorable homme; Avocat ès sièges royaux de Pontoise
Note(s) : Cloppin (acte de son baptêne) / Clopin, les deux graphies pouvant alterner selon les actes
Noël Clopin était avocat aux sièges royaux de Pontoise (acte de son mariage), autrement dit apparemment : avocat en parlement (acte de son décès)
|
|
| ||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
|